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    La fille ainée de l'Eglise is dead

    Ainsi, un certain Jorge Mario Bergoglio, ancien curé-guérillero- de la très marxiste "théologie de la libération" latino-américaine, squatteur du Trône de Saint-Pierre en la cité du Vatican, donne le clap de fin des "Rencontres méditerranéennes" depuis Marseille ("Je vais à Marseille, pas en France.." et, en-même-temps et très diplomatiquement : "Le problème qui me préoccupe, c'est le problème méditerranéen, c'est pourquoi je vais en France. L'exploitation des migrants est criminelle"), Marseille dite "la Porte de l'Orient", "une mosaïque d'espoirs"... "marquée par une présence maghrébine, levantine et subsaharienne très forte.". On attend donc (ou pas) que Mohamed VI, "Commandeurs de Croyants" en la parole du Prophète, Al Hamdoulillah, entreprenne une itinérance des pays méditerranéens et subsahariens où les catholiques sont persécutés.

     

    François Ø, directeur progressiste de l'Eglise catholique apostolique et romaine n'aime pas la France, un pays de cathos intégristes qui disent la messe en latin et qui mangent les petits enfants musulmans.

    Emmanuel 1er, gouverneur régional moderniste et inclusif par intérim du Protectorat Atlantique de l'Union-Européenne n'aime pas la France, un pays de Gaulois réfractaires qui ne sont rien. 

    C'est pourquoi, bien que non invité (et même "évité", malgré son titre de Chanoine de Latran du Saint-Sauveur) le second assistera "à titre personnel' à la grand-messe à tout vent et  à tous vents que le premier célèbrera depuis le stade vélodrome de la cité phocéenne, entre un match de foot et un matche de rugby. Un double message (pédalage et rétropédalage) macronien de la pensée complexe, adressé en-même-temps aux chrétiens les plus progressistes et aux mahométans les plus rétrogrades. 

    Ou, quand le Président de la Françafrique rencontre le Pape des migrants africains en faisant semblant de ne pas se connaitre...

    "Emmanuel Macron et le pape François : deux visions divergentes de l’immigration" (Le Monde - 22/09/2023)

    Emmanuel Macron: "Nous avons toujours été un pays d'immigration et nous continuerons de l'être..."

    François : "Sauver les migrants est un devoir d'humanité, un devoir de civilisation. Le ciel nous bénira "

     

    Chapeau, l'artiste !

     

     

    (à suivre)

     

     


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    50e anniversaire de la collection d'art contemporain du Vatican...

    « Le pape François a stupéfié les fidèles ce week-end en accueillant quelque 200 artistes d'avant-garde dans la chapelle Sixtine, dont le photographe Andres Serrano, créateur de l'œuvre controversée "Piss Christ" montrant un crucifix immergé dans un verre de sa propre urine mélangée à du sang, ainsi que des cinéastes porno et "slasher" »

    François est stupéfiant...

    Le pape a qualifié ces personnes de "visionnaires" qui contribuent à faire avancer "la fraternité humaine universelle" : 

    « Le souverain pontife a reçu les artistes pour marquer le 50e anniversaire de la collection d'art contemporain du Vatican, leur disant  que, « comme les prophètes bibliques, vous affrontez des choses qui sont parfois inconfortables ; vous critiquez les faux mythes et les nouvelles idoles d'aujourd'hui, leur discours creux, les stratagèmes du consumérisme, les stratagèmes du pouvoir. » 

    « Vous pouvez voir les choses à la fois en profondeur et de loin, comme des sentinelles qui tendent les yeux, scrutant l'horizon et discernant des réalités plus profondes. Ce faisant, vous êtes appelés à rejeter l'attrait de cette beauté artificielle et superficielle si populaire aujourd'hui et souvent complice des mécanismes économiques générateurs d'inégalités. » [...] « En tant que visionnaires, hommes et femmes de discernement, consciences critiques, je vous considère comme des alliés dans tant de choses qui me sont chères, comme la défense de la vie humaine, la justice sociale, le souci des pauvres, le souci de notre maison commune, l'humanité universelle fraternité... »

    « Votre art s'efforce d'agir comme une conscience critique de la société, démasquant les truismes. Vous voulez faire réfléchir les gens, être vigilants ; vous voulez révéler la réalité aussi dans ses contradictions et dans ces choses qu'il est plus confortable et commode de garder cachées. »

     

     

    Andres Serrano n'était pas le seul artiste controversé invité à la chapelle Sixtine par le pape : Abel Ferrara qui a récemment  réalisé film sur saint Padre Pio avec l'acteur comique Shia LaBeouf dans le rôle-titre avait fait ses armes en tant que réalisateur en 1976 avec le film pornographique intitulé "Nine Lives of a Wet Pussy" et en 1979 avec un "slasher" (un film d'horreur dans lequel les victimes -généralement des femmes ou des adolescents- sont lacérées avec des couteaux et des rasoirs.) intitulé "The Driller Killer , un film où un tueur en série (joué par Ferrara lui-même) se lance dans une tuerie de masse avec une perceuse électrique.

     

    D'après https://www.nowtheendbegins.com/  

     

    Peu d'échos de cet événement, pourtant relayé assez complaisamment mais en omettant ces "points de détail" sur les sites catho-progressistes...

    Parmi les rares exceptions : 

    https://reinformation.tv/francois-piss-christ-blasphematoire 

    https://www.medias-presse.info/un-profanateur-recu-par-francois

    François est stupéfiant...

     

     

     

     


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     Inventaire avant liquidation totale...



     

    à ce propos :

    La "théologie de la libération" est mouvement proche du marxisme et du guévarisme, venu d’Amérique latine vers la fin des années 60 et reliant étroitement le social et l’évangélique. Il vise à rendre dignité et espoir aux exclus de toutes sortes et à les libérer d’intolérables conditions de vie.

    De nos jours, les thèses et les actions soutenues par les théologiens de la libération rejoignent celles des mouvements altermondialistes

    Sans surprise, le crypto-communiste argentin Jorge Mario Bergoglio, dit le pape François reconnaît s'inscrire dans "l'héritage de la théologie de la libération" alors que son prédécesseur Benoît XVI s'était opposé à cette doctrine et y voyait "une subversion communiste ruineuse pour la foi et la vie chrétienne".

    L'Église de 2023

     

    en complément :

    Bingo Allison, 36 ans, est le premier prêtre ouvertement non binaire de l’Église d’Angleterre. Il a grandi dans un "foyer fortement religieux" dans le West Yorkshire et a été élevé en considérant le fait d’être gay comme "un péché". Il a vécu sa révélation il y a sept ans, en lisant un passage de la Bible.

    Désormais, il visite les écoles et parle aux groupes de jeunes pour encourager les autres personnes LGBTQ+++ à trouver une place dans l’Église. Selon lui, le christianisme est historiquement coupable de donner la priorité aux opinions des "hommes riches, blancs, hétéros, cisgenres, valides et neurotypiques".

    L'Église de 2023

     

    à suivre...

     

     

     

     


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        Eglise Saint-Sulpice - 6 février 2022 *

    Eglise Saint-Sulpice - PARIS

    Non, rien... Pourquoi ?   

     

         * (oui, je sais...)


      


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    Bonne fête à tous les Jacques (ou pas)...

    C'est aujourd'hui la Saint Jacques. Mais, Jacques "le "Majeur". L'Apôtre qu'on a considéré comme étant le plus proche de Jésus. Celui dont on a même dit qu'il était "son frère". Celui qu'on a appelé "le Fils du Tonnerre" et "le Matamore" ("le tueur de Maures", "le tueur de Sarazins", "le tueur de Mahométans", quoi, pour dire les choses...) pour son action, symbolique, mythique ou fantasmée, lors de la Reconquista, c'est à dire de "la reconquête de la péninsule ibérique, sous domination musulmane depuis 711, par les chrétiens européens".

    Année Sainte

    Celui à qui était dédié aux départs de tout l'Occident un pèlerinage plein de ferveur et d'espoir jusqu'à à Compostelle à la pointe de l'Espagne, aujourd'hui remplacé par un trek boboïde, sportif, citoyen et œcuménique mais avec portage de bagages, géolocalisation et mini-bus d'assistance...

    Quand la Saint Jacques tombe un dimanche, comme cette année, elle est considérée, elle a été considérée, elle fut autrefois considérée comme "Année Sainte" ou "jubilaire" et donnait lieu à des cérémonies exceptionnelles de faste et de recueillement (aujourd'hui "jalonnée de concerts, expositions artistiques, congrès, conférences, cinéma, activités éducatives, académiques, tourisme, volontariat, gastronomie", etc...)

    J'avais, à l'ouverture de mon blog, publié un (long (malgré moi)) article (confidentiel (malgré vous)) sur ce pèlerinage de plus de 1 500 km que j'avais été très tenté de faire, avant qu'il ne se laïcise et s'entourisme comme un inhabituel parc d'attraction tout en longueur. (voir : "Impostures vers Compostelle")

    Je ne peux pas m'empêcher de penser à ces pauvres pèlerins (les "purs", si il en restait) qui, l'an dernier, ont du se retrouver coincés pendant quelques semaines dans quelque gîte ou auberge de fortune à cause de la grippe. Ni à ceux qui, cette année, pour la même raison, vont devoir présenter leur "passe vaccinal" et/ou un test PCR négatif aux autorités civiles et commerciales pour continuer à pérégriner, en respectant la "distanciation physique" de 1,50 m. et en portant "le" masque pour traverser, sac au dos, les plateaux de l'Aubrac et franchir les cols pyrénéens...

    Année Sainte

    Mais, bon pas de panique : le pape François ø a toléré que l'Année Sainte 2021 soit reportée en 2022, tout comme le "Mondial de fôte-balle" et les "Ji-Ho" de 2020 l'ont été en 2021, dans la plus pure continuité de l'initiative de cette infectiologue (belge) qui avait proposé l'an passé de reporter la Noël en Juillet ou Août, quand il fait beau.

    J'imagine que les mânes de tous les pèlerins médiévaux qui ont sué sang et eau sur cet itinéraire doivent se marrer doucement... à moins qu'ils ne pleurent ce qui reste de toutes les larmes de leurs corps.

    Tout va bien. Sacré François ! 

     

     

    Hors-sujet (ou pas) : Les prières de l'Aïd-el-Kebir n'ont pas été reportées, elles, malgré la Covid qui tue. Seules les femmes ont été obligées de rester chez elles à rouler le couscous en attendant que Momo vienne égorger le mouton (*) à cause des jauges imposées dans les lieux de culte.

    (*) il s'agit ici, apparemment, du vrai mouton, celui de la race des ovins, pas du mouton cher à nos gouvernants, de  la race des macronistes.

     

     

     

     


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  • C'est un peu long : un peu plus de 1 000 mots, mais entre la fin des heures de confinement (sanitaire) et le début de l'heure du couvre-feu (sanitaire), vous trouverez bien quelques minutes... non ?

    Le pape François a adressé le 4 avril dernier une lettre aux participants à la Réunion de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui [s'est tenu] du 5 au 11 avril dans le contexte de la "relance" à la suite de la crise créée autour du COVID-19. Le pape y souhaite la mise en place de "solutions nouvelles", "inclusives et durables", par le biais notamment de la création ou de la "régénération" d’institutions de "gouvernance globale".

     

    Message du pape François à la Banque mondiale et au FMI

      Je vous remercie de l’aimable invitation qui m’a été faite de m’adresser aux participants aux Réunions de printemps 2021 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international par le biais de cette lettre, que j’ai confiée au cardinal Peter Turkson, préfet du Dicastère du Saint-Siège pour la promotion du développement humain intégral.

      Au cours de ces douze derniers mois, notre monde a été contraint en raison de la pandémie de Covid-19 d’affronter une série de crises socio-économiques, écologiques et politiques graves et interdépendantes. J’espère que vos discussions contribueront à l’élaboration d’un modèle de "relance" capable de faire émerger des solutions nouvelles, plus inclusives et durables pour soutenir l’économie réelle, aider les individus et les communautés à réaliser leurs aspirations les plus profondes et le bien commun universel. La notion de relance ne peut se contenter d’un retour à un modèle de vie économique et sociale inégalitaire et non durable, où une infime minorité de la population mondiale possède la moitié des richesses.

      En dépit de nos convictions profondes selon lesquelles tous, hommes et femmes, sont créés égaux, un grand nombre de nos frères et sœurs au sein de la famille humaine, en particulier ceux qui sont en marge de la société, sont de fait exclus du monde financier. La pandémie nous a cependant une nouvelle fois rappelé que personne n’est sauvé seul. Si nous voulons qu’à l’issue de cette crise notre monde soit meilleur, plus humain et plus solidaire, il faut concevoir des formes nouvelles et créatives de participation sociale, politique et économique, qui soient attentives à la voix des pauvres et qui s’engagent à les inclure dans la construction de notre avenir commun (cf. Fratelli Tutti, 169). En tant qu’experts en finance et en économie, vous savez bien que la confiance, née de l’interconnexion entre les personnes, est la pierre angulaire de toutes les relations, y compris les relations financières. Ces relations ne peuvent être établies que par le développement d’une "culture de la rencontre", où chaque voix peut se faire entendre et où tous peuvent s’épanouir, en trouvant des points de contact, en construisant des ponts et en imaginant des projets inclusifs à long terme (cf. ibid., 216).

      Alors que de nombreux pays consolident actuellement leurs plans de relance individuels, il subsiste toujours le besoin urgent d’un plan mondial capable de créer de nouvelles institutions ou de régénérer les institutions existantes, en particulier celles de la gouvernance globale, et d’aider à construire un nouveau réseau de relations internationales pour faire progresser le développement humain intégral de tous les peuples. Cela implique nécessairement de donner aux nations plus pauvres et moins développées une participation réelle à la prise de décision et de faciliter leur accès au marché international. Un esprit de solidarité mondiale exige également au minimum une réduction significative du fardeau de la dette des nations les plus pauvres, dette exacerbée par la pandémie. Alléger le fardeau de la dette de tant de pays et de communautés aujourd’hui, constitue un geste profondément humain qui peut aider les populations à se développer, à avoir accès aux vaccins, à la santé, à l’éducation et à l’emploi.

      Nous ne pouvons pas non plus ignorer un autre type de dette : la "dette écologique" qui existe surtout entre le Nord et le Sud de la planète. Nous sommes, en effet, débiteurs envers la nature elle-même, mais aussi envers les personnes et les pays touchés par la dégradation écologique d’origine humaine et la perte de biodiversité. À cet égard, je suis convaincu que l’industrie financière, qui se distingue par sa grande créativité, se montrera capable de développer des mécanismes agiles pour calculer cette dette écologique, afin que les pays développés puissent la payer, non seulement en limitant de manière significative leur consommation d’énergie non renouvelable ou en aidant les pays plus pauvres à adopter des politiques et des programmes de développement durable, mais aussi en assumant les coûts de l’innovation nécessaire à cette fin (cf. Laudato Si’, 51-52).

      La compréhension profonde de l’objectif et de la finalité essentiels de toute vie économique, à savoir le bien commun universel, se trouve au cœur d’un développement juste et intégral. Il s’ensuit que l’argent public ne peut jamais être dissocié du bien public, et que les marchés financiers doivent être encadrés par des lois et des règlements visant à garantir qu’ils travaillent véritablement pour le bien commun. Un engagement en faveur de la solidarité économique, financière et sociale suppose donc bien davantage que des actes sporadiques de générosité. C’est penser et agir en termes de communauté, de priorité de la vie de tous sur l’appropriation des biens de la part de certains. C’est également lutter contre les causes structurelles de la pauvreté, de l’inégalité, du manque de travail, de terre et de logement, de la négation des droits sociaux et du travail. C’est faire face aux effets destructeurs de l’Empire de l’argent. La solidarité, entendue dans son sens le plus profond, est une façon de faire l’histoire  (Fratelli Tutti, 116).

      Il est temps de reconnaître que les marchés -en particulier les marchés financiers- ne se gouvernent pas eux-mêmes. Les marchés doivent être encadrés par des lois et des réglementations garantissant qu’ils travaillent pour le bien commun, que la finance -plutôt que d’être simplement spéculative ou de se financer elle-même- travaille pour les objectifs sociétaux si nécessaires dans le contexte de l’urgence sanitaire mondiale actuelle. À cet égard, nous avons particulièrement besoin d’une solidarité vaccinale financée de manière juste, car nous ne pouvons pas permettre que la loi du marché prenne le pas sur la loi de l’amour et de la santé de tous. Ici, je réitère mon appel aux chefs de gouvernement, aux entreprises et aux organisations internationales pour qu’ils travaillent ensemble à la fourniture de vaccins pour tous, en particulier pour les plus vulnérables et les plus nécessiteux (cf. Message Urbi et Orbi, jour de Noël 2020).

      J’espère qu’à l’occasion de votre réunion, vos délibérations officielles et vos rencontres personnelles porteront beaucoup de fruits pour le discernement de solutions sages au service d’un avenir plus inclusif et plus durable. Un avenir où la finance est au service du bien commun, où les personnes vulnérables et marginalisées sont placées au centre, et où l’on prend bien soin de la terre, notre maison commune.

      En vous adressant mes meilleurs vœux et mes prières pour que ces réunions portent des fruits, j’invoque sur tous les participants les bénédictions divines de sagesse et d’intelligence, de bon conseil, de force et de paix.

      Au Vatican, le 4 avril 2021

    Le Pape a dit :

     

     

     


    Le Pape a dit...

     

    ..et, comme le remarque Jeanne Smits sur son blog :

    "Sans surprise, la Sainte Trinité et même Notre Seigneur Jésus-Christ sont aux abonnés absents de la lettre du pape (au FMI et à la Banque mondiale.)"

    "Mais si c’est pour une œuvre… 'L’économie verte, inclusive et solidaire''...!"

     

     

     

     

     


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    "Fratelli tutti"

    Programme commun

    Depuis Le Caire le pape Ahmad Al-Tayyeb Ιer et son homologue du Vatican le grand imam Jorge-Mario Bergoglio, dit "Francesco Zéro", ont signé un texte commun "Tous frères", en faveur de la fraternité et l'amitié sociale, et contre le racisme, les nationalismes et les populismes malsains.

    Trois grands axes sont à dégager de ce texte capital qui fait l'unanimité dans la presse nationale, depuis "le Monde" jusqu'à "Libé" en passant par "la Croix" :

    Frontières : "Les limites et les frontières des Etats ne peuvent pas s’opposer à l’arrivée des migrants car ceux-ci ne sont pas des usurpateur. et personne ne peut être exclu, rejeté ou expulsé, où il soit né, puisque chaque pays est également celui de l’étranger Il est évidemment important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps ou intégrés à la société le concept de citoyenneté et renoncer à l’usage discriminatoire du terme "minorités". En effet, les migrants sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir."

    Propriété privée : "La notion de propriété privée est secondaire et donc, finalement, liée à sa fonction sociale d’aider les plus pauvres. Il y a une subordination de toute propriété privée à la destination universelle des biens de la terre et, par conséquent, le droit de tous et de chacun à leur disposition et à leur utilisation."

    Guerre et paix : L'idée de guerre est devenue impensable du fait des risques toujours plus grands que l’utilité hypothétique qu’on lui attribue. Face à cette réalité, il est très difficile aujourd’hui de défendre les critères rationnels, mûris en d’autres temps anciens, pour parler d’une possible guerre dite juste. L’impératif de l’élimination totale des armes nucléaires doit être le but ultime, et les budgets d’armement devront être transformés en un fonds mondial de lutte contre la faim.

    Et, pendant ce temps-là, en France, monsieur Emmanuel Président Macron de la République dénonce "le piège de l’amalgame tendu par les polémistes et les extrêmes, qui consisterait à stigmatiser tous les musulmans", souhaite -et donc, exige- "faire enseigner davantage la langue arabe à l'école ou dans un périscolaire maîtrisé car la jeunesse est aussi riche de cette culture plurielle" et s'engage à "soutenir ce qui doit, dans notre pays, permettre de faire émerger une meilleure compréhension de l'Islam". et y créer un "institut scientifique d'islamologie" 

    Programme commun

     

     

    "Inchalleluïa", mes pauvres fratellis...

    J'avais déjà utilisé ce "Inchalleluïa" dans un autre article ("Autres temps, autres mœurs") sans savoir que je n'en étais pas le génial créateur...

     

     


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