• Le Puy du Fou ( Vendée )

     

    "France-Info" avec AFP du 17/03/2024

    Le Puy du Fou remporte une distinction mondiale du "meilleur spectacle"

    Le Puy du Fou, parc de loisirs vendéen réputé pour ses fresques historiques, a reçu le prix du "meilleur spectacle du monde" pour l'une de ses créations, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 mars. Ce "Thea Classic Award", la plus haute distinction de l'industrie du divertissement mondial, a été remis par le jury de la "Themed Entertainment Association" à une équipe du parc lors d'une cérémonie organisée à Los Angeles.

    "Ce prix confirme la stratégie audacieuse d'une entreprise 100% française et démontre la dimension universelle du Puy du Fou : son modèle transcende les cultures et les patrimoines", s'est réjoui Nicolas de Villiers, président du parc.
     
    Le parc vendéen avait déjà reçu un "Thea Classic Award" en 2012, cette fois pour le "meilleur parc du monde". Deux ans plus tard, il avait remporté le prestigieux "Applause Award" de l'"International Association of Amusement Parks and Attractions" (IAAPA), une association qui réunit 4 500 parcs dans le monde.

    Un "seum" de "ouf"...!

     

    Un "seum" de "ouf"...!

     
     
    * Seum : Rancœur, sentiment de colère, de frustration et de dégoût ; cause de ce dégoût. Comme une bonne partie du slang des cités, le terme "seum" trouve ses racines de l'autre côté de la Méditerranée. En arabe, "sèmm ou "sma" signifie littéralement "venin", mais est également employé au sens de "rage" et de "jalousie"
     
     
     

    « La culture française n'existe pas, il y a une culture en France, et elle est multiple... »

    Emmanuel Macron, candidat à la Présidence de la France, 06/02/2017

     

     


    6 commentaires
  •  cadeau

    les mots sont inutiles.  

     

    11 commentaires
  • cadeau  

     

    Cathédrale de Reims

      


    6 commentaires
  •  

    Shane MacGowan, le chanteur des Pogues est décédé

     

    Shane MacGowan, le chanteur du groupe de punk celtique "The Pogues", surnommé le "Perdant magnifique" est mort à l’âge de 65 ans des suites d'une longue maladie a annoncé son épouse ce 30 novembre 2023 : "Shane est parti retrouver Jésus et et Marie"  

    Adieu au dernier poète.

    The Pogues & Kirsty MacColl "Conte de fée à New York"

     

    C'étaitl a veille de Noël bébé
    It was Christmas Eve babe
    Dans la tanière des ivrognes
    In the drunk tank
    Un vieil homme m'a dit, je n'en verrai pas un autre
    An old man said to me, won't see another one
    Et puis il a chanté une chanson
    And then he sang a song
    "The Rare Old Mountain Dew"
    The Rare Old Mountain Dew
    J'ai détourné mon visage
    I turned my face away
    Et j'ai rêvé de toi
    And dreamed about you

    J'ai eu de la chance
    Got on a lucky one
    Ils étaient à dix-huit contre uns 
    Came in eighteen to one
    J'ai un présentiment
    I've got a feeling
    Cette année c'est pour moi et toi
    This year's for me and you
    Alors joyeux Noël
    So happy Christmas
    Je t'aime bébé
    I love you baby
    Je peux apercevoir un meilleur moment
    I can see a better time
    Quand tous nos rêves deviennent réalité
    When all our dreams come true

    Ils ont des voitures grosses comme des bars
    They've got cars big as bars
    Ils ont des rivières d'or
    They've got rivers of gold

    Mais le vent te traverse
    But the wind goes right through you
    Ce n'est pas un endroit pour les vieux
    It's no place for the old
    Quand tu m'as pris la main pour la première fois
    When you first took my hand
    Par une froide veille de Noël
    On a cold Christmas Eve
    Tu m'avais promis
    You promised me
    Broadway m'attendait
    Broadway was waiting for me

    Tu étais belle
    You were handsome
    Tu étais jolie
    You were pretty
    Reine de New York
    Queen of New York City
    Quand le groupe a fini de jouer
    When the band finished playing
    Ils ont hurlé pour en savoir plus
    They howled out for more
    Sinatra se balançait
    Sinatra was swinging
    Tous les ivrognes chantaient
    All the drunks they were singing
    Nous nous sommes embrassés dans un coin
    We kissed on a corner
    Puis j'ai dansé toute la nuit
    Then danced through the night

    Les garçons de la chorale du NYPD
    The boys of the NYPD choir
    Chantaient la baie de Galway
    Were singing Galway Bay
    Et les cloches sonnaient
    And the bells were ringing out
    Pour le jour de Noël
    For Christmas day

    Tu es un clochard
    You're a bum
    Tu es un punk
    You're a punk
    Tu es une vieille salope à la poubelle
    You're an old slut on junk
    Allongé là, presque mort, sous perfusion, dans ce lit
    Lying there almost dead on a drip in that bed
    Espèce de salaud, espèce d'asticot
    You scumbag, you maggot
    Espèce de pédé minable et bon marché
    You cheap lousy faggot
    Joyeux Noël ton cul
    Happy Christmas your arse
    Je prie pour Dieu que ce soit notre dernier
    I pray God it's our last

    Les garçons de la chorale du NYPD
    The boys of the NYPD choir
    Chantent toujours la baie de Galway
    Still singing Galway Bay
    Et les cloches sonnent
    And the bells are ringing out
    Pour le jour de Noël
    For Christmas day

    J'aurais pu être quelqu'un
    I could have been someone
    Eh bien, n'importe qui pourrait le faire aussi
    Well so could anyone

    Tu as pris mes rêves
    You took my dreams from me
    Quand je t'ai trouvé pour la première fois
    When I first found you
    Je les ai gardés avec moi bébé
    I kept them with me babe
    Je les mets avec les miens
    I put them with my own
    Je ne peux pas y arriver tout seul
    Can't make it all alone
    J'ai construit mes rêves autour de toi
    I've built my dreams around you

    Les garçons de la chorale du NYPD
    The boys of the NYPD choir
    Chantent toujours la baie de Galway
    Still singing Galway Bay
    Et les cloches sonnent
    And the bells are ringing out
    Pour le jour de Noël
    For Christmas day

    Requiescat in pace

     

     


    2 commentaires
  • Cluny, "la seconde Rome"

    Pendant des siècles, Cluny a régné sur l’Occident chrétien, épicentre d’un savoir-faire architectural, culturel et artistique qui s’est exporté dans toute l’Europe.

     

    « 11 septembre 910, Guillaume Ier fonde l’abbaye bénédictine de Cluny. Cluny devient une des capitales de l’Europe chrétienne. En 1791, elle est détruite avec des mines par les révolutionnaires. En 1793, archives et ouvrages précieux datant du Xe siècle sont brûlés par la république.

    « La révolution française sonne le glas de Cluny. En 1790, l'Assemblée Constituante vote la suppression de toute communauté religieuse. La douzaine de moines qui restent dans le murs l'abbatiale assiste au pillage systématique de trésors accumulés depuis des siècles. Tout est emporté, depuis le mobilier jusqu'à la bibliothèque, en passant par l'or, les objets d'arts et les vitraux. Même les grilles, les gargouilles et les cloches sont déposées pour être fondues. Malgré l'alerte de Alexandre Lenoir (médiéviste et créateur du Musée des Monuments Français), Cluny, désormais bien national, devient une carrière de pierre. Les démolisseurs poursuivent leur travail de sape jusqu'en 1809 et 1810, années marquées par la chute du clocher du chœur, du portail et de l'avant-nef. Cluny n'est plus qu'un champ de ruines dont on ne parvient pas à retrouver la mémoire.

     

    La construction des différentes "phases" de Cluny aura duré jusque vers 1130.

    Une importante campagne de restauration est menée depuis les années 2010.

     

     

     

     


    28 commentaires
  •  

    À Quimper, en 1981, paraît "Solo" le chant ultime de Xavier Grall, poète breton, catholique et autonomiste libertaire. L’écrivain y conclut sa vie écourtée par le cancer lié au tabagisme par un chant d’adieu à la Bretagne, à la France, aux poètes, aux oiseaux et aux soucis du monde.  

     

    Roi des eaux et des mondes
    Au revoir et kenavo
    Saluez pour moi
    François Villon Arthur Rimbaud
    Les anciens et les nouveaux
    Les voyous et les voyants
    Les croyants et les fous
    Max Jacob et Verlaine
    Perros et Guillaume de Machaut
    Je leur offre mon solo
    Avec un brin de marjolaine 

    extraits

    Seigneur me voici c’est moi
    je viens de petite Bretagne
    mon havresac est lourd de rimes
    de chagrins et de larmes
    j’ai marché
    Jusqu’à votre grand pays
    ce fut ma foi un long voyage
    trouvère
    j’ai marché par les villes
    et les bourgades
    François Villon
    dormait dans une auberge
    à Montfaucon
    dans les Ardennes des corbeaux
    et des hêtres
    Rimbaud interpellait les écluses
    les canaux et les fleuves
    Verlaine pleurait comme une veuve
    dans un bistrot de Lorraine
    Seigneur me voici c’est moi
    de Bretagne suis
    ma maison est à Botzulan
    mes enfants mon épouse y résident
    mon chien mes deux cyprès
    y ont demeurance
    m’accorderez-vous leur recouvrance ?
    Seigneur mettez vos doigts
    dans mes poumons pourris
    j’ai froid je suis exténué
    O mon corps blanc tout ex-voté
    j’ai marché
    les grands chemins chantaient
    dans les chapelles
    les saints dansaient dans les prairies
    parmi les chênes erraient les calvaires
    O les pardons populaires
    O ma patrie
    j’ai marché
    j’ai marché sur les terres bleues
    et pèlerines
    j’ai croisé les albatros
    et les grives
    mais je ne saurais dire
    jusqu’aux cieux
    l’exaltation des oiseaux
    tant mes mots dérivent
    et tant je suis malheureux

    Seigneur me voici c’est moi
    je viens à vous malade et nu
    j’ai fermé tout livre
    et tout poème
    afin que ne surgisse
    de mon esprit
    que cela seulement
    qui est ma pensée
    Humble et sans apprêt
    ainsi que la source primitive
    avant l’abondance des pluies
    et le luxe des fleurs

    Seigneur me voici devant votre face
    chanteur des manoirs et des haies
    que vous apporterai-je
    dans mes mains lasses
    sinon les traces et les allées
    l’âtre féal et le bruit des marées
    les temps ont passé
    comme l’onde sous le saule
    et je ne sais plus l’âge
    ni l’usage du corps
    je ne sais plus que le dit
    et la complainte
    telle la poésie
    mon âme serait-elle patiente
    au bout des galantes années ?

    Seigneur me voici c’est moi
    de votre terre j’ai tout aimé
    les mers et les saisons
    et les hommes étranges
    meilleurs que leurs idées
    et comme la haine est difficile
    les amants marchent dans la ville
    souvenez-vous de la beauté humaine
    dans les siècles et les cités
    mais comme la peine est prochaine !

    Seigneur me voici c’est moi
    j’arrive de lointaine Bretagne
    O ma barque belle
    parmi les bleuets et les dauphins
    les brumes y sont plus roses
    que les toits de l’Espagne
    je viens d’un pays de marins
    les rêves sur les vagues
    sont de jeunes rameurs
    qui vont aux îles bienheureuses
    de la grande mer du Nord

    Je viens d’un pays musicien
    liesses colères et remords
    amènent les vents hurleurs
    sur le clavier des ports

    je viens d’un pays chrétien
    ma Galilée des lacs et des ajoncs
    enchante les tourterelles
    dans les vallons d’avril
    me voici Seigneur devant votre face
    sainte et adorable
    mendiant un coin de paradis
    parmi les poètes de votre extrace
    si maigre si nu
    je prendrai si peu de place
    que cette grâce
    je vous supplie de l’accorder
    au pauvre hère que je suis
    ayez pitié Seigneur
    des bardes et des bohémiennes
    qui ont perdu leur vie
    sur le chemin des auberges
    nulle orgue grégorienne
    n’a salué leur trépas
    pour ceux qui meurent
    dans les fossés
    une feuille d’herbe dans la bouche
    le cœur troué d’une vielle peine
    de lourdes larmes dans le paletot
    et dans les veines des lais et des rimes
    Seigneur ayez pitié !

    La mort vient tôt frapper
    à notre porte
    les vents d’hiver emportent
    les poitrinaires
    et pour flétrir les pâles primevères
    il suffit que l’ondée se conforte
    d’un peu de givre et de Galerne
    la vie s’en va la vie s’en vient
    ma belle passante mon étrangère
    la vie s’en vient la vie s’en va
    lonla lonlaine et caetera 

    S
    SOL
    L
    O
    ma rose des vents
    mon signe de croix

    S
    O
    ILE
    O
    Mon ex-voto
    dans la crypte marine
    chantez saxos 

    S
    O
    L
    FOL
    stèle et fanal
    flamme
    amer du littoral
    signe vertical
    de la raison
    face aux fatales démences
    de la mer et des lames 

    J’aurais aimé chanter le triomphe
    des marées à la corne des caps
    et la douceur des plages
    dans les criques pélagiennes
    un orchestre de pianistes
    et de harpeurs
    eût repris le thème de l’antienne
    car je portais dans mon sang
    mystique
    des hymnes marins
    et des fureur liturgiques
    j’aurais aimé chanter
    les varechs verts
    les germons bleus
    les daurades d’or
    les couleurs et les chaos
    par la harpe et le saxo
    mon Dieu je vous adore
    Orgues de Benjamin Britten
    Cuivres de Ludwig Van Beethoven
    Les symphonies fusent
    dans les rocs d’Ouessant
    les tintamarres furieux
    fracassent les brisants
    qui dira les sonorités multicolores
    dans la gorge des rias
    les corps morts dansent
    les cormorans fustigent les amarres
    les coques des naufrages
    cognent dans les baies
    des oiseaux hurleurs
    descendent dans mes veines
    mon âme est cette porte battante
    ouverte sur la mer
    j’attends la fuite des vents
    à la renverse
    paix sur les noyés et les goémons
    paix sur les îles et les quais
    mon cœur
    tranquille caboulot
    à la bonne brise
    au-dessus des limons
    affiche son enseigne
    « Au repos du marin »

    Solo

    Solo de mes noyades
    solo de mes sanglots
    j’agite des violons brisé
    sur mes amours mortes
    mes barques chavirées
    accrochent des grelots
    aux chagrins sourds
    qui lentement m’emportent
    Solo

    Solo d’oraisons ferventes
    il m’arrive de prier
    dans les églises défuntes
    Notre-Dame des poètes
    mère des Atlantes
    pitié pour ce voilier perdu
    au large des pâles limbes
    Solo

    Solo de mes années passantes
    haleurs et musiciens
    désertent les bordées
    mon âme est cette Marie-Galante
    que défoncent les vins
    et les rhums boucanés
    Solo

    Solo de mes pensées dolentes
    musiques enfuies motets anciens
    tout périt dans les marées violentes
    l’Océan tracasse des pianos
    à la gueule des chiens
    Seigneur me voici c’est moi
    je viens à vous issu d’un pays de mer
    les tempêtes ont réjoui mon amère jeunesse
    la liesse des alizés roulait dans les collèges
    les goélands croisaient dans mes classes latines
    des Maris Stella à matines
    éclataient dans les nefs
    les noroîts jouaient de l’harmonium
    délirium du graduel
    cantique des grèves ivres
    O les navires et les chapelles
    Etoile de la mer
    Qu’ai-je fait de ma chère jeunesse ?
    Seigneur me voici c’est moi
    dans les bonnes auberges
    j’ai traîné ma détresse
    les bouteilles entonnaient des pavanes
    dans les verres je buvais des rengaines
    les bars roulaient comme des rivières
    j’ai prié comme jamais dans les ivresses
    faisant des femmes des suzeraines
    qu’elles fussent allemandes
    bretonnes françaises
    leur beauté glorifiée par l’absinthe
    dissolvait la bassesse
    c’était ma tournée aux tables saintes
    Seigneur
    les bars chantent toujours dans les villes
    a santé trop vile les déserte
    Je ne vois plus les Belles
    qu’au fond de ma mémoire
    Brestoises Rhénanes ou Parisiennes
    elles ont quitté mon domaine
    fermons les persiennes
    sur mes cinquante et une années
    j’écrase les feuilles mortes
    dans les allées
    les temps ronge les vies et les grimoires
    adieu les Reines les bars et camarades
    je tiens comme un pourboire
    votre souvenir
    adieu mes fêtes et mes délires
    adieu mes désirades

    Seigneur Dieu
    A mes frères et amis
    Aux femmes que j’ai aimées
    A tous ceux que mon cœur à croisés
    Avant que d’entrer dans les ténèbres
    Transmettez je vous prie mon espérance testamentaire
    Nul chant nul solo
    Nulle symphonie nul concerto
    Qui porte nostalgie d’amour
    Et soif et faim de tendresse
    Ne sera perdu dans la détresse de lamer
    Voilà et puis encore ceci

    Par la dernière larme
    Par l’ultime halètement
    Par le dernier frémissement
    Par le moineau qui s’envole
    Par le geai sur la branche
    Par la dernière chanson
    Par la joie dans la grange
    Par le vent qui se lève
    Par le matin qui vient
    Tout simplement
    Je vous rends grâce
    D’avoir été dans le bondissement incroyable
    De votre création
    Et misérable
    Oui
    Tout simplement
    Un être humain
    Parmi les milliards et les milliards
    De vos créatures
    A présent que les feuilles et les mains
    De douce Nature
    Me closent les yeux !
    Mais Seigneur Dieu
    Comme la vie était jolie
    En ma Bretagne bleue !

     

     

    Solo

    Poète, écrivain et journaliste breton, Xavier Grall a magnifié la Bretagne dans son œuvre mystique. Il redevient breton lorsqu'il quitte Paris en 1973, pour retourner définitivement dans la région de Pont-Aven, à Nizon, dans la ferme de Bossulan. Il exerce à La Vie catholique, dont il fut le rédacteur en chef, au journal Le Monde, à l'hebdomadaire Témoignage chrétien, et au mensuel Bretagne. Au début des années 1970, il fonde le journal nationaliste breton la Nation bretonne avec Alain Guel et Glenmor, où l'on retrouve ses textes sous le pseudonyme de "Saint Herbot", entre autres. Chaque année une scène du festival des Vieilles Charrues de Carhaix porte son nom.

     

     

     

     


    13 commentaires
  • Pour "F. " !  wink2  

     

    AVERTISSEMENT : ceci n'est pas une publicité pour un resto dont j'ai entendu parler pour la première fois il y a quelques jours, où je n'ai jamais mis les pieds et ne les mettrai peut-être jamais, mais une publicité pour un Art de Vivre, pour des valeurs et une tradition françaises en voie de disparition, autrement dit...

    ...un morceau de la France qu'on aime !

     

    « Benoît Duval-Arnould est le patron enthousiaste du Bon Georges depuis 2013. Après une première vie professionnelle à l'opposé de la restauration, il a décidé d'ouvrir un bistrot, parce que c'est un «métier de passion dans lequel on donne de l'amour».

    « Derrière les fourneaux, le chef Loïc Lobet, un expert de la cuisson. Son lièvre à la royale –à la carte un seul mois dans l'année, le cuisinier ne travaillant que des lièvres d'octobre– nécessite trois semaines de préparation, quelque 75 litres de vin ainsi que plusieurs bouteilles de cognac et d'armagnac. C'est ensuite un long mijotage qui donne à la sauce sa texture si particulière.

    « À ne pas manquer non plus son pâté en croûte, ou son oreiller de la Belle Aurore. Côté desserts, notons que la mousse au chocolat est préparée avant chaque service, soit deux fois par jour, pour ne pas qu'elle soit malmenée par le passage au froid.

    « Devanture à l'ancienne, tables en bois, menus sur ardoise... Le Bon Georges est un bistrot typiquement parisien et encore dans son jus. Mais c'est aussi un lieu qui permet d'épancher sa soif de la meilleure des manières: le restaurant propose une des plus jolies cartes des vins de la capitale.

    « Formule au déjeuner à 23 euros du lundi au vendredi. Plats entre 24 et 38 euros, pièce de viande à partager à partir de 45 euros. »

    (vu dans la presse)  

    Le Bon George

     

    Alors... "à vos pupilles, à vos papilles"

    "Le Bon George"    "Le Bon George"

     

    "Le Bon George"   "Le Bon George"

    "Le Bon George"      "Le Bon George"

    "Le Bon George"   "Le Bon George"

    "Le Bon George"    "Le Bon George"

    "Le Bon George"    "Le Bon George"

    "Le Bon George"    "Le Bon George"

     

     

    Destiné plus spécialement aux amateurs de cuisine traditionnelle, pour une cuisine plus innovante, souvenez-vous, il existe toujours çà... et, dans un tout autre domaine, "Streaters" récemment récompensé par la presse spécialisée

    D'aucun trouveront l'endroit un peu branchouille, à l'instar de cette revue portant le nom de ces deux fameux critiques gastronomique qui ont longtemps fait la pluie et le mauvais temps sur tous les restaurants de l'Hexagone : "un bon bistrot à la française pour SoPi, une bonne image pour le quartier..."  (pour les béotiens, " SoPi' est l'acronyme qui désigne le quartier branché parisien du sud de Pigalle -South Pigalle en frangliche-, un des coins les plus trendy de la capitale, autrement dit le paradis du shoppeur, à deux pas de la butte Montmartre...)

     

     

     

     


    14 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique

Voice of Europe