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Par bedeau le 17 Mars 2024 à 21:39
Le Puy du Fou ( Vendée )
"France-Info" avec AFP du 17/03/2024
Le Puy du Fou remporte une distinction mondiale du "meilleur spectacle"
Le Puy du Fou, parc de loisirs vendéen réputé pour ses fresques historiques, a reçu le prix du "meilleur spectacle du monde" pour l'une de ses créations, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 mars. Ce "Thea Classic Award", la plus haute distinction de l'industrie du divertissement mondial, a été remis par le jury de la "Themed Entertainment Association" à une équipe du parc lors d'une cérémonie organisée à Los Angeles.
"Ce prix confirme la stratégie audacieuse d'une entreprise 100% française et démontre la dimension universelle du Puy du Fou : son modèle transcende les cultures et les patrimoines", s'est réjoui Nicolas de Villiers, président du parc.Le parc vendéen avait déjà reçu un "Thea Classic Award" en 2012, cette fois pour le "meilleur parc du monde". Deux ans plus tard, il avait remporté le prestigieux "Applause Award" de l'"International Association of Amusement Parks and Attractions" (IAAPA), une association qui réunit 4 500 parcs dans le monde.* Seum : Rancœur, sentiment de colère, de frustration et de dégoût ; cause de ce dégoût. Comme une bonne partie du slang des cités, le terme "seum" trouve ses racines de l'autre côté de la Méditerranée. En arabe, "sèmm ou "sma" signifie littéralement "venin", mais est également employé au sens de "rage" et de "jalousie"« La culture française n'existe pas, il y a une culture en France, et elle est multiple... »
Emmanuel Macron, candidat à la Présidence de la France, 06/02/2017
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Par bedeau le 30 Novembre 2023 à 17:14
Shane MacGowan, le chanteur des Pogues est décédé
Shane MacGowan, le chanteur du groupe de punk celtique "The Pogues", surnommé le "Perdant magnifique" est mort à l’âge de 65 ans des suites d'une longue maladie a annoncé son épouse ce 30 novembre 2023 : "Shane est parti retrouver Jésus et et Marie"
Adieu au dernier poète.
The Pogues & Kirsty MacColl – "Conte de fée à New York"
C'étaitl a veille de Noël bébé
It was Christmas Eve babe
Dans la tanière des ivrognes
In the drunk tank
Un vieil homme m'a dit, je n'en verrai pas un autre
An old man said to me, won't see another one
Et puis il a chanté une chanson
And then he sang a song
"The Rare Old Mountain Dew"
The Rare Old Mountain Dew
J'ai détourné mon visage
I turned my face away
Et j'ai rêvé de toi
And dreamed about youJ'ai eu de la chance
Got on a lucky one
Ils étaient à dix-huit contre uns
Came in eighteen to one
J'ai un présentiment
I've got a feeling
Cette année c'est pour moi et toi
This year's for me and you
Alors joyeux Noël
So happy Christmas
Je t'aime bébé
I love you baby
Je peux apercevoir un meilleur moment
I can see a better time
Quand tous nos rêves deviennent réalité
When all our dreams come trueIls ont des voitures grosses comme des bars
They've got cars big as bars
Ils ont des rivières d'or
They've got rivers of goldMais le vent te traverse
But the wind goes right through you
Ce n'est pas un endroit pour les vieux
It's no place for the old
Quand tu m'as pris la main pour la première fois
When you first took my hand
Par une froide veille de Noël
On a cold Christmas Eve
Tu m'avais promis
You promised me
Broadway m'attendait
Broadway was waiting for meTu étais belle
You were handsome
Tu étais jolie
You were pretty
Reine de New York
Queen of New York City
Quand le groupe a fini de jouer
When the band finished playing
Ils ont hurlé pour en savoir plus
They howled out for more
Sinatra se balançait
Sinatra was swinging
Tous les ivrognes chantaient
All the drunks they were singing
Nous nous sommes embrassés dans un coin
We kissed on a corner
Puis j'ai dansé toute la nuit
Then danced through the nightLes garçons de la chorale du NYPD
The boys of the NYPD choir
Chantaient la baie de Galway
Were singing Galway Bay
Et les cloches sonnaient
And the bells were ringing out
Pour le jour de Noël
For Christmas dayTu es un clochard
You're a bum
Tu es un punk
You're a punk
Tu es une vieille salope à la poubelle
You're an old slut on junk
Allongé là, presque mort, sous perfusion, dans ce lit
Lying there almost dead on a drip in that bed
Espèce de salaud, espèce d'asticot
You scumbag, you maggot
Espèce de pédé minable et bon marché
You cheap lousy faggot
Joyeux Noël ton cul
Happy Christmas your arse
Je prie pour Dieu que ce soit notre dernier
I pray God it's our lastLes garçons de la chorale du NYPD
The boys of the NYPD choir
Chantent toujours la baie de Galway
Still singing Galway Bay
Et les cloches sonnent
And the bells are ringing out
Pour le jour de Noël
For Christmas dayJ'aurais pu être quelqu'un
I could have been someone
Eh bien, n'importe qui pourrait le faire aussi
Well so could anyoneTu as pris mes rêves
You took my dreams from me
Quand je t'ai trouvé pour la première fois
When I first found you
Je les ai gardés avec moi bébé
I kept them with me babe
Je les mets avec les miens
I put them with my own
Je ne peux pas y arriver tout seul
Can't make it all alone
J'ai construit mes rêves autour de toi
I've built my dreams around youLes garçons de la chorale du NYPD
The boys of the NYPD choir
Chantent toujours la baie de Galway
Still singing Galway Bay
Et les cloches sonnent
And the bells are ringing out
Pour le jour de Noël
For Christmas day
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Par bedeau le 11 Septembre 2023 à 15:58
Cluny, "la seconde Rome"
Pendant des siècles, Cluny a régné sur l’Occident chrétien, épicentre d’un savoir-faire architectural, culturel et artistique qui s’est exporté dans toute l’Europe.
« 11 septembre 910, Guillaume Ier fonde l’abbaye bénédictine de Cluny. Cluny devient une des capitales de l’Europe chrétienne. En 1791, elle est détruite avec des mines par les révolutionnaires. En 1793, archives et ouvrages précieux datant du Xe siècle sont brûlés par la république.
« La révolution française sonne le glas de Cluny. En 1790, l'Assemblée Constituante vote la suppression de toute communauté religieuse. La douzaine de moines qui restent dans le murs l'abbatiale assiste au pillage systématique de trésors accumulés depuis des siècles. Tout est emporté, depuis le mobilier jusqu'à la bibliothèque, en passant par l'or, les objets d'arts et les vitraux. Même les grilles, les gargouilles et les cloches sont déposées pour être fondues. Malgré l'alerte de Alexandre Lenoir (médiéviste et créateur du Musée des Monuments Français), Cluny, désormais bien national, devient une carrière de pierre. Les démolisseurs poursuivent leur travail de sape jusqu'en 1809 et 1810, années marquées par la chute du clocher du chœur, du portail et de l'avant-nef. Cluny n'est plus qu'un champ de ruines dont on ne parvient pas à retrouver la mémoire.
La construction des différentes "phases" de Cluny aura duré jusque vers 1130.
Une importante campagne de restauration est menée depuis les années 2010.
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Par bedeau le 3 Août 2023 à 15:03
À Quimper, en 1981, paraît "Solo" le chant ultime de Xavier Grall, poète breton, catholique et autonomiste libertaire. L’écrivain y conclut sa vie écourtée par le cancer lié au tabagisme par un chant d’adieu à la Bretagne, à la France, aux poètes, aux oiseaux et aux soucis du monde.
Roi des eaux et des mondes
Au revoir et kenavo
Saluez pour moi
François Villon Arthur Rimbaud
Les anciens et les nouveaux
Les voyous et les voyants
Les croyants et les fous
Max Jacob et Verlaine
Perros et Guillaume de Machaut
Je leur offre mon solo
Avec un brin de marjolaineextraits
Seigneur me voici c’est moi
je viens de petite Bretagne
mon havresac est lourd de rimes
de chagrins et de larmes
j’ai marché
Jusqu’à votre grand pays
ce fut ma foi un long voyage
trouvère
j’ai marché par les villes
et les bourgades
François Villon
dormait dans une auberge
à Montfaucon
dans les Ardennes des corbeaux
et des hêtres
Rimbaud interpellait les écluses
les canaux et les fleuves
Verlaine pleurait comme une veuve
dans un bistrot de Lorraine
Seigneur me voici c’est moi
de Bretagne suis
ma maison est à Botzulan
mes enfants mon épouse y résident
mon chien mes deux cyprès
y ont demeurance
m’accorderez-vous leur recouvrance ?
Seigneur mettez vos doigts
dans mes poumons pourris
j’ai froid je suis exténué
O mon corps blanc tout ex-voté
j’ai marché
les grands chemins chantaient
dans les chapelles
les saints dansaient dans les prairies
parmi les chênes erraient les calvaires
O les pardons populaires
O ma patrie
j’ai marché
j’ai marché sur les terres bleues
et pèlerines
j’ai croisé les albatros
et les grives
mais je ne saurais dire
jusqu’aux cieux
l’exaltation des oiseaux
tant mes mots dérivent
et tant je suis malheureuxSeigneur me voici c’est moi
je viens à vous malade et nu
j’ai fermé tout livre
et tout poème
afin que ne surgisse
de mon esprit
que cela seulement
qui est ma pensée
Humble et sans apprêt
ainsi que la source primitive
avant l’abondance des pluies
et le luxe des fleursSeigneur me voici devant votre face
chanteur des manoirs et des haies
que vous apporterai-je
dans mes mains lasses
sinon les traces et les allées
l’âtre féal et le bruit des marées
les temps ont passé
comme l’onde sous le saule
et je ne sais plus l’âge
ni l’usage du corps
je ne sais plus que le dit
et la complainte
telle la poésie
mon âme serait-elle patiente
au bout des galantes années ?Seigneur me voici c’est moi
de votre terre j’ai tout aimé
les mers et les saisons
et les hommes étranges
meilleurs que leurs idées
et comme la haine est difficile
les amants marchent dans la ville
souvenez-vous de la beauté humaine
dans les siècles et les cités
mais comme la peine est prochaine !Seigneur me voici c’est moi
j’arrive de lointaine Bretagne
O ma barque belle
parmi les bleuets et les dauphins
les brumes y sont plus roses
que les toits de l’Espagne
je viens d’un pays de marins
les rêves sur les vagues
sont de jeunes rameurs
qui vont aux îles bienheureuses
de la grande mer du NordJe viens d’un pays musicien
liesses colères et remords
amènent les vents hurleurs
sur le clavier des portsje viens d’un pays chrétien
ma Galilée des lacs et des ajoncs
enchante les tourterelles
dans les vallons d’avril
me voici Seigneur devant votre face
sainte et adorable
mendiant un coin de paradis
parmi les poètes de votre extrace
si maigre si nu
je prendrai si peu de place
que cette grâce
je vous supplie de l’accorder
au pauvre hère que je suis
ayez pitié Seigneur
des bardes et des bohémiennes
qui ont perdu leur vie
sur le chemin des auberges
nulle orgue grégorienne
n’a salué leur trépas
pour ceux qui meurent
dans les fossés
une feuille d’herbe dans la bouche
le cœur troué d’une vielle peine
de lourdes larmes dans le paletot
et dans les veines des lais et des rimes
Seigneur ayez pitié !La mort vient tôt frapper
à notre porte
les vents d’hiver emportent
les poitrinaires
et pour flétrir les pâles primevères
il suffit que l’ondée se conforte
d’un peu de givre et de Galerne
la vie s’en va la vie s’en vient
ma belle passante mon étrangère
la vie s’en vient la vie s’en va
lonla lonlaine et caeteraS
SOL
L
O
ma rose des vents
mon signe de croixS
O
ILE
O
Mon ex-voto
dans la crypte marine
chantez saxosS
O
L
FOL
stèle et fanal
flamme
amer du littoral
signe vertical
de la raison
face aux fatales démences
de la mer et des lamesJ’aurais aimé chanter le triomphe
des marées à la corne des caps
et la douceur des plages
dans les criques pélagiennes
un orchestre de pianistes
et de harpeurs
eût repris le thème de l’antienne
car je portais dans mon sang
mystique
des hymnes marins
et des fureur liturgiques
j’aurais aimé chanter
les varechs verts
les germons bleus
les daurades d’or
les couleurs et les chaos
par la harpe et le saxo
mon Dieu je vous adore
Orgues de Benjamin Britten
Cuivres de Ludwig Van Beethoven
Les symphonies fusent
dans les rocs d’Ouessant
les tintamarres furieux
fracassent les brisants
qui dira les sonorités multicolores
dans la gorge des rias
les corps morts dansent
les cormorans fustigent les amarres
les coques des naufrages
cognent dans les baies
des oiseaux hurleurs
descendent dans mes veines
mon âme est cette porte battante
ouverte sur la mer
j’attends la fuite des vents
à la renverse
paix sur les noyés et les goémons
paix sur les îles et les quais
mon cœur
tranquille caboulot
à la bonne brise
au-dessus des limons
affiche son enseigne
« Au repos du marin »Solo
Solo de mes noyades
solo de mes sanglots
j’agite des violons brisé
sur mes amours mortes
mes barques chavirées
accrochent des grelots
aux chagrins sourds
qui lentement m’emportent
SoloSolo d’oraisons ferventes
il m’arrive de prier
dans les églises défuntes
Notre-Dame des poètes
mère des Atlantes
pitié pour ce voilier perdu
au large des pâles limbes
SoloSolo de mes années passantes
haleurs et musiciens
désertent les bordées
mon âme est cette Marie-Galante
que défoncent les vins
et les rhums boucanés
SoloSolo de mes pensées dolentes
musiques enfuies motets anciens
tout périt dans les marées violentes
l’Océan tracasse des pianos
à la gueule des chiens
Seigneur me voici c’est moi
je viens à vous issu d’un pays de mer
les tempêtes ont réjoui mon amère jeunesse
la liesse des alizés roulait dans les collèges
les goélands croisaient dans mes classes latines
des Maris Stella à matines
éclataient dans les nefs
les noroîts jouaient de l’harmonium
délirium du graduel
cantique des grèves ivres
O les navires et les chapelles
Etoile de la mer
Qu’ai-je fait de ma chère jeunesse ?
Seigneur me voici c’est moi
dans les bonnes auberges
j’ai traîné ma détresse
les bouteilles entonnaient des pavanes
dans les verres je buvais des rengaines
les bars roulaient comme des rivières
j’ai prié comme jamais dans les ivresses
faisant des femmes des suzeraines
qu’elles fussent allemandes
bretonnes françaises
leur beauté glorifiée par l’absinthe
dissolvait la bassesse
c’était ma tournée aux tables saintes
Seigneur
les bars chantent toujours dans les villes
a santé trop vile les déserte
Je ne vois plus les Belles
qu’au fond de ma mémoire
Brestoises Rhénanes ou Parisiennes
elles ont quitté mon domaine
fermons les persiennes
sur mes cinquante et une années
j’écrase les feuilles mortes
dans les allées
les temps ronge les vies et les grimoires
adieu les Reines les bars et camarades
je tiens comme un pourboire
votre souvenir
adieu mes fêtes et mes délires
adieu mes désiradesSeigneur Dieu
A mes frères et amis
Aux femmes que j’ai aimées
A tous ceux que mon cœur à croisés
Avant que d’entrer dans les ténèbres
Transmettez je vous prie mon espérance testamentaire
Nul chant nul solo
Nulle symphonie nul concerto
Qui porte nostalgie d’amour
Et soif et faim de tendresse
Ne sera perdu dans la détresse de lamer
Voilà et puis encore ceciPar la dernière larme
Par l’ultime halètement
Par le dernier frémissement
Par le moineau qui s’envole
Par le geai sur la branche
Par la dernière chanson
Par la joie dans la grange
Par le vent qui se lève
Par le matin qui vient
Tout simplement
Je vous rends grâce
D’avoir été dans le bondissement incroyable
De votre création
Et misérable
Oui
Tout simplement
Un être humain
Parmi les milliards et les milliards
De vos créatures
A présent que les feuilles et les mains
De douce Nature
Me closent les yeux !
Mais Seigneur Dieu
Comme la vie était jolie
En ma Bretagne bleue !Poète, écrivain et journaliste breton, Xavier Grall a magnifié la Bretagne dans son œuvre mystique. Il redevient breton lorsqu'il quitte Paris en 1973, pour retourner définitivement dans la région de Pont-Aven, à Nizon, dans la ferme de Bossulan. Il exerce à La Vie catholique, dont il fut le rédacteur en chef, au journal Le Monde, à l'hebdomadaire Témoignage chrétien, et au mensuel Bretagne. Au début des années 1970, il fonde le journal nationaliste breton la Nation bretonne avec Alain Guel et Glenmor, où l'on retrouve ses textes sous le pseudonyme de "Saint Herbot", entre autres. Chaque année une scène du festival des Vieilles Charrues de Carhaix porte son nom.
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Par bedeau le 21 Mai 2023 à 20:58
Pour "F. " !
AVERTISSEMENT : ceci n'est pas une publicité pour un resto dont j'ai entendu parler pour la première fois il y a quelques jours, où je n'ai jamais mis les pieds et ne les mettrai peut-être jamais, mais une publicité pour un Art de Vivre, pour des valeurs et une tradition françaises en voie de disparition, autrement dit...
...un morceau de la France qu'on aime !
« Benoît Duval-Arnould est le patron enthousiaste du Bon Georges depuis 2013. Après une première vie professionnelle à l'opposé de la restauration, il a décidé d'ouvrir un bistrot, parce que c'est un «métier de passion dans lequel on donne de l'amour».
« Derrière les fourneaux, le chef Loïc Lobet, un expert de la cuisson. Son lièvre à la royale –à la carte un seul mois dans l'année, le cuisinier ne travaillant que des lièvres d'octobre– nécessite trois semaines de préparation, quelque 75 litres de vin ainsi que plusieurs bouteilles de cognac et d'armagnac. C'est ensuite un long mijotage qui donne à la sauce sa texture si particulière.
« À ne pas manquer non plus son pâté en croûte, ou son oreiller de la Belle Aurore. Côté desserts, notons que la mousse au chocolat est préparée avant chaque service, soit deux fois par jour, pour ne pas qu'elle soit malmenée par le passage au froid.
« Devanture à l'ancienne, tables en bois, menus sur ardoise... Le Bon Georges est un bistrot typiquement parisien et encore dans son jus. Mais c'est aussi un lieu qui permet d'épancher sa soif de la meilleure des manières: le restaurant propose une des plus jolies cartes des vins de la capitale.
« Formule au déjeuner à 23 euros du lundi au vendredi. Plats entre 24 et 38 euros, pièce de viande à partager à partir de 45 euros. »
(vu dans la presse)
Alors... "à vos pupilles, à vos papilles"
Destiné plus spécialement aux amateurs de cuisine traditionnelle, pour une cuisine plus innovante, souvenez-vous, il existe toujours çà... et, dans un tout autre domaine, "Streaters" récemment récompensé par la presse spécialisée
D'aucun trouveront l'endroit un peu branchouille, à l'instar de cette revue portant le nom de ces deux fameux critiques gastronomique qui ont longtemps fait la pluie et le mauvais temps sur tous les restaurants de l'Hexagone : "un bon bistrot à la française pour SoPi, une bonne image pour le quartier..." (pour les béotiens, " SoPi' est l'acronyme qui désigne le quartier branché parisien du sud de Pigalle -South Pigalle en frangliche-, un des coins les plus trendy de la capitale, autrement dit le paradis du shoppeur, à deux pas de la butte Montmartre...)
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