• Fin de règne pétillante

     

    Champagne...! 

    Pendant que l'on demande aux Français de faire des sacrifices et des économies ("Nous vivons la fin de l' l'abondance..."), la Présidence de la République passe commande de plus de 11.000 bouteilles de champagne pour un montant dépassant les 500 000 euros, en prévision des cocktails et des réceptions des quatre prochaines années... des cocktails et des réceptions des quatre prochaines années... des cocktails et des réceptions des quatre prochaines années... des cocktails et des réceptions des quatre prochaines années... des cocktails et des réceptions des quatre prochaines années...

    Une fin de règne pétillante

     

     

    « 15 avril 2019 - 15 avril 2024"Dire les mots" »

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 17 Avril à 18:18
    Pangloss

    Projetterait-il de modifier un peu la constitution pour pouvoir fêter sa réélection?

      • Mercredi 17 Avril à 18:53

        @ Pangloss...!!!

        Voir les innombrables articles publiés généralement en juin 2023 avec pour sujet la modification de la Constitution  pour permettre sa réélection : 

        "En se déclarant favorable (dans les colonnes du Figaro) à la possibilité d’un troisième mandat présidentiel consécutif, Richard Ferrand (ancien Président de l'Assemblée Nationale et maintes fois premier-ministrable) a déclenché involontairement un tollé, mais posé une question pertinente : est-ce aux règles électorales d’interdire d’élection des hommes ou des femmes politiques auxquels il n’est rien reproché d’autre que le fait qu’ils exercent déjà un mandat ? Pourquoi ne pas laisser les électeurs juger de l’usure du pouvoir ?"

        " À titre personnel, je regrette tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire. La limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non-cumul des mandats, etc....Tout cela corsète notre vie publique dans des règles qui limitent le libre choix des citoyens. Ça affaiblit notre vie politique en qualité et en densité, et la rend moins attractive. Changeons tout cela en préservant le bicamérisme et le Conseil constitutionnel, gardien vigilant des principes républicains et des libertés publiques D'une manière générale, je trouve qu'en effet il faut faire confiance aux électeurs et choisir qui ils veulent quand ils veulent "

         

        C'est tout, c'est peu, mais c'est beaucoup pour qui la Constitution serait un outil de pouvoir comme un autre

         

         

      • Mercredi 17 Avril à 19:33

        @ Pangloss...?

        On peut aussi imaginer, un scénario qu'un ancien président du Conseil Constitutionnel juge possible : qu'il dissolve l'Assemblée Nationale, qu'il perde les élections législatives, et qu'il démissionne de la présidence laissant la place au président du Sénat en attendant une nouvelle élection présidentielle à laquelle il pourrait se présenter en toute légitimité, n'ayant pas accompli deux mandats consécutifs  (dans leur intégralité de cinq ans)

        A cœur vaillant, rien d'impossible...

         

      • Al West
        Mercredi 17 Avril à 20:58

        Bedeau,

        "A cœur vaillant, rien d'impossible...", soit. L'électeur français serait-il assez dindon pour se laisser fourrer (farcir ? gaver ?) une troisième fois ?

        Le titre d'Higelin, à première lecture, m'avait échappé.

        Et ôtez cette gousse d'ail, qui déshonore mon portail. Et bien non, je vais la laisser, et faire brûler de l'encens, histoire d'effrayer les mauvais esprits ;-)

      • Mercredi 17 Avril à 22:18

        @ Al West....

        Que Macron fasse tout ce qui est plus ou moins possible, légalement et constitutionnellement, pour exorciser cette "sinistre connerie" des deux mandats non renouvelables en dépit de ses démentis  c'est du domaine du vraisemblable. (vous le voyez vraiment faire la tournée des salles polyvalentes pour y donner des conférences ou y dédicacer ses livres de souvenirs, ou se contenter du bureau de maire de Marseille ?)

        Que les électeurs lui accordent à nouveau leur... "confiance (?)", ce serait du domaine du probable face, soit à des candidats diabolisés ou discrédités, soit face à une crise sociale et/ou politique nationale et/ou internationale (imprévue, ça va de soi) : on ne change pas de pilote pendant la tempête.

         

        Personne de sensé n'aurait donné élu un illustre inconnu inexpérimenté (je reste poli et discret), personne ne l'aurait donné réélu après un premier mandat entièrement failli dans quasiment tous les domaines. Personne ne le donnera re-réélu au vu des sondages et des cotes de popularité, mais pourtant... 

        Jamais deux sans trois...

         

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