•  

    Dans les coulisses d'un remaniement ministériel (Archive INA)

     

    Toute ressemblance avec une actualité politique française fraiche du jour ne saurait pas ne pas être le fait d'une coïncidence.

     


    10 commentaires
  •  

     

    Humouroïde

     

     

     


    14 commentaires
  •  

     @ A.W. :  intello       

     

    " Le 17 avril 2023, Macron nous a parlé de 100 jours d'apaisement...

    " C'est l'heure du bilan ! " 

     

     

     


    votre commentaire
  • Le prénom Manes est celui d'une personne volontaire, mais aussi inventive. Il se fixe des objectifs, se met au défi sans sourciller et arrive à ses fins. Il est également attentionné, ce qui ne manquera pas de plaire à ses proches... Manes arrive en France en 2006. Ce prénom est ainsi moderne dans notre pays. Aucun saint n'est associé à ce nom ; vous pouvez souhaiter sa fête à Manes le 1er novembre, jour de la Toussaint... C'est un prénom que très peu de garçons portent. Ils sont en effet 12 depuis 2006 à s'appeler ainsi. On rencontre le prénom Manes chez 4 enfants en 2007 puis 3 personnes le portent en 2008

     

    Je l'avais oublié, celui-là, le jeune Manes Nadel. Une allure de premier de la clase et d'ado tranquille qui fascine la France, doté d'une précocité à la Greta Thunberg (etc...) *, dont la maman est ancienne commissaire de police et ex-préfète évincée, et un le papa professeur d'économie.

    Tiens, revoilà Manès...

    Et puis voilà t'y pas tout d'un coup qu'il nous fait un gros caca nerveux après avoir entrevu le "14 juillet à la Macron" avec ses dirigeants fascistes.

     

    C'est vrai que ça nous manquait presque un peu, ses analyses percutantes (complètement) frappées du sot du bon sens ! 

    The worst of :

    "Les Soulèvements de la terre mènent la plus noble des causes: tout faire pour la survie du vivant. #Darmanin décide de les dissoudre, une dérive autoritaire de plus au service de ses amis les patrons. @lessoulevements ont tout notre soutien."

    "Bonjour Éric Woerth, plutôt que de donner votre avis sur cette abjecte réforme des retraites, je vous suggère d'aller en cours. Vous pourrez apprendre à ne pas bégayer, par exemple"

    "Élisabeth Borne ne gouverne pas pour la jeunesse, elle défend les intérêts de la classe dominante !""

    "Les syndicats de police d'extrême droite appellent à la guerre civile contre des "hordes sauvages" et assument de se mettre "au combat" de leur propre chef. Cette autonomisation de la police doit être sévèrement combattue. Ces factieux n'ont de syndicalistes que le nom."

    "Face au gouvernement autoritaire et aux policiers séditieux, la gauche doit se montrer unie et forte. Sans justice, il n'y aura pas de paix. Le fascisme c'est la guerre, la justice c'est la paix."

    "À cette vitesse là dans le concours de racisme ils vont bientôt mettre en place un grille des couleurs de peau chez les émeutiers. Et c'est la gauche qui n'est plus dans l'"arc républicain"."

    "Parcoursup ? Ça marche. Assez de sans-fac pour remplir le stade de France mais tout va bien. La démocratie ? Ça marche. Les syndicats de police appellent tranquillement à la sédition mais tout va bien. Idiots et irresponsables, c'est tout ce qu'ils sont."

    "Attention je m'en plains pas, je m'en bas les couilles  des  coms de droitards, c'est juste marrant de voir leurs valeurs."

     

     

    On dit dans une certaine presse que Loulou Boyard aurait trouvé son successeur... C'est pas faux !

    Et je me demande même... comme on ne les a jamais vu tous les deux sur la même photo... vous voyez ce que je veux dire !

     

     

    * lu dans une presse presque aussi enthousiaste que lors de la campagne pour la  présidentielle de 2017 concernant un jeune candidat, inattendu mais prometteur, aux allures de gendre parfait...

     

     

     

     


    13 commentaires
  •  

     "Valeurs républicaines..."

     

     

      Les valeurs de la République rendent impossible la célébration du 14-Juillet.

    Renaud CAMUS - juillet 2023  

     

     

    Je ne fêterai pas votre révolution...

     Pierre d’ANGLES - Janvier 1989

    Je ne fêterai pas votre révolution.
     On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
     Mais je prendrai le deuil de vos pauvres victimes.
     Elles seules ont droit à ma vénération.

     

    Je ne fêterai pas l’espérance trahie
     Du peuple demandant l’arbitrage royal
     Jusqu’alors rendu juste, équitable et loyal
     Mais au nom d’une foi par votre orgueil haïe.

     

    Je ne célébrerai pas votre intolérance.
     Ni vos sacrilèges, ni vos profanations.
     Ni les grands mots ronflants de vos proclamations
     Prônant la liberté dont vous priviez la France.

     

    Je ne fêterai pas l’infâme Cordelier
     Faisant assassiner, par sa triste colonne,
     En l’église du Luc, près de six cents personnes
     Dont cent cinquante enfants réunis pour prier.

     

    On ne pardonne pas les Oradour-sur-Glane
     Et vous seriez fondés d’en tarer les nazis
     Si vous n’aviez, chez nous, fait pire aussi
     Vous êtes précurseurs, Messieurs, et non profanes.

     

    Quand vous jetiez aux fours, par vous chauffés à blanc,
     Les mères, les enfants, les vieillards, les mystiques,
     Vous disiez faire le pain de la République…
     Mais Amey, mieux qu’Hitler, les y jetait vivants !

     

    Car c’est bien cet Amey, de sinistre mémoire,
     L’un de vos généraux prétendu glorieux,
    Qui fut l’instigateur de ce supplice odieux…
     Vous avez, aussi vous, eu vos fours crématoires.

     

    Et Turreau trouvait tant de plaisir à ces jeux
     Qu’il faisait ajouter, quand manquaient les dévotes,
     Et malgré tous leurs cris, les femmes patriotes…
     Votre fraternité les unissait au feu.

     

    Je ne fêterai pas vos tanneries humaines
     Dont votre chirurgien, Pecquel, fut l’écorcheur,
     Ni son ami Langlois, de Meudon, le tanneur…
     Ni votre grand Saint-Just disant qu’en ce domaine ;

     

     " Peau d’homme vaut bien mieux que celle du chamois,"
     " Que celle de la femme plus souple et plus fine…"
     Vous étiez sans culottes, alors ça se devine
     Vous vous en fîtes faire en peau de villageois.

     

    Quand vous abominez les gardiens sataniques
     De l’affreux Buchenvald écorchant de leur peau
     Nos morts, les laissant nus en leurs chairs en lambeaux,
     Avez-vous des remords ou restez-vous cyniques ?

     

    Je ne fêterai pas les enterrés vivants
     Dans les puits de Clisson et ceux de mon bocage
     Ni du fameux Carrier les célèbres mariages
     Voulus républicains mais surtout révoltants.

     

    Attachant l’un à l’autre, une fille et son père,
     Une mère et son fils, un prêtre et une sœur,
     Et nus, bien entendu, pour que leurs massacreurs
     Aient, humiliant leur mort, à rire et se distraire.

     

    Quand, en les entassant dans barques à sabords
     On les faisait sombrer dans les eaux de la Loire.
     Et le fleuve royal garde encore leur mémoire,
     Il apparaît plus triste à l’approche du port.

     

    Je ne fêterai pas, non plus, la guillotine,
     Ce symbole attitré de la révolution.
     Ce moyen fraternel d’abreuver nos sillons,
     Comme vous le chantez d’un sang que moi j’estime.

     

    Je ne chanterai pas votre révolution.
     Elle a fait trop couler de sang, de pleurs, de larmes.
     De notre vieux royaume elle a rompu le charme
     Et fait perdre, au pays, sa noble vocation.

     

    Vous avez tout brûlé, chez nous, châteaux, chaumières,
     Étables et clochers. Vous traîniez les enfers
     Pour faire du bocage un immense désert
     Sans une âme qui vive et sans pierre sur pierre…

     

    Vous n’aviez pas pensé que tout le sang versé
     Au terroir de l’amour serait semence vive.
     Il germe en attendant nos prochaines métives ;
     Il fleurira, demain, épi de liberté.

     

    La liberté de croire en un Dieu qui pardonne.
     En un ordre qui met, au sommet, le devoir
     Le courage et la foi. Qui veut que le pouvoir
     Ne dépende jamais du nombre et de la somme…

     

    Aujourd’hui nous pouvons vous juger à vos faits.
     Votre révolution a incendié notre terre.
     Elle a porté, partout, la misère et la guerre,
     Quand le monde a jamais plus désiré la paix…

     

    Je ne peux pas fêter votre révolution.
     On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
     Je porterai le deuil de toutes ses victimes.
     Elles seules ont droit à ma vénération.

     

     

    Comprend qui veut, comprend qui peut

     « Comment fêter la naissance d'un régime qui naquit dans le sang des innocents ? »

     

     


    8 commentaires
  •  

    Le bilan !  Le bilan !  

    1• Le Président de la République Emmanuel Macron et la Première ministre Elisabeth Borne ont annoncé une temporalité de "100 jours" pour mettre en place de nouveaux chantiers et apaiser la France, le Président en fera la bilan au cours de son entretien avec les Français à l'occasion de la Fête Nationale...

    2• Emmanuel Macron s'exprimera "dans les prochains jours", mais pas le 14 juillet, a confirmé mercredi son entourage.

    Vous croyiez pourtant bien voir échappé à Manu... Olivier est là pour remédier à ça, et avec un jour d'avance !

     

    (l'avantage, c'est que c'est plus court et que c'est moins long, sinon...!)

     

     

    Et, pendant ce temps-là, le Président... 

    100 jours d'action en 100 secondes

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  Avant de revenir à une autre réalité... 

    Incroyable ?...

    « Je suis ému là. Je blague pas.

    « Cette vidéo peut paraître anodine mais sur la plan métaphorique si on devait en faire un rapprochement sociétal ça prouverait par A + B que l'homme est plus proche d'un poisson que d'un migrant sous OQTF.

    « Incroyable. »

    ("Womada")  

    Vidéo trouvée sur "Valeurs Occidentales/ DefenderEurop"

     

     


    4 commentaires

Voice of Europe