• Jean-Michel Caradec est un auteur-compositeur-interprète français. Il est né le 20 septembre 1946 à Morlaix (Finistère) et mort le 29 juillet 1981 à Rambouillet (Yvelines), après un accident de la route alors qu'il rejoignait la tournée "France Inter".

    Il est notamment l'auteur des chansons "Ma petite fille de rêve", "La Colline aux coralines", "Ile" ou encore "Ma Bretagne quand elle pleut".

    La ballade de Jean-Michel

     "La ballade de Mc Donald" (1975)

    Mac Donald is sleeping on the canapé
    J'peux pas dormir sans oreiller
    Y a trop d'souris dans le grenier
    Mac Donald is sleeping on the canapé
     
    Coccinelle est au bout de mon doigt
    Monsieur l'shériff je ne peux pas
    Faire du mal à plus petit qu'moi
    Coccinelle est au bout de mon doigt
     
    Pistolero dans le Grand Canyon
    A cheval poursuivant la bonne
    Aluminium elle est mignonne
    Pistolero dans le Grand Canyon
     
    Mac Donald est caché dans le bois
    Pistolero ne le sait pas
    Aluminium est dans ses bras
    Mac Donald est caché dans le bois
     
    Le soleil dort le ciel est de velours
    Aluminium se meurt d'amour
    Mac Donald dit " il va faire jour"
    Le soleil dort le ciel est de velours
     
    Mac Donald is sleeping on the canapé
    Aluminium fait son café
    Ils ont fini par se marier
    Mac Donald is sleeping on the canapé

     

     

     

    Non, rien d'autre, pourquoi ?

    à quoi vous attendiez-vous ?

    un moment de vaine nostalgie...

    un 29 juillet, et pi c'est tout.

     

     


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  • «Il n'y a plus de saisons...» 

    Appel urgent à tous les gens 

    article de "La Touraine Républicaine" datée du samedi 6 novembre 1909. 

     

    «Il n'y a plus de saisons...»

    «Il n'y a plus de saisons», et ça tout le monde peut le constater, même que je me souviens que les vieux de mon village disaient que "...c'est à cause de leurs spoutniks et des avions qui passent le mur du son".

    Bon. D'accord. Mais n'empêche. C'est pas une raison. Il y a peut-être aussi des réchauffements asymptomatiques, bien que le mois de juillet 2023 ait été le mois le plus chaud depuis 100 000 ans (Mathilde Panot), et il y aurait moins de canicule à 60°C. et de feux de forêts si on avait réduit à temps notre consommation de viande (Sandrine Rousseau & Sandrine Rousseau), tout  comme il y a des épisodes pluvieux qui ne sont pas incompatibles avec la sécheresse, ("Libé") puisque même les mers et les océans sont touchés par cette sécheresse problématique (Mathilde Panot).

    Appel urgent à tous les gens

    De toute façon : "Il y a deux types de canicules, celle qui arrive rapidement et celle qui arrive lentement, dans les deux cas on a chaud" (Patrick Pelloux - covidiste télé)

     

    Alors...

    Après les polémiques et les controverses superflues, frivoles et improductives concernant le soi-disant devenir des pizzas soi-disant "quatre saisons", où les artichauts représenteraient le printemps, les tomates ou le basilic l'été, les champignons l'automne et le jambon ou les olives l'hiver (comme si on ne trouvait pas de jambon en été ni d'olives au printemps, et qu'on ne pouvait pas remplacer les champignons par de l'ananas !) place à des choses plus didactiques et plus essentielles :

    Madame le Ministre de la Culture, le GIEC, Météo-France, France-Info et BFM-TV organisent un grand jeu de l'été sur le thème "Changement Climatique - Y'a pu' d'saisons."

    Le jury sera placé sous la double présidence de madame Sandrine Rousseau et de monsieur Aymeric Caron.

    Il s'agit, plutôt que d'insérer des avertissements de sensibilité ou de contenu peu lus et peu respectés, de revisiter ou de rewriter des œuvres ayant pour thème "Les quatres saisons" vues par nos artistes les plus talentueux mais qui pourraient dans un avenir proche, heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non préparées et peu au courant des résultats des modifications climatiques anthropogènes et anthropiques de l'anthropocène:

     

    1) les photographies bucoliques de M. Poussin 

    Appel à mélomane

     

    2) les collages et photomontages de Giuseppe et Archiboldo 

    Appel à mélomane

     

    3) les paroles de la chanson "la petite marchande des 4 saisons" de Antoine Vivaldi

     

    « Il piccolo mercante delle quattro stagioni »

    (paroles et musique de A. Vivaldi) 

     

    La primavera

     

    L'estate

    Allegro
    Voici le Printemps,
    Que les oiseaux saluent d'un chant joyeux.
    Et les fontaines, au souffle des zéphyrs,
    Jaillissent en un doux murmure.

    Ils viennent, couvrant l'air d'un manteau noir,
    Le tonnerre et l'éclair messagers de l'orage.
    Enfin, le calme revenu, les oisillons
    Reprennent leur chant mélodieux.

    Largo
    Et sur le pré fleuri et tendre,
    Au doux murmure du feuillage et des herbes,
    Dort le chevrier, son chien fidèle à ses pieds.

    Allegro
    Au son festif de la musette
    Dansent les nymphes et les bergers,
    Sous le brillant firmament du printemps

     

    Allegro non molto - Allegro
    Sous la dure saison écrasée de soleil,
    Homme et troupeaux se languissent, et s'embrase le pin.
    Le coucou se fait entendre, et bientôt d'une seule voix
    Chantent la tourterelle et le chardonneret.

    Zéphyr souffle doucement, mais, tout à coup,
    Borée s'agite et cherche querelle à son voisin.
    Le pâtre s'afflige, car il craint
    L'orage furieux, et son destin.

    Adagio - Presto - Adagio
    À ses membres las, le repos est refusé :
    La crainte des éclairs et le fier tonnerre
    Et l'essaim furieux des mouches et des taons.

    Presto
    Ah, ses craintes n'étaient que trop vraies,
    Le ciel tonne et fulmine et la grêle
    Coupe les têtes des épis et des tiges.

         

    L'autunno

     

    L'inverno

    Allegro
    Par des chants et par des danses,
    Le paysan célèbre l'heureuse récolte
    Et la liqueur de Bacchus
    Conclut la joie par le sommeil.

    Adagio molto
    Chacun délaisse chants et danses :
    L'air est léger à plaisir,
    Et la saison invite
    Au plaisir d'un doux sommeil.

    Allegro
    Le chasseur part pour la chasse à l'aube,
    Avec les cors, les fusils et les chiens.
    La bête fuit, et ils la suivent à la trace.

    Déjà emplie de frayeur, fatiguée par le fracas des armes
    Et des chiens, elle tente de fuir,
    Exténuée, mais meurt sous les coups.

     

    Allegro non molto
    Glacé, trembler dans la neige froide,
    Au souffle rude d'un vent terrible,
    Courir, taper des pieds à tout moment
    Et, dans l'excessive froidure, claquer des dents;

    Largo
    Passer auprès du feu des jours calmes et contents,
    Alors que la pluie, dehors, verse à torrents;

    Allegro
    Marcher sur la glace, à pas lents,
    De peur de tomber, contourner,

    Marcher bravement, tomber à terre,
    Se relever sur la glace et courir vite
    Avant que la glace se rompe et se disloque.

    Sentir passer, à travers la porte ferrée,
    Sirocco et Borée, et tous les Vents en guerre.
    Ainsi est l'hiver, mais, tel qu'il est, il apporte ses joies.

     

         
    ici, une version instrumentale sans les paroles pour faire du karaoké :
      

     

     

     (jeu ouvert à tou·te·s et sans obligation d'achat) 

     

    Avertissement : Ce jeu innocent ne relève pas du "délit de contradiction ou de minimisation de l’existence de la crise écologique et de son origine anthropique dans l’espace public" en projet (dit-on) 

     

     

     


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  • “Carte noire nommée désir” : au festival d’Avignon, une pièce de théâtre afro-féministe dans laquelle des poupées de bébés blancs se font embrocher fait polémique

    Carte noire nommée désir

    Ce soir clameur pour "Carte noire nommée Désir" de Rebecca Chaillon...!! Une force de création inspirante et vivifiante !! J’ai été happée de bout en bout...!

    Ovation pour "Carte noire nommée désir" un Spectacle absolument incroyable je recommande vivement. Je suis encore en train de m'en remettre  Rébecca Chaillon aborde, dans une performance radicale, les discriminations systémiques, le #sexisme et le #racisme!

    .../...

    En ce moment, au Festival d’Avignon, se joue Carte noire nommée désir de Rébecca Chaillon qui est un  spectacle sur la durée coloniale. Sauf qu'hier soir, l'une des performeuses, noire, a été agressée par un spectateur blanc.

    ...je vous laisse juge.

     

    Le Festival d'Avignon présente :

    " Carte noire nommée désir "

    " À la frontière du fantastique et du cabaret, un spectacle-chaos écrit pour huit artistes noires. Un féroce brûlot qui dynamite nos repères dominants et laissent la place à une expression joyeuse et militante. "

    et prend la précaution de préciser :

    Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité du public.

    " Sur le plateau, huit femmes. Elles sont artistes et noires. Elles nous regardent avant de prendre la parole et, avec la plus grande des sincérités, déposent devant nous leurs trajets de vie en enchaînant des numéros sortis d’un conte afro-futuriste Leur sujet ? La figure de la femme noire comme objet de fantasmes. Une image bien lointaine de leur quotidien au creux d’une société française qui ne les autorise à être qu’au service des autres. Ensemble, dans un joyeux chaos, elles construisent un spectacle vérité qui fait magistralement voler en éclat l’imaginaire colonial et son cortège de clichés. Des clichés tenaces, racistes, sexistes... Rien de lénifiant ni de moralisateur pourtant. Ces huit guerrières de la performance irradient de leurs incroyables présences ce brillant et féroce brûlot qui dynamite nos repères dominants. D’une danse endiablée à une acrobatie aérienne ou à une session de twerk frénétique, Rébecca Chaillon, metteuse en scène, autrice et performeuse afro-militante noire née à Montreuil, a choisi ici un tout autre registre pour bouleverser nos repères : l’humour baroque, le détournement carnavalesque et surtout faire sororité. "

     

    extrait vidéo

    photos du spectacle

      Carte noire nommée désir   Carte noire nommée désir

       Carte noire nommée désir   Carte noire nommée désir 

         Carte noire nommée désir   Carte noire nommée désir   

      Carte noire nommée désir   Carte noire nommée désir

      Carte noire nommée désir   Carte noire nommée désir

     

     

        

    "reportage" de FR3 sur la même pièce, présentée à Nancy en 2021 

     

     

     

     


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  • Avant de "les" embrocher, on "les" pendait...

    Le titre et le clip du rappeur, intitulés "Pendez les Blancs", avaient déclenché une vive polémique en septembre 2018. Le rappeur Nick Conrad relaxé en appel pour vice de procédure

    Nick Conrad avait été condamné, en 2019, à une amende de 5 000 euros avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris pour "provocation au crime". Par son titre, "il a outrepassé les limites autorisées de la liberté d’expression dans ce genre singulier qu’est le rap", avait alors taclé le procureur de la République. Il avait également été condamné à payer 1 000 euros de dommages et intérêts à deux associations parties civiles, la Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (Licra) et l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (Agrif). 

     

     "Pendez les blancs"

    Nick Conrad - "Pendez les blancs" (version longue)

    origine : "RUTUBE" 

     


    Oooh, oh man
    Oooh, oh man

    Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs
    Attrapez-les vite et pendez leurs parents
    Écartelez-les pour passer le temps
    Divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands
    Fouettez-les fort, faites-le franchement
    Que ça pue la mort, que ça pisse le sang

    Pendus aux arbres dans le vide sidéral
    Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant
    Macabre, effrayant, vise comme ils se meuvent

    Blafards et marrants
    Ôtez leur toute humanité, qu'ils ne soient plus que des objets sans vie dès à présent
    Possédez-les ! Mettez leurs noms sur vos testaments
    Yeah yeah mais yeah yeah
    Qu'on se les lègue à mesure du temps, qu'ils nous appartiennent dans les profondeurs de leur inconscient

    Oooh, oh man
    Wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa whities
    Pendez-les
    Oooh, oh man
    Wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa whities
    Pendez-les tous
    Pendez les, pendez les, pendez les, pendez les, pendez les Blancs
    Pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les maintenant, ok
    Pendez les, pendez les, pendez les, pendez les, pendez les Blancs
    Pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les maintenant, ok

    Pendez les Blancs et si ces hyènes s'accrochent aux lianes, descendez-les très brutalement
    Fournissez-les en armement, laissez-les s'entretuer à leur corps défendant
    Que leur mort orchestrée génère beaucoup d'argent
    Oooh, oh man !
    Pas de sentiments, qu'ils meurent tous en même temps
    En même temps qu'ils crament dans leur rassemblement
    Donnez l'exemple, torturez devant le groupe ceux qui d'entre eux sont trop récalcitrants
    Bouches de Blancs écartées sur un coin de trottoir
    Écrasement de tête mortel pour leur casser les dents

    Balle dans la tête, c'est donc ça qu'ils aiment tant
    Black History X, ça n'est que le commencement
    Fort de l'enseignement que j'ai reçu tout ce temps
    J'suis venu inverser le commerce gulaire-trian, hein

    Oooh, oh man
    Wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa whities
    Pendez-les
    Oooh, oh man
    Wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa wa whities
    Pendez-les tous
    Pendez les, pendez les, pendez les, pendez les, pendez les Blancs
    Pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les maintenant, ok
    Pendez les, pendez les, pendez les, pendez les, pendez les Blancs
    Pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les maintenant, ok
    Pendez les, pendez les, pendez les, pendez les, pendez les Blancs
    Pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les maintenant, ok
    Pendez les, pendez les, pendez les, pendez les, pendez les Blancs
    Pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les, pendez-les maintenant, ok
    Oooh, oh man

     

    2018... déjà !

     

     

     


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  •  

     

    crise économique, crise migratoire, insécurité, mouvements sociaux, réformes structurelles, relations internationales, etc... 

    Dis, Macron...

     

     Dis, Macron... 

    « On va en Nouvelle-Calédonie... pourquoi ? 

    ...Y'avait plus urgent ailleurs  ? » 

     

     


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  •  

    J'aime pas le sport. Pas plus le football que le tennis, que le ski ou le cyclisme...

    ...mais quand je vois un tel engouement pour un sportif dont je connaissais à peine le nom jusqu'à aujourd'hui, un homme seul au sommet de l'effort, de la souffrance et du bonheur, un tel engouement de la part de centaines ou de milliers de spectateurs venus encourager le régional de l'étape dans le dernier col de montagne de son dernier Tour de France, seul en tête dans "son virage" -"le virage Thibaut Pinot" comme disent les amateurs et les spécialistes-... que ces spectateurs attendaient là depuis plusieurs heures ou plusieurs jours pour quelques secondes de joie simple... que ces spectateurs sont de toute évidence le reflet des ultimes représentants de la France blanche, celle des prolos et des paysans, de ceux qui ne sont rien... qu'on a rament vu autant de drapeaux tricolores flotter aussi nombreux au même moment au même endroit... je me dis que tout ça ressemble bel et bien à un beau et rare moment de communion nationale comme on en est trop souvent privés.

     

    J'aime pas le sport...

    Et tant pis si vous n'êtes pas d'accord.

    J'aime pas le sport mais là, c'est autre chose.

    Juste le jour où "Libé" feint de s'interroger :

    "Tour de France 2023 : pourquoi le peloton français est-il si blanc ?" 

    Alors que le cyclisme est un sport qu’on dit de plus en plus mondialisé, le peloton qui traverse vaillamment l’Hexagone depuis trois semaines est essentiellement blanc. Les Français, eux, le sont tous, sur cette édition 2023...

     

     

     


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  • Vapotage et papotage...!

     

    source https://www.closermag.fr/politique/ 

    (texte et illustration d'origine) 

    Elisabeth Borne au bras de son compagnon : cette rare apparition publique du couple très commentée

    Publié il y a 20 heures par Marnie Colvert , mis à jour il y a 20 heures

     

    A l’occasion du traditionnel pot de départ organisé à l’Elysée avant la trêve estivale, Elisabeth Borne est arrivée avec son compagnon. Un fait rarissime concernant la première ministre qui met un point d’honneur à protéger sa vie privée.

    Hein ?

    Ce mardi 18 juillet, comme le veut la tradition, les membres du gouvernement étaient reçus à l’Elysée pour un dîner avant les vacances d’été. Au programme ? Barbecue et buffet froid, installés dans les jardins du palais, tentaient tant bien que mal de donner un esprit de fête à une soirée plutôt tendue. Et pour cause, plusieurs des ministres conviés se savaient sur un siège éjectable, dans le cadre du remaniement actuel. “Dans une vie antérieure j’ai été à votre place et je sais que ces moments ne sont jamais agréables. Il faut prendre beaucoup de distance”, a tenté de relativiser Emmanuel Macron, avant d’ajouter : “Je veux vous en remercier et remercier celles et ceux qui partagent votre vie”.

    Oui car les invités tourmentés avaient fait le déplacement avec leurs conjoints respectifs, histoire, peut-être, de s’entourer d’un soutien moral et physique. “Merci aux familles. Car je sais combien celles et ceux qui partagent vos vies portent une partie de la contrainte des vicissitudes que vous avez à subir”, a précisé le président à l’égard des accompagnants. 

    A la surprise générale, on retrouvait parmi les partenaires présents à l’événement le compagnon d’Elisabeth Borne, l’ultradiscrète. Après des mois de rumeurs sur sa vie privée, lui prêtant tantôt une relation homosexuelle, tantôt un compagnon pacsé avec une autre femme, la première ministre s’est présentée au bras de celui qui partage sa vie ce mardi. Concernant son identité, il faudra, encore une fois, se contenter des spéculations pour en avoir une idée. 

     

     

     

     

     

    "A la surprise générale, on retrouvait parmi les partenaires présents à l’événement le compagnon d’Elisabeth Borne, l’ultradiscrète [...] Concernant son identité, il faudra, encore une fois, se contenter des spéculations pour en avoir une idée." Hein ? 

    Hein ?

    non, rien...

    j'avais cru que... l'espace de l'instant d'un moment.

    la canicule, vous savez, avec ses effets secondaires !

     

     

     


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