• Après l'annonce (présidentielle...!) de la réouverture totale des bars et des restaurants en Île-de-France, les offres et annonces publicitaires de "bonnes tables" à découvrir dans la capitale se sont mises à fleurir sur le Net et sur les Rézos :

    Ré-ouverture des restos...

    L'article en question : https://i-d.vice.com/fr/article/935ag7/ou-manger-racise-a-paris-la-carte-qui-fait-ruisseler-largent-du-bon-cote a été supprimé (sans explication...)

    Mais on le retrouve "archivé" (sans la "map" participative...) sur https://web.archive.org/web

     

    Ça ressemble à ça (mise en page d'origine en plus)

    RESTAURANT Par Laurianne Melierre | 15 Juin 2020, 3:45pm

    Où manger racisé à Paris ? La carte qui fait ruisseler l’argent du bon côté

    Pour mettre en lumière les acteurs.rices racisé.e.s de la food à Paris, i-D dévoile sa map participative des meilleurs spots tenus par des entrepreneur.e.s et chef.fe.s afrodescendant.e.s, arabes ou asiatiques. En bref : moins de burrata, plus de combats.

    Depuis le soulèvement provoqué par le meurtre de George Floyd, les compilations de black owned businesses (des commerces détenus par des Noirs) fleurissent sur Instagram et dans la presse américaine. L’idée ? Donner de la force, de la visibilité et de l’argent à l’une des communautés les plus fragilisées par le racisme systémique et les discriminations.

    Quand la gastronomie française voit les couleurs des légumes (mais pas celles des gens)

    Et en France ? En France… c’est comme s’il n’en était pas question. Si les médias et une portion timide des industries créatives s’est saisie du moment pour ouvrir le dialogue autour des problématiques raciales et des violences policières (on pense notamment à la mode, à la photographie ou aux jeux vidéo), les milieux de l’art de vivre et de la gastronomie, eux, sont restés cois. Un carré noir et des emojis de toutes les couleurs plus tard, la stratégie de communication lisse à souhait des foodies, restaurateurs.trices, émissions TV et guides gastronomiques français a repris comme si de rien n’était. Donner faim, oui. Nourrir les esprits, non, il parait que ça coupe l’appétit.

    French food is racisé food

    La cuisine française a pourtant vu son image se diversifier vitesse grand V ces dernières années. Portée par un medley de chef.fe.s et d’entrepreneur.e.s racisé.e.s, la french food se réinvente et rend enfin hommage à son héritage international trop longtemps passé sous silence. Toujours d’actualité, les sujets de l’appropriation culturelle en cuisine et de l’homogénéité blanche des profils food interrogeaient début juin la journaliste belge Elisabeth Debourse dans Manger Noir et Le problème avec les livres et magazines de bouffe, les deux dernières parutions de sa newsletter “Mordant”. Et dès 2016, l’auteur et restaurateur américain Eddie Huang faisait de même dans son article Eddie Huang on the Oppressive Whiteness of the Food World (Eddie Huang à propos de la blanchité oppressive du monde de la food). Publié sur le site Grub Street, le billet d’humeur taclait l’hégémonie blanche du média digital et guide food Eater. “Eater a contribué à créer une sorte de consensus autour d’une monoculture, qui se présente un peu comme suit : un chef réputé, qui doit parler anglais, être à l'aise avec les médias, avoir une salle à manger design, doit se prosterner devant la scène, avoir de petites assiettes. [...] Eater n'est pas le seul à le faire - beaucoup d'autres le font aussi (y compris Grub Street). Mais le résultat donne à voir un condensé de culture alimentaire [...] avec des valeurs finalement assez conservatrices, voire intolérantes.”

    Un message qu’il a rappelé avec force ce 10 juin dans un post Instagram, et qui questionne à lui seul notre néo-culture “bistronomique” française : “J'encourage chacun à remettre en question les récits dont nous nourrissent les chefs blancs, les journalistes et les restaurateurs. Tant d'ingrédients et de techniques populaires des établissements blancs viennent d'Afrique, d'Asie, d'Amérique latine, du Moyen-Orient et des populations indigènes. [...] Que serait la cuisine française sans les Algériens ? Que serait la cuisine italienne sans les Maures ? Qu'est-ce qu'un petit-déjeuner végétalien sans ackee ? Qu'est-ce que la nourriture américaine sans pillage ? Aucune de ces conneries n'est vraiment la vôtre. Tout est volé, reconditionné, et nous est revendu à prix fort. Arrêtez d'acheter de la nourriture qui a été pillée. Obtenez-la à la source. Soutenez les restaurants appartenant à des personnes de couleur et à des immigrants qui cuisinent leur nourriture indigène. C'est la seule façon pour qu'elle survive dans sa forme authentique.” Mic drop.

    Une carte participative pour localiser les lieux racisés de la food à Paris

    Parce qu’il est toujours l’heure de manger (engagé) quelque part, i-D a donc compilé au sein d’une carte interactive les meilleurs lieux de bouche parisiens, locaux et indépendants détenus par des personnes racisées. Du bao frit au comté des sœurs Levha chez Double Dragon (Paris 11) à la soul food lèche-doigts de Gumbo Yaya (Paris 10), ce sont bien ces saveurs et odeurs qui participent activement à l’enrichissement de notre culture culinaire française et à son rayonnement mondial.

    La carte est à retrouver sur Google Maps ici.

    Pour contribuer

    Pour nous faire part de vos meilleures adresses et compléter cette carte, écrivez à idfrance@i-d.co et sur Instagram @i_dfrance. N’oubliez pas de mentionner le nom du restaurant et son adresse. Chaque contribution sera passée en revue manuellement par nos équipes avant ajout. 

    La carte "interactive" existe encore, ailleurs, et elle est comme ça :

    ...ben, non, y'a pu !

    A table... 

    Bon... j'aurais pu évoquer la biographie de Laurianne Melierre... m'interroger pour tenter de comprendre quel est le bon côté où faire ruisseler l'argent (et dans quel but ?)... me demander ce qu'il faut entendre par "combats": des concours de gastronomie, ou autres... évoquer une peu probable liste de restaurants parisiens strictement et fièrement "non-racisés"... ironiser sur l'emploi de l'écriture inclusive ou sur celui d'un pseudo anglais branchouille... et tout le reste, délires et ignorance compris... Mais y'a des jours, comme ça,quand ça veut pas, ça veut pas...

    Pour info, sur https://i-d.vice.com/fr, on peut découvrir entre-autres...

    Pourquoi les statues nous confrontent à un passé difficile à regarder en face ?

    Pourquoi les mouvements féministes et LGBT sont indissociables de la lutte contre le racisme

    Paris : la lutte continue dans la rue / Paris is walking

    Racisme et injustice, comment faire son auto-éducation sur Netflix

    ...mais je ne vous force pas.

     

     

     

     


    24 commentaires
  • Dans la série "Quoi qu'on fait quoi ?"

    - On se flingue, on flingue tout ce qui bouge à la télé, ou on fait comme si qu'on rigole ?

    Bon sûr, mais c'est bien sang...

    Vous avez certainement, comme moi, entendu aux informations que, depuis bientôt une semaine et malgré plusieurs interdictions administratives, un total de plus de 50 000 jeunes gens ont défilé joyeusement et impunément dans les rues de Paris (et d'autres villes) pour dénoncer le racisme des français, les violences policières et autres offenses néo-colonialistes et crypto-esclavagistes envers la diversité exogène .

    Les vraies raisons ne sont pas celles qu'un vain peuple pense, évoquées et relayées par des médias avides d'Audimat, de sensationnel et de stigmatisation anti-jeunes facile ; elles seraient un déplorable effet collatéral de la pandémie du coronavirus et du confinement s'y rapportant, comme nous le révèlent enfin, dans toute leur éblouissante évidence, deux des plus hautes personnalités de l'Etat * :

    Edouard Philippe, Premier Ministre

    "Les jeunes, tout le monde le sait, ont besoin de se dépenser. Le confinement, ça les a rendus dingues. Il faut qu’on leur permette de faire davantage de sport et de pouvoir s’amuser entre eux "

    Emmanuel Macron, Président de la République

    "On a interrompu leurs études, ils ont des angoisses sur leurs examens, leurs diplômes et leur entrée dans l’emploi. Ils trouvent dans la lutte contre le racisme un idéal, un universalisme."

    (authentiques...: source: V.A.)

    N'ayant pas pu, pour des non-raisons de non-discrimination non-positive, recevoir les enseignements dispensés à l'ENA ou Science-Pô je ne vois aucune raison de remettre en cause ces deux déclarations (émanant comme on dit de personnes compétentes et de milieux autorisés et, certainement, assistés de comités de réflexion et des commissions d'études ad'hoc), déclarations tout autant fracassantes qu'officielles et donc incontestables. Je me permets simplement de suggérer à qui-de-droit de faire en sorte que des sections "Sport-Etude" soient rapidement ouvertes et accessibles à tou·t·e·s, sans distinction de pigmentation cutanée, de date de validité de titre de séjour, de sexe ou de genre ou de...?, ou encore d'épaisseur de casier judiciaire dans ces prestigieux établissements (en même temps™ que dans quartiers sensibles et/ou les banlieues défavorisées -ou l'inverse).

    J'attends avec le même intérêt impatient leurs vraies explications concernant enfin les vraies raisons qui incitent des dizaines de dizaines ou centaines de milliers de pré-adolescentes a-priori normalement constituées à faire école-buissonnière et à participer à des manifestations ou des rassemblements publics avec comme alibi avoué de vouloir, modestement, "sauver la planète". Suivant en cela ("planet lives matter" ?) leur pasionaria auto-désignée du climat Greta Trucberg (Un truc auquel je n'ai jamais cru, tout comme il ne faut officiellement plus croire que la haine de la France, ou de la race blanche, ou de la civilisation occidentale... auraient pu être les moteurs des manifestations de ces derniers jours). "On sait que l'approche de la puberté..."

    On a quand-même de la chance d'être ainsi gouvernés. Non ?

    Et dire que ces deux-là risquent de se séparer...

    On ferait quoi, si y'avait un vrai gros problème ? hein ?

    * et encore, qu'est-ce que ça aurait été si la France n'avait pas géré aussi efficacement -grâce à la compétence et la réactivité de monsieur le Ministre de la Santé et ses stocks de masques de protection ou de gel désinfectant et de tests de dépistage, et malgré les interventions nocives de soi-disant scientifiques provinciaux- cette crise sanitaire et sociale sans précédent (NDLR) bad

     

     


    4 commentaires
  • Jean Raspail a rendu sa noble et belle âme à Dieu -s'il existe- en ce jour où le gouvernement français laisse, pour la 3ème fois en quelques jours, plusieurs dizaines de milliers d'ennemis de la France, islamistes et islamo-gauchistes mêlés à une foultitude de communautaristes "blacks", décolonialistes et indigénistes, crier impunément leur haine de la nation, de son peuple, de ses valeurs et de ses institutions dans les rues de Paris.

    Seule, une poignée de jeunes identitaires, vite réprimée par la police, a tenté d'opposer une résistance dérisoire et a ainsi rendu un sublime hommage imprévu à l'auteur du "Camp des Saints"

    J. Raspail (5-07-1925/13-06-2020)

     

    Que dire d’autre sur Jean Raspail, pour rappeler son importance, si ce n’est qu’il demeure un écrivain immense, et que le meilleur hommage à rendre à un écrivain reste de le lire, de découvrir ou redécouvrir son œuvre ?

    Jean Raspail est devenu écrivain après s’être éprouvé au feu de l’aventure qui trempe les caractères et affûte les âmes, "En canot sur les chemins du roi" ou sur les pistes de "Terre de Feu – Alaska", sur la trace des "Terres et Peuples Incas" ou du "Vent des pins" japonais.

    De cette confrontation au monde, il est revenu acquis à la cause des peuples, déclarant un attachement viscéral à leur longue mémoire dans "Qui se souvient des hommes", "Pêcheurs de lunes" ou "Les royaumes de Borée".

    Également créateur de mythe avec "Le jeu du roi" ou "Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie", Jean Raspail a su tirer des brumes l’éphémère royaume patagon pour en faire une réalité onirique et romantique, à laquelle se raccrochent comme à la bouée de sauvetage d’une grandeur passée quelques milliers de sujets européens.

    Ce visionnaire politique exceptionnel, prophétisant la submersion migratoire et la lâcheté de nos élites dans "Le Camp des Saints", ce royaliste mystique appelant à la réouverture des écluses du ciel dans "Sire", "L’anneau du pêcheur" ou "Le roi au-delà de la mer", assumant dans "Septentrion" ou "Les Sept cavaliers" toute la gloire d’être aux arrière-gardes d’un monde fini, ne s’est pourtant jamais réfugié dans la nostalgie d’époques révolues pour s’y terrer mais au contraire pour sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée ailleurs .

    Soutien du collectif "Non à la guerre" opposé à l’agression de la Serbie par l’Otan en 1999, auteur en 2004 d’une tribune au vitriol contre les destructeurs de la France, qui l’a envoyé devant les tribunaux pour un procès dont il est sorti vainqueur, Jean Raspail a adressé en 2016 aux auditeurs du colloque de l’Institut Iliade consacré à l’assaut migratoire et au réveil de la conscience européenne, un message à la fois lucide et revigorant.

    La mort de Jean Raspail laisse un vide terrible. Mais aussi, comme ce fut le cas pour Dominique Venner, la claire conscience pour nous, Français, Européens, d’être placé face à une alternative qui ne nous permet plus d’exister médiocrement, sous peine de connaître la tragique destinée des Alakalufs de Terre de Feu ou des petits hommes de Borée.

    (Hommage de l’Institut Iliade à Jean Raspail)

     

    J. Raspail (5-07-1925/13-06-2020)

     

    texte et images "internet"


    11 commentaires
  • Ça a dû commencer comme ça... imperceptiblement, presque innocemment... on était dans la première moitié des années 1960-1970, et j'ai très certainement dû mettre quelques pièces de monnaie dans divers juke-box pour écouter et réécouter ces titres que je connaissais presque par cœur...

    ...et je devais même hocher la tête ou essayer de claquer des doigts, plus ou moins en rythme...

    Même si ça peut sembler évident aujourd'hui, qui -honnêtement- pouvait prétendre savoir que ça risquait de se terminer comme ça, une soixante d'années plus tard...

    Pourtant, voilà...

    hier...

    On sait comment ça commence...

    aujourd'hui... 

    On sait comment ça commence...

    Mais... si les ligueurs de la défense noire peuvent passer -à l’extrême rigueur- pour de tristes rigolos quasi folkloriques (à noter quand-même l'"opinion" d'un journaliste français blanc: "Tout ce qui empêche l’évolution des mentalités doit être banni. Ce n’est pas une réécriture de l’Histoire, c’est le début d’une nouvelle Histoire")... il n'en est pas de même de la sus-nommée Maboula (à ne pas confondre avec une simple Sibeth) qui est une universitaire française, écrivaine, "civilisationniste", antiraciste, décolonialiste et afroféministe, habituée des conférences et débats d'avant-garde civilisationnels et sociétaux, très prisée par le petit monde nouveau progressiste 

     

    demain ?

    ...heureux -ou malheureux- celui qui sait comment, demain au bout du compte, finalement, ça se terminera...

     

     

     

     


    35 commentaires
  • L'actualité ne prête pas à sourire c'est vrai.

    Laissez-moi pourtant vous narrer ce que je sais de... 

    ...mon copain Manu.

    (toute ressemblance avec des personnes ou des faits existants serait pure imagination de votre part.)

    Mon copain Manu

    Mon copain Manu ne va pas bien en ce moment, et ça me fait de la peine pour lui de voir ça... On m'a dit que c'est peut-être un peu à cause d'une vieille ancienne maîtresse d'école qui surveille son dortoir du pensionnat où il est pour encore au moins deux ans et qui a fait renvoyer Alexandre, son meilleur ami de chambrée mais trop bagarreur...

    On dit qu'il a décidé ne plus vouloir s'amuser avec sa collection complète de soldats de plomb ou de bois et tous ses déguisements et tous les accessoires qui vont avec (bateau qui va sous l'eau, Jeeps, hélicoptère, avion à réaction, hôpital en toile de tente, etc...), ne plus vouloir les mettre en rang d'oignon ou les faire pirouetter devant lui comme des danseu·r·se·s (on doit s'obliger à écrire comme ça...), pas vraiment marti·al·aux·ales (...mais ça fait drôle quand on se relit à haute voix !) avant de renverser la table en disant que c'est lui qu'est le chef, d'abord. Ça avait pourtant l'air de bien lui plaire au début : il fallait voir l'air sérieux comme le pape qu'il essayait de prendre en essayant de ne pas rigoler quand il ouvrait son coffre à jouets et qu'il les regardait en fronçant les sourcils comme pour leur faire peur. Mais il est comme ça : au début, ça lui plait, il commence tout et il ne finit rien. Ou alors il le finit sans faire attention, n'importe comment, mais il sait que de toute façon il ne sera pas grondé. C'est surtout le 14 juillet, la "Journée Nationale de la France" que les petits et les grands enfants trouvaient ça beau. mais pas lui, alors il boude.  On m'a dit que c'est parce-que ça lui rappelle les leçons d'Histoire de France et je sais qu'il aime pas l'Histoire de France. Ni la Géographie.

    Depuis qu'on lui a en offert une belle panoplie complète pour son Noël dernier, il ne fait plus que jouer au docteur avec ses copains de sa bande. En les obligeant des fois à se fabriquer eux-même leur panoplie d'infirmier-re : des blouses avec des vieux sacs en plastique, des masques avec les vieux soutien-gorges de leur sœur, des boites qu'on dit que c'est des médicaments pour de rire mais qui coûteraient le pognon du dingue, et tout ça... et pis surtout, il les oblige à prendre et reprendre sans arrêt sa température dans son trou de balle. Il veut aussi leur donner un peu des médailles que ses petits soldats ne méritent pas quant ils ne meurent même pas tous pour de vrai à la guerre comme les infirmières et les docteurs. Mais surtout il n'aime pas que les autres enfants des voisins, ceux qui viennent de Marseille (c'est à la plage comme Le Touquet mais dans les Alpes-Atlantiques, il m'a dit, Manu) viennent jouer au docteur avec lui parce-que on lui a dit que c'étaient des tricheurs et des vantards. Il est fort à ce jeu là car il a réussi à enfermer presque tout le monde de son institut en leur disant que vous êtes gravement malades et si on se contagieuse par la maladie on va tous mourir !

    Je le connais bien, et je sais déjà que bientôt ça lui passera aussi et qu'il faudra trouver un autre jeu pour y jouer... Peut-être au jardinier-vétérinaire avec sa copine suédoise Greta, celle qui a toujours trop chaud et qui transpire tout le temps et que ça la met en colère... Peut-être à la marchande avec la grosse Angèle qui sent la bière et qui vient d'Allemagne et qui gagne toujours au Monopoly (mais elle triche tout le temps)... Peut-être aux cow-boys avec Donald, Mickey et quelques autres, mais c'est pas sûr je crois qu'ils sont fâchés... Ou même des jeux plus simples et plus faciles : "papa-maman" (ou parent#1-parent#2) avec Marlouna... ou "je te tiens la barbichette" avec Doudou et Fifi... ou "Jacques a dit" avec Sibethdaye... ou "pigeon vole", mais là, avec tous ses copains qui sont très fort à ce jeu qu'ils le prennent au mot de la lettre ; c'est ce qu'ils disent dans les blogs... ou aussi faire un spectacle de fin d'années en duo avec Bigard... Ce qui est sûr, c'est que les éducathérapeutes qui le suivent depuis son admission sont d'accord avec eux :  laissé à Lui-Même, il risque de se retrouver dans le même état de nerfs qu'en avril 2017...! 

    Mais aussi, il aurait bien aimé aller à la "Méga Teuf de la Zique" de papy-taty Jack, mais on sent que son cœur n'y est pas à cause de tout ce qu'on entend dans le journal : que des afro-black -peut-être même ceux des îles de Guyane ou des Antilles- se font mourir étouffés partout dans le monde par les supréracistes blancs (surtout des policiers) comme on les appelle, alors il est un triste et c'est peut-être pour ça son caprice parce-que si il ne va pas à la fête il ne pourra pas ressortir son instrument pour jouer avec les musiciens afro-black comme l'autre fois. Mais il y aura quand-même plein d'artistes et il regardera peut-être à la télé parce-qu'il y a encore des virus qui nous font la guerre dans la rue mais c'est dommage : c'est tous les artistes préférés des français qui vont chanter et même (j'ai oublié son nom) celle qui a une chanson qui dit qu'il faut prendre un fusil pour tuer les policiers qui tuent les Panthères-Noires (ou un truc comme ça) en Amérique à Neuve-York ou à Neuf-Trois (je sais pas où c'est), c'est la chanson préférée de son copain Cricri "le castagneur", comme on l'appelle, mais qui voudrait quand-même faire policier. J'ai pas tout capté, comme on dit.

    Pourtant, et je ne sais pas pourquoi, bon, c'est un bon copain, mais si j'étais dans la même classe que lui, je ne voterais pas pour lui comme chef-de-classe. Il est quand-même trop bizarre des fois. Et on dit qu'il fume en cachette et qu'il renifle tout le temps.

    Bon, je dois vous quitter, c'est le moment de la séance d'Adaptation Citoyenne de Progrès... Après, comme on est vendredi, ça sera l'heure de la Grande Prière. J'ai toujours envie de rigoler quand mon copain François récite "Al-ḥamdu lillāh, alaykum wa-raḥmatu llāhi wa-barakātuh" avec son accent italien de la région de Rome... mais je me retiens, je n'ai pas envie d'être dénoncé et d'être appelé dans le bureau de monsieur Didier (celui qui a une grande casquette, pas celui qui a un stéstoscope et des cheveux sales) : c'est le Préfet de la Police Intérieure et du Règlement. On a un copain qu'on n'a jamais revu après, il s'appelait Eric, et on ne sait pas où il est maintenant.

    Allez, cette fois, j'y vais...

    A bientôt peut-être...

     

     


    8 commentaires
  •  

    L'article ci-dessous, que je repends intégralement, a été initialement publié le 1er juin sur son blog d'origine. ce qui laisse supposer qu'il a commencé à être rédigé au moins quelques jours avant...

    ...avant la "marche (interdite donc illégale) de solidarité avec les 'sans-papier' (clandestins, donc illégaux)" -exigeant d'être accueillis et acceptés dans un pays qu'ils méprisent et condamnent-, qui a vu défiler plus de 5 000 personnes en toute impunité de la part des "autorités de la République" avant de se terminer sur la place parisienne du même nom aux cris de "Allah akbar"

    ...avant la manifestation (interdite, donc illégale), ayant rassemblé entre 20 et 40 000 personnes et fait pour environ 1 000 000 d'€ de dégâts, pour exiger de la justice républicaine qu'elle rende un verdict conforme aux exigences maintes fois réitérées de la famille d'une " victime innocente des violences racistes et policières" (ce qui ne va pas tarder à lui être accordé après plus de 4 ans d'agitations), le tout se terminant en chanson, avec hymne des "black-panthers" américains appelant à prendre un fusil contre la police... 

    ...avant les manifestations "pacifiques" "de solidarité" et "de soutien" envers un délinquant (noir) assassiné ("froidement") par un policier (blanc) quelque part aux Etats-Unis. manifestations ayant essaimé sur toute la planète, et jusque dans les villes françaises les plus étrangères à ce problème presque quotidien outre-Atlantique entre policiers (de toutes races) et délinquants (de toutes races, ou presque). Manifestations guidées par on ne sait quelles mains invisibles... pacifiques mais ayant débouché sur des pillages massifs généralisés de magasins de vêtements de sport "de marque" et de matériel électronique et informatique et sur des humiliations sans précédent des blancs (forces de police comprises) obligées de s'agenouiller devant une foule racisée, hostile et méprisante, pour expier des fautes imaginaires et fantasmées...

    ...avant les manifestations (interdites, donc illégales) de ce jour qui entendent lutter contre "le racisme dans la police". Illégales, mais avec l'appui tacite et bienveillant du ministre de l'Intérieur (et des cultes ...!?) qui donne implicitement ou ouvertement raison à des Omar Sy, Camelia Jordana ou Mathieu Kassovitz et à la famille Traoré, face aux policiers, victimes depuis de longs mois, d'insultes, d'humiliations et de guet-apens et de violences quasi quotidiennes dans les "quartiers difficiles" et les "banlieues défavorisées"...

    ...avant que le pouvoir ne s'inquiète officiellement des dérives violentes prévisibles de ces manifestations virant régulièrement à l'émeute en attendant la guerre civile annoncée... boucle à moitié certains quartiers de Paris, mais s'abstient totalement de réagir avec un minimum d'autorité pour "ne pas mettre d'huile sur le feu"... Incompétence, lâcheté ou complicité ?

    Tout ça y est analysé, expliqué, décrypté : mondialisme et tiers et alter-mondialisme, culpabilisation et repentance et soumission, reniement de soi, démission et pacifisme, déni du réel, "modernité" et progressisme, etc...

    La fin assurée et assumée de la civilisation européenne, c'est pour maintenant.

    bedeau


     

     

    Un article repris du blog :  

    "Les chroniques de Paysan savoyard"

    "la fin probable de la civilisation européenne"

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

     

    "Il faut maintenant répudier l’idéologie républicaine"

    (avec la permission de l'auteur)

    Pour les peuples français et européens les évolutions de ces dernières décennies ont selon nous été catastrophiques. Elles ont pour la plupart été initiées par les Américains, vainqueurs de la seconde guerre mondiale, qui ont transformé les Etats européens en vassaux. La société de consommation a engendré l’exode rural, déstructuré les sociétés et abîmé l’environnement. La mondialisation, lancée dans les années quatre-vingt-dix, à l’instigation des Etats-Unis, a été également gravement nuisible, en particulier du fait des délocalisations qui, en France notamment, ont en grande partie détruit l’industrie et mis au chômage des régions entières. Quant à "la construction européenne", elle n’est qu’un maillon et un instrument de la mondialisation.

    Au-delà même de ces évolutions récentes c’est plus fondamentalement la modernité dans son ensemble qui nous paraît néfaste. Les idées modernes se sont imposées en France avec la révolution de 1789, avant d’être diffusées dans le reste de l’Europe. La plupart des aspects de la société moderne et la plupart de ses valeurs nous paraissent mauvaises. L’individualisme, qui détruit les structures et les cadres de la société collective traditionnelle. L’idée de progrès, qui entend congédier le passé. La laïcité, machine de guerre contre le christianisme, qui est la religion des Européens. L’égalité, ce leurre et ce vice. La démocratie, illusion et mensonge là encore. 

    Il faudrait nous semble-t-il tout à la fois remettre en cause la société de consommation, mettre fin à la mondialisation et à la soi-disant "union européenne, se libérer de la tutelle américaine et combattre la modernité elle-même dans nombre de ses aspects… Voilà qui paraît bien illusoire.

    Certaines ruptures pourtant sont urgentes et vitales si nous voulons conjurer le danger immédiat qui nous menace dans notre existence même : l’invasion migratoire en cours qui, si elle se poursuit, va détruire l’Europe, ses peuples et sa civilisation. Cette invasion migratoire est voulue, suscitée et organisée par la classe dirigeante, qui entend par là à la fois accroître ses pouvoirs et ses profits et servir son idéologie mondialiste. Si nous voulons vivre il faut donc nous débarrasser de cette classe dirigeante qui nous trahit. Et au préalable congédier son idéologie, qui est à la source de la politique d’invasion migratoire qu’elle conduit.

    Répudier la conception républicaine de la nation

    La nation selon-nous ne peut être que "charnelle". Elle est un territoire, celui sur lequel ont vécu les ancêtres. Elle est une religion commune. Une culture commune. Des mœurs communes. Et elle est une même race. C’est ainsi que les peuples européens, avec leurs différences, appartiennent tous à la civilisation européenne, qui peut se caractériser ainsi : religion chrétienne, culture gréco-romaine, mœurs européennes, race blanche. Avec leurs spécificités, leur histoire particulière, leur territoire propre, les différentes nations européennes partagent ce tronc commun à forte dimension charnelle.

    Tenants de l’idéologie moderne, celle des Lumières, les républicains, au pouvoir depuis deux cents ans, promeuvent une autre vision de la nation, non plus "charnelle" mais "idéelle". Pour les républicains, la nation est la volonté de vivre ensemble autour de valeurs communes, celles de la république.

    La nation idéelle présente on le voit plusieurs différences fondamentales d’avec la nation charnelle. Dans le cadre de la nation idéelle, premièrement, il n’y a plus de lien charnel entre les membres de la nation mais une communauté d’idées et de valeurs. Tandis que la nation charnelle, deuxièmement, est un fait, qui préexiste aux individus, c’est volontairement que ceux-ci adhérent aux valeurs de la nation idéelle. Troisièmement, enfin, la nation idéelle n’a plus d’ancrage territorial : elle est hors-sol et désincarnée.

    Pour les modernes, la France est donc avant tout une idée –la république– le concept de république précédant et l’emportant sur la référence au territoire : c’est la "république française". Quant au passé de la France antérieur à l’avènement de la république, il est rejeté dans les poubelles de l’histoire.

    Cette conception idéelle de la nation nous paraît profondément fausse. C’est une utopie, désincarnée, arbitraire, artificielle, qui ne correspond en rien à ce qu’est la condition humaine. Mais au-delà de la controverse théorique il faut souligner, et c’est ce qui nous intéresse ici, que cette conception est à la base de la politique d’immigration massive.

    En effet c’est leur conception même de la nation comme communauté de valeurs qui incite puissamment les républicains à promouvoir l’immigration. En mixant des populations de toutes origines, l’immigration et le métissage érodent et détruisent le lien charnel et racial qui existait entre la nation, son territoire et sa population. Minant de l’intérieur la nation charnelle, l’immigration dégage le terrain, aux yeux des républicains, pour la construction d’une nation idéelle. C’est pourquoi les républicains sont favorables par principe à l’immigration, quitte affirment-ils à l’encadrer et à la réguler.

    Afin de manifester le fait que l’appartenance à la communauté nationale n’a rien à voir avec les liens de sang, les républicains promeuvent en outre une attribution massive de la nationalité à ceux qui sont établis sur le territoire ainsi qu’à ceux qui y naissent, en vertu de ce qu’ils nomment un "droit du sol".  L’attribution massive de la nationalité leur fournit ainsi un argument d’apparence puissante pour rendre l’immigration irréversible : "les immigrés ayant pour la plupart la nationalité française, ils appartiennent à part entière à la communauté nationale et leur présence définitive en France ne peut plus se discuter" affirment-ils.

    Il est intéressant de mettre en évidence la façon dont les républicains se sont débrouillés pour concilier leur théorie de la communauté de valeurs avec la réalité de l’immigration non européenne telle qu’elle a commencé à la fin des années cinquante. Dans un premier temps les républicains ont soutenu que les immigrés choisissaient la France parce qu’ils aspiraient à y partager les valeurs d’égalité et de liberté. L’immigration devenant massive, les républicains ont ensuite été forcés d’admettre que les motivations des immigrés n’avaient pas grand-chose à voir avec la volonté d’intégrer une communauté de valeurs : ils ont alors prétendu que, même lorsque l’immigration était motivée par des raisons économiques et sociales, "l’immense majorité des immigrés" n’en acceptaient pas moins les valeurs essentielles et choisissaient par exemple de pratiquer un islam "à la française", républicain et laïc. Mais la réalité des faits rendait de nouveau cette position intenable : les républicains ont dû reconnaître, dans un troisième temps, que de nombreux immigrés, loin de partager les valeurs en question, en rejetaient certaines violemment, à commencer par la laïcité ou l’égalité entre hommes et femmes. C’est alors que les républicains ont procédé à l’une de ces pirouettes conceptuelles et sémantiques dont ils ont le secret : ils se sont mis à affirmer que, si la nation est certes une communauté de valeurs, les valeurs en question ne sont pas pour autant figées ni immuables, mais qu’elles peuvent au contraire évoluer, se renouveler et s’enrichir, grâce notamment à l’apport des personnes originaires de l’immigration. Cette gymnastique conceptuelle osée n’a pourtant pas suffit et un quatrième temps s’est rapidement imposé aux républicains et à leurs illusions. Les faits démontrant chaque jour un peu plus qu’il ne pouvait y avoir ni assimilation, ni intégration, ni communauté de valeurs que celles-ci soient évolutives ou non, l’élite au pouvoir a décidé de prôner désormais le "vivre-ensemble", c’est à dire une simple coexistence, si possible pacifique, entre des communautés ne partageant rien d’autre que la présence sur un même territoire. Notons que ces glissements successifs et ces reculs en rase campagne n’empêchent nullement les républicains de continuer à pérorer sur la conception républicaine de la nation et la communauté que nous constituons "autour des valeurs républicaines qui nous réunissent", ainsi que l’avait fait par exemple l’inénarrable M. Schiappa face à E. Zemmour. [1] 

    Notons également que les républicains sont désormais débordés sur leur gauche : ils sont en effet en concurrence avec les islamo-gauchistes, qui ont pris fait et cause pour les immigrés et perçoivent les valeurs républicaines et l’objectif d’intégration comme des manifestations insupportables de la domination des blancs.

    Si nous voulons vivre, il faut nous débarrasser de la conception républicaine de la nation, qui est au service de la politique d’invasion. Contrairement à ce qu’affirment les républicains et autres utopistes issus des "Lumières", les nations d’Europe ne sont aucunement des communautés de valeurs abstraites, mais des territoires ancrés dans le passé et dans la vie concrète des générations qui se sont succédé. Ces nations et ces territoires appartiennent aux peuples européens autochtones, unis par les liens multiples de l’histoire, de la culture et du sang. Quant aux personnes originaires de l’immigration qui possèdent la nationalité du pays d’accueil, elle leur a été donnée par les républicains, dans une perspective idéologique de destruction des Européens d’Europe : elle ne leur octroie dès lors aucun droit de se maintenir sur nos territoires.

    Congédier l’universalisme des Lumières

    La république se veut universelle, de même qu’elle juge universelles les valeurs qu’elle promeut. C’est dans cet esprit qu’elle adopte dès 1789 la déclaration universelle des droits de l’homme. L’universalisme vient compléter et renforcer la conception idéelle de la nation : la nation est l’adhésion à des valeurs et ces valeurs sont universelles.

    Il en résulte que la nation française a dans l’esprit des républicains un rôle universel : ainsi que l’indique là encore le titre dont elle s’est parée, la "république française" se donne pour mission de répandre partout dans le monde l’idée républicaine et d’y faire partager ses conceptions.

    C’est pourquoi également les républicains se vivent comme des "citoyens du monde". Ils considèrent qu’un monde universel, gouverné par les mêmes valeurs universelles et débarrassé des frontières, se détachera par là-même des haines nationales et des affrontements entre peuples. Le nationalisme, au contraire, doit selon eux être condamné et rejeté parce qu’il porte en lui l’antagonisme, le racisme et la guerre.

    Ajoutons cette précision. La révolution française a engendré deux familles d’héritiers, les républicains d’une part, les communistes d’autre part, continuateurs de la révolution "communiste" de 1792-1794. Comme les républicains, les communistes sont eux-aussi universalistes : ils aspirent à l’union des prolétaires de tous pays.

    Comme l’est la conception de la nation idéelle, la vision d’une république à vocation universelle constitue également, selon-nous, une utopie abstraite, désincarnée et folle. A l’instar des autres valeurs républicaines, l’universalisme est une idée née en Europe et elle n’est partagée que par une partie des Européens et des Occidentaux. Toutes les autres régions du monde en sont à mille lieues. Aucune ne se voit partie prenante d’un monde de citoyens du monde. C’est pourquoi la "communauté internationale" auxquels les Européens se réfèrent en permanence n’a pas d’existence. Seules existent de grandes zones géopolitiques, souvent dominées par la nation la plus puissante de la région, et en concurrence entre elles. Si l’on souhaite raisonner en fonction du réel il faut donc rejeter l’idée universaliste. Chaque grande région du monde devrait pouvoir se gouverner de façon autonome, notamment sur le plan économique, et selon ses valeurs propres. Quant aux Etats, leur rôle et leur justification sont de s’occuper du sort du peuple dont ils sont l’émanation : ils ne sont aucunement comptables des intérêts d’une soi-disant "communauté internationale", qui n’a pas de réalité.

    L’idée universaliste ne constitue pas seulement une utopie, sans lien avec la réalité des sociétés humaines : elle doit être rejetée également parce qu’elle est, pour nous Européens, dangereuse et mortelle. C’est elle en effet qui est à l’origine des deux décisions les plus catastrophiques prises depuis cinquante ans en Europe. La mondialisation et la disparition des frontières économiques tout d’abord, qui comme nous le notions plus haut a bousculé les sociétés européennes, détruit une grande part des activités industrielles, ruiné les équilibres sociaux et déstabilisé la classe moyenne. Surtout l’universalisme et sa volonté d’abolir les frontières –No Border– est à la base de la politique d’immigration massive, qui est en train de déboucher sur l’invasion de l’Europe et la destruction des sociétés européennes.

    Si nous voulons vivre, il faut maintenant congédier l’universalisme, se débarrasser des concepts illusoires de valeurs universelles et de communauté internationale et rejeter d’urgence leurs fruits empoisonnés, la mondialisation et l’immigration.

    Rejeter le pacifisme

    L’universalisme et le mythe de la communauté internationale ont installé le pacifisme et le rejet absolu de la guerre au cœur des mentalités européennes. Le refus de la guerre, l’idéal de paix universelle, le rêve d’un monde pacifié par le doux commerce et le droit sont, là encore, des illusions caractéristiques de l’idéologie des Lumières. Si les Européens conservent cette façon de voir, ils sont condamnés d’avance. Les populations qui nous envahissent, en effet, ne sont nullement pacifistes, ont l’habitude de la violence et sont avides de conquête et de revanche.

    Disons les choses autrement. La guerre est partie intégrante de la destinée des sociétés humaines. La guerre destinée à se défendre est légitime. Une société qui refuse la guerre même pour se défendre est d’avance soumise et déjà détruite.

    Se délester du sentiment de culpabilité

    Depuis la fin de la guerre, et plus exactement depuis les années soixante, les pays européens sont les victimes d’une entreprise de culpabilisation visant à les déstabiliser, à les inhiber, à les désarmer, à les transformer en pays dominés, passifs et soumis. Cette entreprise est menée par les milieux de gauche, en Europe et aux Etats-Unis, et plus généralement par tous les tenants de l’idéologie moderne. Les Européens sont mis en cause pour les croisades. Ils sont dénoncés pour avoir organisé l’esclavage. Ils sont accusés d’avoir procédé à la Reconquista et détruit l’Espagne arabo-andalouse "modèle de tolérance et de haute culture". Ils sont montrés du doigt pour avoir mené la colonisation. Surtout les Européens sont accusés pour leur collaboration avec le nazisme et le génocide des juifs. La France est l’une des cibles principales de ces entreprises de culpabilisation.

    Cette propagande culpabilisatrice repose sur un grand nombre de contre-vérités. C’est ainsi que les Croisades ont été précédées et provoquées par la conquête arabe de la Méditerranée. Pour ce qui est de l’esclavage, pratiqué partout et de tout temps, ce sont les Européens qui les premiers l’ont aboli, tandis qu’il est toujours bien présent aujourd’hui encore dans la zone arabo-musulmane. La colonisation était sans doute contestable en son principe mais elle n’a pas eu que des aspects négatifs : elle a par exemple empêché les conflits tribaux en Afrique, lesquels ont repris de plus belle après les indépendances. Surtout elle n’explique en rien les difficultés auxquelles les Africains sont aux prises : racisme, guerre, absence de contrôle de la démographie… S’agissant de la France et de la période de la seconde guerre mondiale, le régime de l’Etat français a certes collaboré avec l’Allemagne mais il ne mérite pas pour autant l’opprobre absolu dont il est aujourd’hui accablé. D’abord parce qu’il était à la tête d’un pays vaincu, ce qui limitait par nature sa marge de manœuvre. L’armistice a permis à l’Etat français de rester souverain sur une partie importante du territoire pendant la moitié de la guerre. Enfin, si Vichy a dû livrer aux nazis les juifs de nationalité étrangère, il a en revanche conduit une politique de protection des juifs français.

    Bien que globalement mensongère, la propagande accusatrice a été efficace. La plupart des Français se sentent aujourd’hui tellement coupables qu’ils se refusent à réagir contre le processus d’invasion de leur pays qui est en cours. Ils consentent par avance à leur mise en minorité sur leur propre sol, se soumettent d’emblée à l’islam conquérant, supportent sans broncher la délinquance massive née de l’immigration, acceptant toutes ces évolutions mortifères comme des châtiments.

    Si nous voulons vivre, il faut en finir avec la culpabilité. Tous ces événements que l’on ressasse et dont on nous accable sont de toute façon anciens et ne sont imputables en rien aux générations de Français vivant aujourd’hui. Il faut aujourd’hui proclamer notre droit à l’existence. Notre droit à la préservation de notre identité. Notre droit d’être nous-mêmes, maîtres de notre destin et de notre territoire. Notre droit d’assurer notre propriété sur nos territoires et ce par tout moyen. Nous devons affirmer que l’Europe nous appartient à nous les Européens et que les personnes originaires d’autres continents devront pour la plupart regagner leurs patries.

    **

    Redisons-le pour conclure. La politique d’immigration a une motivation mercantile : la classe dirigeante occidentale veut abattre les frontières pour accroître encore ses profits et ses pouvoirs. Mais elle a également une dimension idéologique : l’immigration est un produit et une conséquence de l’idéologie universaliste républicaine.

    Si nous voulons vivre nous devrons nous débarrasser de nos dirigeants. Pour ce faire il nous faut d’abord révoquer leur idéologie. Pour nous empêcher de réagir, pour nous inhiber et pour nous soumettre, l’oligarchie nous enferme dans son propre cadre conceptuel : il nous faut désormais nous en défaire. Avant de pouvoir libérer notre territoire il faut nous libérer de cette idéologie.

     

    [1] Eric Zemmour face à Marlène Schiappa sur le Grand Remplacement et la discrimination ("Face à l'Info" - 11/02/2020)

     

     

     


    10 commentaires
  •  

    Vu quelque-part sur internet et sur un site qui publie des pétitions en ligne :

      "La loi Avia est déjà dépassée : elle ne prend pas en compte les messageries privées. Or, on sait par notre travail de terrain que tout se passe en privé."  
        Philippe Coen, président de l’ONG Respect Zone

    * Respect Zone (parfois abrégé RZ), est une organisation non gouvernementale française fondée en 2014, spécialisée dans la lutte contre les cyber-violences, le harcèlement et les discriminations.

     

     

    Voila... C'est tout.

    Ne faites pas suivre si vous n'êtes pas derrière un VPN ou si vous ne pouvez pas masquer ou délocaliser votre IP,.

    Ne partagez pas cette info avec les membres de votre carnet d'adresses, sinon par courrier postal.

    Ou ne citez pas votre source.

     

     


    16 commentaires

Voice of Europe