• Hep...!

    Une 'tite info passée généralement inaperçue, et qui devrait briser même le cœur du chœur des braves gens qui n'aiment pas qu'on suive une autre route qu'eux, surtout si c'est celle qui part complètement vers la droite :

    Sous prétexte de ne pas “adhérer aux valeurs du RN”, une entreprise locale "Make it Marseille" (subventionnée par le Conseil Général), refuse de vendre du matériel de protection destiné aux commerçants marseillais commandé par la Mairie "Rassemblement National" des 13me et 14me arrondissements : "Désolé, nous ne souhaitons pas contribuer à vos actions, ne partageant pas les mêmes valeurs que le Rassemblement National. "

    Brève

    par ailleurs...

    Pour le "groupe antifasciste de Lyon et des environs"

    Le coronavirus est un militant nationaliste

    on croit avoir tout vu... et pis, non !

    ...et le pire, c'est absolument authentique https://www.facebook.com/Groupe-Antifasciste-Lyon-et-Environs

     

    ...De là à prétendre que, inversement et réciproquement, le "nationalisme" est un virus qu'il faut éradiquer de toute urgence, il n'y a qu'un pas... Et les "antifas" ou "alter-mondialistes" ne sont pas les seuls à l'avoir franchi : les personnes qui en seraient atteintes sous la forme pourtant encore bénigne de "populisme" se voient placées en confinement perpétuel ou en soins palliatifs d'urgence par une partie (forcément progressiste) des "européanistes" et "néo-mondialistes" de tous poils.

     

     


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  • On a tous en tête 

    Un vieux 45 tours rayé

    Souvenir d'un âge bête 

    Et des années yé-yé

    ...et le chanteur chantait:

    "I love you and you love me it's wonderfull I am singing with my guitar" 

     

    "Rockcorrection"

     

    De temps à autres je ré-ouvre de vieux livres, de vieilles revues qui datent du temps des cheveux longs, du temps des fleurs, des futals pattes d'éph de la marine anglaise et des gilets afghans brodés...

    Par exemple "SPECIAL POP" : "380 pages, 860 photos, 100 dessins... Un travail démoniaque... la vie détaillées de 475 idoles... les Hippies, les Sounds, les Radios-Pirates..." (19,95 F TTC en 1967 -et 30 € d'occasion aujourd'hui...)

    Tout sur tous, de Patrick Abrial à the Zombies, en passant par Roy Orbiison, Mireille Mathieu, Jefferson Airplane, Antoine, Bob Dylan et Fats Domino ou Chuck Berry... Et de Daniel Fillipacchi à José Arthur et le Président Rosko... Et bien d'autres choses encore...

    C'était bien c'était chouette, presque autant que chez Laurette.... et nous étions de la dernière averse.(vs les neiges d'antan)

    Depuis, mes goûts, mes convictions et mes opinions ont quelque peu changé... 

    A propos de Chuck Berry, justement... un article de Polémia .

     

    Chuck Berry : porte-avions des troupes d’occupation culturelles 

    Thierry Bouzard, chroniqueur musical, analyse ici le rôle culturel de Chuck Berry, inventeur du rock-and-roll, né de la fusion entre la musique afro-étasunienne et la musique blanche country d’origine irlandaise.

    Chuck Berry est mort à 90 ans : le rock, ça conserve. Particulièrement inspiré, ce guitariste noir du Missouri a opéré la fusion entre la musique afro-étasunienne et la musique blanche country d’origine irlandaise pour donner naissance, au milieu des années 1950, au rock-and-roll. Une musique rapide, calée sur le rythme du moteur, une musique de l’ère industrielle qui ouvre sur la musique de masse.

    Chuck Berry va devenir le modèle de toute une génération de musiciens occidentaux qui imitent son style et son côté sulfureux fait de prison, de filles et de dollars, y ajoutant souvent les drogues. Un de ses standards sorti en 1958, "Johnny B. Good", est repris par les plus grands guitaristes, Elvis Presley, les Beatles, Keith Richard, Jimi Hendrix, Eric Clapton et bien d’autres, pour devenir celui d’une génération. En France, il est introduit par Eddy Mitchell et Johnny Halliday. Vingt ans après les soldats français qui avaient combattu sous l’uniforme US, leurs émules musiciens renouvelaient ainsi l’allégeance à leur suzerain, overlord en anglais (*).

    Le Jazz en Europe (1917), le rock (années 1950) : déplacement du centre culturel de la civilisation occidentale

    Le jazz était arrivé en Europe en 1917 avec le corps expéditionnaire US, illustrant le déplacement du centre de gravité culturel, mais aussi économique et politique, de la civilisation occidentale. Quarante ans plus tard, le rock va conforter cette hégémonie, lui donnant une dimension planétaire. Par l’influence qu’il a exercée, Chuck Berry est une sorte de porte-avions des troupes d’occupation culturelles de la mondialisation. Que ce soit par les armes ou la musique, l’objectif est identique : la conquête de nouveaux marchés économiques. Le combat pour la suprématie s’est simplement déplacé du militaire au culturel. En 1977, consécration suprême : Johnny B. Good est même sélectionné par la NASA pour présenter le portrait musical de l’humanité auprès d’éventuels extra-terrestres que rencontrerait la sonde Voyager, à l’égal de Bach, Mozart et Beethoven. On passe du planétaire à l’interstellaire.

    Mythe vivant, Chuck Berry n’avait pas besoin de groupe pour l’accompagner : où qu’il aille se produire avec sa légendaire Gibson rouge, il trouvait toujours des musiciens connaissant son répertoire, parfois plus ou moins bien.

    Guitare électrique, microsillon et société de consommation

    Sa musique apparaît à une période charnière où la rencontre de la guitare électrique, du microsillon et de la société de consommation va ouvrir le marché de la jeunesse, opérant une fracture entre les générations. Il est presque étonnant d’observer comment les populations de vieille souche européenne vont joyeusement abandonner leurs références musicales ancestrales pour ces nouveaux standards, envoûtants certes, mais néanmoins particulièrement corrosifs pour leur identité culturelle –le modèle étant tellement entré dans les mœurs qu’il n’est même plus contesté.

    L’émergence du rock coïncide d’ailleurs avec l’abandon de la plus longue mémoire musicale de la civilisation européenne quand l’Eglise de Vatican II élimine le grégorien de la liturgie ordinaire. Entraînant l’adhésion des masses, la musique devient un outil majeur d’un affrontement de civilisations. Ainsi la célébration de Chuck Berry a quelque chose de morbide, elle est celle de l’effondrement du modèle culturel de la vieille Europe.

    Note : (*) Operation Overlord (suzerain) est traduit par Débarquement en Normandie des troupes étasuniennes en 1944.

    Thierry Bouzard
           23/03/2017

    A travers un exemple, concret et précis, une démonstration de cette "américanisation de l'Europe", dénoncée et vilipendée culturellement et sociologiquement par Eric Zemmour dans la plupart de ses ouvrages ("Destin français", "Le suicide français" entre-autres), démontée et expliquée historiquement, politiquement et économiquement par par Philippe de Villiers ("J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu"), et visible jour après jour par qui a encore un regard lucide à travers les mouvements "progressistes" de toutes sortes (écologie punitive, théories du genre, féminisme radical, anti-racisme et repentance, négation de l'histoire et de la culture des nations, rejet des traditions ancestrales, etc...) 

    Bien sûr... pour les anti-Zemmour ou anti-de Villiers...!

     

    A propos de Thierry Bouzard, on peut lire entre-autres sur Polémia:

    "Des chansons contre la pensée unique" de Thierry Bouzard

    Ce spécialiste réputé du chant militaire y mène une étude originale, complète et approfondie des différentes musiques rebelles, depuis l’apparition de la chanson engagée.Tout ce qui a pu se faire "à droite" est répertorié et mis en perspective. Le tout est accompagné d’une réflexion savante sur le lien entre ces expériences musicales et l’engagement politique.

    4e de couverture :

    La musique joue sur nos émotions, nous faisant privilégier les styles connectés à notre sensibilité et notre culture.
    Du fait du morcellement des répertoires, nos choix ignorent des courants musicaux nombreux et créatifs, d’autant plus que le totalitarisme culturel ambiant les occulte et les combat. Grégorien, chanson traditionnelle, chanson de soldat, oi!, rock identitaire, RAC, rock metal et indus… Venance Fortunat, Botrel, le Père Doncœur, Méfret, Gavino, Barbelivien, Fraction, Vae Victis, In Memoriam… l’inventaire serait incohérent si les compositions qui en émanent n’étaient l’expression d’une certaine identité, en butte à la pensée dominante. L’abondante diversité de ces courants musicaux alternatifs soigneusement tenus à l’écart des médias devait être présentée, car elle témoigne d’une vitalité et d’une richesse insoupçonnées.Il vous est proposé ici un tour d’horizon jamais tenté et pourtant indispensable, qui ne manquera pas d’étonner, comme a déjà été remarqué l’entretien exclusif avec Jean-Marie Le Pen.

    Thierry Bouzard, historien de la musique et de la chanson, a publié plusieurs ouvrages et recueils de chants. Il a animé plus de cinq ans une émission musicale sur Radio Courtoisie et a participé à la réalisation de nombreux CD.

     

     

    Bon... je n'ai pas (encore ?) lu ce livre, mais il me semble à des années lumières "des vieux livres, des vieilles revues qui datent du temps des cheveux longs, du temps des fleurs, des pattes d'éph de la marine anglaise et des gilets afghans brodés... que je réouvre de temps à autres....", comme...

    ...comme par exemple ce "Chansons politiques d'aujourd'hui" (enfin... avant-hier !) avec  François Béranger, Michel Bühler, Jean-Max Brua, Imago, Gilles Servat, Mouloudji, Gilles Vigneault...

    "Les chansons ici rassemblées ne prétendent pas représenter l'ensemble de la chanson politique, tout juste quelques tendances. Au premier regard, leur assemblage peut sembler disparate. Leur unité vient d'ailleurs, elles sont le résultat de plusieurs années de travail vers une conception différente de l'écriture et de la production musicale. Une conception qui, d'emblée, se démarque des compromissions habituelles en ce domaine et qui a doublement choisi la voie la plus périlleuse. Il faut en effet un certain courage et des convictions bien arrimées pour choisir, à l'époque des tubes de quelques semaines, la chanson à texte et, plus qui est, la chanson sociale ou révolutionnaire.../...

    (Il semble que quelques personnes croyaient en ces propos...on ne rigole pas, SVP.)

     

     

      "Rockcorrection"

     

     

     

     


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  •    attention : humour...   

    Faut ç'qui faut...

    Afin de lutter contre la propagation de la pandémie de covid-19 et faire appliquer le confinement de façon efficace, chaque pays concerné applique des mesures strictes mais individualisées...

    Au Nigéria, les forces de sécurité ont exécuté 18 personnes pour non respect des mesures de confinement, selon la Commission des Droits de l'Homme.

    Parallèlement, on ne compterait que 12 décès liés directement à l'infection par le coronavirus dans le pays.

    Il semble évident qu'en France une majorité de populistes ne verrait pas d'un très bon œil une telle mesure qui semble pourtant avoir fait ses preuves mais qui impliquerait une collaboration étroite et permanente entre les ministères respectifs de messieurs Olivier VERAN (chargé de la Santé Publique) et Christophe CASTANER (chargé de la Sécurité du même nom), même pour les personnes âgées de plus de 70 ans.

    Messieurs Jérôme SALOMON (célèbre chroniqueur télé et Directeur Général de la Santé) et Didier LALLEMENT (ex-secrétaire général au Ministère de l'Ecologie et actuel Préfet de Police) pourraient ainsi compléter mutuellement et objectivement de nouvelles et passionnantes interventions médiatiques quotidiennes obligatoires. 

      wink2 smile clown

    Et puis, on me dit-on dans l'oreillette, mourir perdre la vie de cette façon, ou à cause de la pénurie de respirateurs artificiels dans les hôpitaux (réels), ou d'une injection massive et quelque peu létale de Rivotril -clonazépam-, ou des éventuels effets indésirables de la molécule miraculeuse de N.D. de la Garde non testée protocolairement, hein...ça change quoi ?


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  •  

    coïncidence ou destinée...? 

     

    [11 mai]

      

    Sainte Estelle, priez pour nous.

     

     


  •  

     La Cathédrale.

    textes extraits de "la Cathédrale" de J.-K Huysmans

    Cathédrale

    Au fond, se disait Durtal qui rêvait sur la petite place, au fond, personne ne connaît au juste l’origine des formes gothiques d’une cathédrale. Les archéologues et les architectes ont vainement épuisé toutes les suppositions, tous les systèmes ; qu’ils soient d’accord pour assigner une filiation orientale au Roman, cela peut, en effet, se prouver. Que le Roman procède de l’art latin et byzantin, qu’il soit, suivant une définition de Quicherat, "le style qui a cessé d’être romain, quoiqu’il tienne beaucoup du romain, et qui n’est pas encore gothique, bien qu’il ait déjà quelque chose du gothique", j’y consens ; et encore, si l’on examine les chapiteaux, si l’on scrute leurs contours et leurs dessins, s’aperçoit-on qu’ils sont beaucoup plus assyriens et persans que romains et byzantins et gothiques ; mais quant à avérer la paternité même du style ogival, c’est autre chose.

    Puis, il faut bien le dire tout de suite, l’ogive ou plutôt l’arc tiers-point que l’on s’imagine encore être le signe distinctif d’une ère en architecture, ne l’est pas en réalité, comme l’ont très nettement expliqué Quicherat et, après lui, Lecoy de la Marche. 

    Du reste, les preuves de l’ogive employée en même temps que le plein-cintre, d’une façon systématique, dans la construction d’un grand nombre d’églises romanes, abondent : à la cathédrale d’Avignon, de Fréjus, à Notre-Dame d’Arles, à Saint-Front de Périgueux, à Saint-Martin d’Ainay à Lyon, à Saint-Martin-des-Champs à Paris, à Saint-Etienne de Beauvais, à la cathédrale du Mans et en Bourgogne, à Vézelay, à Beaune, à Saint-Philibert de Dijon, à la Charité-sur-Loire, à Saint-Ladre d’Autun, dans la plupart des basiliques issues de l’école monastique de Cluny.

    Mais tout cela ne renseigne point sur le lignage du Gothique qui demeure obscur, peut-être parce qu’il est très clair. Sans se gausser de la théorie qui consiste à ne voir dans cette question qu’une question matérielle, technique, de stabilité et de résistance, qu’une invention de moines ayant découvert un beau jour que la solidité de leurs voûtes serait mieux assurée par la forme en mitre de l’ogive que par la forme en demi-lune du plein-cintre, ne semble-t-il pas que la doctrine romantique, que la doctrine de Châteaubriand dont on s’est beaucoup moqué et qui est de toutes la moins compliquée, la plus naturelle, soit, en effet, la plus évidente et la plus juste.

    Il est à peu près certain pour moi, poursuivit Durtal, que l’homme a trouvé dans les bois l’aspect si discuté des nefs et de l’ogive. La plus étonnante cathédrale que la nature ait, elle-même, bâtie, en y prodiguant l’arc brisé de ses branches, est à Jumièges. Là, près des ruines magnifiques de l’abbaye qui a gardé intactes ses deux tours et dont le vaisseau décoiffé et pavé de fleurs rejoint un chœur de frondaisons cerclé par une abside d’arbres, trois immenses allées, plantées de troncs séculaires, s’étendent en ligne droite ; l’une, celle du milieu, très large, les deux autres, qui la longent, plus étroites ; elles dessinent la très exacte image d’une nef et de ses bas-côtés, soutenus par des piliers noirs et voûtés par des faisceaux de feuilles. L’ogive y est nettement feinte par les ramures qui se rejoignent, de même que les colonnes qui la supportent sont imitées par les grands troncs. Il faut voir cela, l’hiver, avec la voûte arquée et poudrée de neige, les piliers blancs tels que des fûts de bouleaux, pour comprendre l’idée première, la semence d’art qu’a pu faire lever le spectacle de semblables avenues, dans l’âme des architectes qui dégrossirent, peu à peu, le Roman et finirent par substituer complètement l’arc pointu à l’arche ronde du plein-cintre.

    .../...

    Elles sont surhumaines, vraiment divines, quand on y songe, les cathédrales !

    Parties, dans nos régions, de la crypte romane, de la voûte tassée comme l’âme par l’humilité et par la peur, se courbant devant l’immense Majesté dont elles osaient à peine chanter les louanges, elles se sont familiarisées, les basiliques, elles ont faussé d’un élan le demi-cercle du cintre, l’ont allongé en ovale d’amande, ont jailli, soulevant les toits, exhaussant les nefs, babillant en mille sculptures autour du chœur, lançant au ciel, ainsi que des prières, les jets fous de leurs piles ! Elles ont symbolisé l’amicale tendresse des oraisons ; elles sont devenues plus confiantes, plus légères, plus audacieuses envers Dieu.

    Toutes se mettent à sourire dès qu’elles quittent leur ossature chagrine et s’effilent.

    Le Roman, je me figure qu’il est né vieux, poursuivit Durtal, après un silence. Il demeure, en tout cas, à jamais ténébreux et craintif.

    Encore qu’il ait atteint, à Jumièges, par exemple, avec son énorme arc doubleau qui s’ouvre en un porche géant dans le ciel, une admirable ampleur, il reste quand même triste. Le plein-cintre est en effet incliné vers le sol, car il n’a pas cette pointe qui monte en l’air, de l’ogive.

    Ah ! les larmes et les dolents murmures de ces épaisses cloisons, de ces fumeuses voûtes, de ces arches basses pesant sur de lourds piliers, de ces blocs de pierre presque tacites, de ces ornements sobres racontant en peu de mots leurs symboles ! le Roman, il est la Trappe de l’architecture ; on le voit abriter des ordres austères, des couvents sombres, agenouillés dans de la cendre, chantant, la tête baissée, d’une voix plaintive, des psaumes de pénitence. Il y a de la peur du péché, dans ces caves massives et il y a aussi la crainte d’un Dieu dont les rigueurs ne s’apaisèrent qu’à la venue du Fils. De son origine asiatique, le Roman a gardé quelque chose d’antérieur à la Nativité du Christ ; on y prie plus l’implacable Adonaï que le charitable Enfant, que la douce Mère. Le Gothique, au contraire, est moins craintif, plus épris des deux autres Personnes et de la Vierge ; on le voit abritant des ordres moins rigoureux et plus artistes ; chez lui, les dos terrassés se redressent, les yeux baissés se relèvent, les voix sépulcrales se séraphisent.

    Il est, en un mot, le déploiement de l’âme dont l’architecture romane énonce le repliement. C’est là, pour moi du moins, la signification précise de ces styles, s’affirma Durtal.

     .../...

    Et au-dessus de la ville, indifférente, la cathédrale seule veillait, demandait grâce, pour l’indésir de souffrances, pour l’inertie de la foi que révélaient maintenant ses fils, en tendant au ciel ses deux tours ainsi que deux bras, simulant avec la forme de ses clochers les deux mains jointes, les dix doigts appliqués, debout, les uns contre les autres, en ce geste que les imagiers d’antan donnèrent aux saints et aux guerriers morts, sculptés sur des tombeaux. 

    (sources: https://fr.wikisource.org ) 

    Lundi 15 avril 2019 

    L’incendie de Notre-Dame de Paris est un incendie majeur survenu à la cathédrale Notre-Dame de Paris, les 15 et 16 avril 2019, pendant près de 15 heures.

    Mercredi 15 avril 2020 - 16h. 12

    Le sinistre se déclare en début de soirée à l'intérieur de la charpente de la cathédrale et prend rapidement une grande ampleur. Les flammes détruisent intégralement la flèche, les toitures de la nef et du transept et la charpente. En s'effondrant, la flèche provoque l'écroulement de la voûte de la croisée du transept, d'une partie de celle du bras nord et de celle d'une travée de la nef. L'intervention de centaines de pompiers, jusqu'au lever du jour, permet de sauver la structure globale de l'édifice et d'épargner les deux tours, ainsi que la façade occidentale, le trésor et l'essentiel des œuvres d'art de la cathédrale. Il s'agit du plus important sinistre subi par la cathédrale depuis sa construction.

    L'incendie entraîne une très forte émotion, tant en France que dans le reste du monde, ainsi qu'une importante couverture médiatique. Le président de la République, Emmanuel Macron, annonce immédiatement vouloir reconstruire la cathédrale dans un délai de cinq ans.

    (source : https://fr.wikipedia.org/ )

     

     

     

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  • ACTE 1

    Sabotages, incendies… L'ultragauche profite du confinement pour multiplier les actions violentes

    D'après une note confidentielle du renseignement territorial, plusieurs activistes d'ultragauche entendent profiter de l'importante mobilisation des policiers et des gendarmes liée à la crise sanitaire pour lancer des attaques ciblées.

    Alors que le débat sur le traçage numérique de la population pour lutter contre la propagation du Covid-19 provoque de vives fractures au sein de la société et particulièrement au sein de La République en marche, l'ultragauche semble vouloir en profiter pour passer à “l'action directe”, via des actes de sabotage et des attaques ciblées contre la police et la gendarmerie. Selon une note confidentielle du Service central du renseignement territorial datée du 7 avril, que nous nous sommes procurée, cette menace est prise au sérieux par la Place Beauvau.

    Dans le résumé initial de la note, le ton reflète l'inquiétude des policiers du service : "Après l'appel relayé par “Lille insurgée”, un second appel à l'action directe circule sur les vecteurs de communication de la mouvance d'ultragauche, évoquant de possibles actions contre les forces de l'ordre et des sabotages sur des infrastructures de communication." Les limiers du renseignement ont identifié un appel au sabotage d'antennes de téléphonie mobile, et, plus inquiétant, la diffusion d'un "véritable mode d'emploi" pour y parvenir. Le niveau d'alerte est monté d'un cran depuis que les premières dégradations ont été constatées. Dans la nuit du 31 mars, plusieurs voitures de l'administration pénitentiaire d'Amiens ont été brûlées, pour un préjudice de 100 000 euros. Une tentative d'incendie a aussi été empêchée dans les locaux des services pénitentiaires. Sur les murs de l'enceinte, une inscription : "Crève la justice, crève la taule, crève l'État, et crève !", accompagnée d'un symbole anarchiste. Ces incendies ont été relayés par le blog d'ultragauche Sans attendre, qui précise dans un autre article que l'opérateur téléphonique Orange a été frappé par plusieurs sabotages en Normandie, en Gironde, en Charente et en Moselle, dans un billet intitulé "Un peu partout : saboter le confinement numérique - fin mars 2020".

    Selon cette note rédigée par la division D1, chargée du suivi “des faits religieux et mouvances contestataires”, les gendarmes ont constaté, le 3 avril, la dégradation de l'antenne-relais de télécommunication de Mandres-en-Barrois (Meuse). Dans le détail, le grillage de protection a été sectionné et le compteur est hors service. En conséquence, les clients de SFR et Bouygues Telecom ont subi des coupures téléphoniques et Internet. À noter que la commune se trouve non loin de Bure, une “Zad” dans laquelle les opposants au projet du centre d'enfouissement de déchets nucléaires ont été particulièrement actifs dans les semaines ayant suivi l'évacuation d'une autre Zad, à Notre-Dame-des-Landes, par les gendarmes, en avril 2018, à l'occasion d'une manœuvre inédite.

     

    ACTE 2

    En pleine pandémie, 650 000 migrants menacent de déferler sur l'Europe depuis la Libye

    L’Europe va-t-elle connaître une deuxième vague migratoire, après celle de 2015, qui avait précipité l’arrivée de plus d’un million de réfugiés, majoritairement syriens ? Comme le rapportait RTL mardi 14 avril, près de 650 000 personnes attendent, massées sur les côtes libyennes, de pouvoir rallier l’Europe par la mer. Des migrants venus en grande partie d’Afrique subsaharienne, désormais coincés dans ce pays, entassés dans des camps aux conditions d’hygiène déplorables et parfois même réduits à l’esclavage. 

    Une pression migratoire d’autant plus inquiétante en pleine pandémie de coronavirus, alors que l’Europe commence tout juste à ressentir les effets du confinement. Evarist Bartolo, le ministre des Affaires étrangères de l’île de Malte, première côte européenne à quelque 300 kilomètres au large de Tripoli, la capitale libyenne, tire la sonnette d’alarme. Selon lui, il y a là "tous les ingrédients d’un désastre humanitaire majeur"

    Le chef de la diplomatie maltaise préconise donc de saisir le problème à bras-le-corps pour ne pas subir plus tard les conséquences, qui pourraient être terribles, d’un afflux massif de migrants en période épidémique. Il appelle donc l’Europe à lancer immédiatement une mission en Libye afin d’y apporter nourriture, médicaments et équipements de soins. Un plan de sauvetage qu’il évalue à 100 millions d’euros, et qui pourrait permettre d’inciter les réfugiés à rester en Libye plutôt que de braver la mer Méditerranée. "Il y a urgence : il faut agir dès aujourd’hui, pas demain", prévient-il.

     ACTE 3

    La direction de la DGSI frappée par le coronavirus

    Le contre-espionnage français tenait à garder l'information secrète : la toute puissante DGSI (Direction Générale de la Sécurité Intérieure) est gagnée par la pandémie. Plusieurs membres de son état-major ont été testés positifs.

    L’ennemi invisible qui a frappé au 8me étage -celui des grands chefs- de la centrale basée à Levallois-Perret a déclenché une psychose parmi les 1 200 agents. Certains craignent même que le bâtiment, ultra-bunkerisé, dont les fenêtres ne s'ouvrent pas, ne se révèle un incubateur pour le virus. 

     

    à suivre ?

     

     

     


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  •  

    Ma contribution sanitaire bénévole

    "C'est grâce à la science et à la médecine que nous vaincrons le virus"

    Emmanuel Macron, le 24 mars 2020 sur le site https://www.elysee.fr/

    Il semble bien que les plus hautes instances scientifiques du pays soient impuissantes à trouver le remède (je n'ose pas dire "miracle") parfait pour enrayer l'épidémie de CODIV19 (comme disent les anglais), un remède efficace sur toutes les personnes contaminées, à tous les stades de l'infection, et sans aucun effet secondaire indésirable.

    Le Président de la République lui-même s'est affranchi des avis de son "Conseil Scientifique COVID-19" et de son "Comité analyse, recherche et expertise" pour rencontrer et échanger des idées avec quelques-uns des plus grands spécialistes de l'Hexagone en infectiologie, microbiologie, virologie, épidémiologie, immunologie, etc...

    Même le bon docteur Cymes, entre ses ex-consultations d'ohérèlologie à l'hôpital Européen Georges Pompidou, ses prestations vulgarisatrices sur la première-radio-de-france et sa mission dans le cadre de la "réserve sanitaire" d'aller prêter main forte pour soulager les infirmières (?) dans un service de réa -où règne cependant un grand calme- ne sait plus où donner de l'éprouvette.

    Soucieux d'apporter mes maigres connaissances au débat, je me permet donc, avec toute la modestie et l'humilité dont je suis très capable, de signaler :

    1. un praticien hospitalier exceptionnel et hors-norme mais méconnu
    2. un traitement médical méconnu mais hors-norme et exceptionnel

     

     

     

    Malgré tout ça, prenez quand-même soin de vous et respectez les gestes-barrière, comme nous l'a rappelé notre Président...

     


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