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    Où je m'aperçois que si on peut parfois traiter les choses légères avec sérieux, il n'est pas toujours très bon de traiter les choses graves avec trop de légèreté

    Hier, j'ai traité avec une certaine désinvolture et un brin de futilité un sujet qui méritait tout autre chose.

    C'était un peu avant qu'ait lieu la visite parisienne du "serviteur du peuple" ukrainien à son homologue français. L'un en costume "décontracté bon chic bon genre", l'autre quasiment en tenue de combat : éternel tee-shirt floqué "Ukraine Army" et pantalon de treillis kaki...

    Ces deux-là, ainsi que leur égérie teutonne représentent un danger pour la Paix, voire pour une partie de l'Humanité, afin de satisfaire les désirs d’extension, territoriale, politique, économique et idéologique sans limite des États-Unis à travers leur bras armé de l'OTAN

     

     

    Le long tweet publié peu après cette étape française de sa 'tournée européenne" (selon "France-Info" et "BFMTV") par le président Macron semble clair pour qui sait lire entre les lignes du prudent langage diplomatique façon McKinsey :

    Avec le Président Zelensky ce soir, nous avons fait le point sur les besoins opérationnels de l’Ukraine pour faire face à l’agression de la Russie.

    Aussi longtemps que nécessaire, la France continuera d’apporter un soutien politique, financier, humanitaire et militaire aux Ukrainiens.  

    Ainsi, dans les prochaines semaines, nous allons entraîner et équiper plusieurs bataillons ukrainiens de dizaines de véhicules blindés et de chars légers.  

    Afin de l’aider à protéger sa population des frappes russes, la France concentre ses efforts sur les capacités de défense aérienne de l’Ukraine.  

    Pour renforcer sa capacité à poursuivre les auteurs de crimes de guerre, nous avons envoyé sur le terrain deux laboratoires ADN mobiles. Cette aide montera encore en puissance.  

    Il ne doit y avoir aucune impunité.  

    Pour traduire en justice les auteurs de crimes de guerre, avec l’Ukraine, nous réaffirmons notre soutien aux enquêtes de la Cour pénale internationale.  

    Nous devons aussi nous assurer que les responsables politiques seront poursuivis.

    Nous œuvrons pour la création d’un tribunal ad hoc. Et le nouveau Centre international chargé de poursuivre le crime d’agression contre l’Ukraine doit être lancé dès que possible. 

    Pour une paix juste et durable, la France soutient l’initiative ukrainienne. Le Plan de paix ukrainien prévoit une série d’objectifs importants sur lesquels la France travaille déjà.  

    Nous sommes prêts à faire le maximum pour mobiliser la communauté internationale. Il nous faut assurer une participation aussi large que possible à un Sommet mondial pour la paix organisé dans les prochains mois.  

    Avec force, la France reste attachée à l’indépendance, à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Ukraine dans ses frontières internationalement reconnues.  

    Je terminerai ce message en rendant hommage à la détermination et au courage du peuple et des forces armées ukrainiennes : vous ne défendez pas seulement votre Nation agressée par la Russie, vous contribuez aussi à la sécurité de notre continent, l’Europe.  

    Ukrainiennes, Ukrainiens, cher Volodymyr, en mon nom et celui de la Nation française, vous pouvez compter sur notre soutien, sur notre amitié, sur notre fraternité.

     

    Pour de nombreux observateurs, il ne s'agit ni plus ni moins que d'un début officiel de déclaration de guerre à la Russie, présenté comme "en son nom propre et en celui de la Nation" bien que les députés supposés la représenter n'ont, à aucun moment, été saisis de l'article 35 de la Constitution pour des interventions directes qui sont de plus en plus éloignées des aides et des assistances du début du conflit

     

     

    NB. A noter, pour l'anecdote que pendant le vibrant discours de remerciement de Zelensky, le trophée placé sur un pupitre à coté de lui s'est cassé la gueule tout seul de son piédestal, obligeant le héros du jour à se baisser pour le ramasser, comme pour marquer sa honte et son désaccord avec cette cérémonie :

    re "Sacré Charlemagne"  (et mea culpa)

    Amusant, n'est-il pas ?

     

     


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    P'tiote piqure de rappel...

    Attention : partiellement second degré... 

    Vous, je ne sais pas, mais la situation où se trouve la France en ce moment me fait irrémédiablement penser à celle où elle se trouvait au plus fort de la "crise" des "gilets jaunes". Mais je peux me tromper : il serait surprenant qu'un grand Président se retrouve confronté, à seulement quelques courtes années d’intervalle aux mêmes problèmes comme s'il n'avait rien retenu de l'expérience passée. Ou pas ?

    Qui qu'il en soit, à tort ou à raison ,il me revient en mémoire ce pamphlet signé Ian Manook écrit en 2018 (je crois) déjà ancien mais qui retrouverait son éternelle jeunesse en dépit de quelques détails liés à l'actualité du moment :

    « Macron ne cédera rien parce qu’il n’est pas là pour gouverner. Il n’est même pas là pour être réélu et encore moins pour faire une carrière politique. Il se fout de tout ça, et donc il se fout de ce qu’on pense ou dit de lui, de sa cote de popularité, de son avenir politique, il se fout de tout ça. Macron est un condottiere mandaté par des commanditaires pour détricoter et privatiser tout ce qui est collectif et solidaire en France. Et sa récompense ne sera pas d’être réélu ou de prendre place dans le paysage politique français, sa récompense sera d’aller siéger dans tous les conseils d’administration des sociétés qu’il aura privatisées pour ses commanditaires. Ce n’est rien d’autre qu’un homme de main qui obéit à des ordres et qui a agi en deux temps : en pourrissant l’État français de l’intérieur sous un Hollande complètement manipulé, et en prenant ensuite prétexte de ce pourrissement pour mener à bien son pillage en règle de l’état. Voilà pourquoi il se moque de tous ces scandales à répétition le concernant et concernant son gouvernement. Voilà pourquoi nous avons un gouvernement « de crise » composé sans vergogne à moitié de millionnaires, voilà pourquoi il garde un Président de l’Assemblée mis en examen, pourquoi sa ministre de la justice peut dire en rigolant qu’elle a juste oublié de déclarer trois appartements au fisc. Voilà pourquoi il met sans honte un voyou à la tête de la police et autorise à cette police des comportements de voyous. Voilà surtout pourquoi il ne cède et ne cédera devant aucune grève. Parce qu’il s’en fout. Il se fout de vous, il se fout du pays, il se fout de la misère et de la pauvreté, il se fout des éborgnés et des amputés par sa police. Il s’en fout. Il détricotera tout jusqu’au bout sans écouter personne, sans état d’âme, et ne pense qu’à la fortune personnelle que chaque action contre le bien public lui garantit. Et il partira en laissant un pays épuisé et exsangue, trop sonné pour se défendre contre le plus violent des systèmes de finance ultralibérale qu’on puisse imaginer. Il laissera tomber tout le monde. Le pays comme ceux qu’il aura manipulés pour en faire ses pires factotums et qui, seuls, devront affronter la vengeance populaire. Voilà pourquoi il ne cède et ne cédera pas, et voilà pourquoi la seule façon de le faire céder est de nous montrer plus obstinés, plus jusqu’au-boutistes, plus tenaces et plus violents que lui. Nous ne pouvons plus rester sur le terrain politique. Le seul mouvement qui l’ait ébranlé, c’est celui des Gilets Jaunes, parce qu’il l’a désarçonné là , politiquement et sur le terrain, où il ne s’y attendait pas. En un an, il a neutralisé ce danger en le ramenant dans les mains de ceux qui défilent dans les clous, dans des couloirs et dans des nasses où ils acceptent pratiquement de se faire tabasser. Il faut sortir des clous. Disperser le mouvement, redéfinir les manifestations. Sortir des clous et des nasses. Il faut qu’enfin se bougent ceux pour qui nous nous battons vraiment, étudiants et lycéens. Il faut reprendre les ronds-points, les ponts, les périphériques, éclater les défilés dans les villes et dans le pays. Le forcer à disperser et affaiblir ses milices. C’est une question de survie du pays. Il a déjà entrepris la privatisation des hôpitaux, de la SNCF, des gares, des aéroports, des barrages, de la Sécu. Il s’attaque à celle des routes, de la police, des universités, de la culture, de la justice. Cet homme ne veut plus d’état, sinon pour l’armée et la police, et nous savons tous qu’un tel état s’appelle une dictature. »

     

    Mais, bien entendu, ces propos sortis de leur contexte initial n'engagent que leur auteur et je les cite simplement en tant que document signifiant d'une tendance politique à un moment donné de l'histoire économique et sociale du pays. Amen...

     

     

     


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  • Sécheresse (nom féminin) : caractère de ce qui est sec - absence ou insuffisance de pluie pendant une certaine période. 

    Macron... grand sorcier ou grand sourcier ?

    Dans la presse et sur les ondes (sans mauvais jeu de mots) ces derniers jours -best of non exhaustif :

    • Les périodes de sécheresse peuvent résulter d’un manque de pluie, mais aussi d’une utilisation trop intensive ou inadaptée de l’eau disponible. Quand la sécheresse survient, des restrictions d’usage de l’eau peuvent être décidées par les préfets de département. Chacun, par ses gestes quotidiens ou ses pratiques professionnelles, peut contribuer à préserver les ressources en eau potable. (Gouvernement - "Prévention des risques majeurs")

    • Sécheresse : "Il va falloir penser à consommer moins d'eau", alerte un professeur d'hydrogéologie (France info)

    • Un département sur deux présente un risque "très fort" de sécheresse (Plein champ)

    • Un risque très fort de sécheresse dans une bonne partie de la France (les Echos)

    • Actualités météo: Sécheresse : Alsace, Limagne... ces régions où la pluie manque toujours 13/04/2023 (Météo Paris)

    • "Vers une sécheresse pire qu'en 2022" : le BRGM tire la sonnette d'alarme pour cet été(Midi Libre)

    • METEO. La sécheresse 2022 était historique, pourquoi la prochaine pourrait être pire (Centre Presse Aveyron)

    • Nappes phréatiques basses : fort risque de sécheresse estivale en Normandie (Ouest France)

    • Avec un niveau historiquement bas des nappes phréatiques, un risque "très fort" de sécheresse cet été dans le Var (Var Matin)

    • Risque avéré de sécheresse cet été dans plusieurs régions, alerte le Bureau de recherches géologiques et minières (La Montagne)

    • Les nappes phréatiques toujours au plus bas, le risque de sécheresse estivale est bien réel (Corse Matin)

    • Sécheresse en Provence : des niveaux "bas" à "historiquement bas" pour les nappes phréatiques (La Provence)

    • Un risque "très fort" de sécheresse sur une bonne partie de l'Indre et du Cher (France Bleu)

    • Risque "avéré" de sécheresse cet été, notamment dans le nord (La voix du Nord)

       etc. etc. 

     

     

    ...en même temps, si on n'a bientôt plus assez de flotte, on n'a toujours pas de pétrole non plus, mais on a encore tout plein d'idées !

          ("Parlons vrai" du 12-03-2023)

     

    Eau française contre pétrole : dans le secret d'un projet discuté au sommet de l'Etat

    La plaquette de présentation du projet, que "Marianne" a pu consulter, porte l’en-tête de Carbonaphta*, confortant la crédibilité du projet. Elle précise notamment les volumes d’eau douce française pouvant être acheminés, en nombre de navires, chaque jour hors de nos frontières [...] Le coût du projet est, lui, pour l’heure, évalué à 300 millions d’euros. Son financement, nous affirme-t-on, serait bouclé. 

    ( * la seule entreprise française indépendante de trading pétrolier)

     

     

     


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    Zelensky s’est rendu aux Etats-Unis pour y rencontrer Biden 

    "Un président Zelensky, comme Winston Churchill en 1941, chef d’État héroïque et ambassadeur de la Liberté "

     

    Wolodimir : "Votre argent n'est pas de la charité, c'est un investissement dans la sécurité mondiale et la démocratie"

    Joseph Robinette : "Je n'ai jamais vu l'Otan ou l'UE aussi unies sur quoi que ce soit.../... Vous ne serez jamais seul"  

    Un cosaque au far-west

     

    une rencontre historique...

    ...afin de mettre au point les derniers détails d'un projet commun  

    Un cosaque au far-west

     

    Un cosaque au far-west

     

     

     


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  • « Entre "vivre"  "ensemble", il faut choisir...»

    Renaud Camus (repris presque mot à mot par Éric Z )

     

    Rien que des faits-divers...

    Presque banals, bientôt normaux... et surtout, quasiment 'en-même-temps' :

    Stains (93) :

    Le maire communiste de la commune, M. Azzédine Taïbi, l'homme au drapeau palestinien dans son bureau, ancien dirigeant de la mosquée locale, entouré de son équipe municipale ne comptant aucun souchien, mais plusieurs femmes voilées et cocardées tricolore, donne des leçons de civisme républicain et français à ses détracteurs.  

    https://www.fdesouche.com/2022/09/26/   

    Les Mureaux (78) :

    Le deuxième adjoint à la mairie socialiste de la ville a été contraint de démissionner de son poste et de quitter la commune suite à d'innombrables insultes racistes et homophobes, à de multiples agressions et à de nombreuses menaces de mort jusque devant la porte de son domicile : "Toi, le blanc quitte ma ville, on est chez nous ici..."

    https://www.fdesouche.com/2022/09/30/    

    Tout le monde avait tout prévu... sauf les muetsdias, bien entendu.

     

    Alors, un joli petit texte joyeux pour illustrer la situation, mieux qu'un long reportage :

    « La fin du chagrin »

    « Un siècle s’était écoulé depuis la mort de l’Occident. La chute fut bien plus brutale qu’on ne l’avait imaginé. La décadence avait enfin achevé son œuvre. Dans les bois où la mort apposait sa main froide, le vieux portait un feu qu’il lui fallait léguer. Le gamin devant l’âtre tendait ses maigres mains, se serrant au plus près du vieillard édenté. »

    "Lorsque que me fut tendu la lumière pisseuse à l’agonie du beau, plus rien ne subsistait pour en graver l’écho. Mon grand-père alors, me transmit dans un rythme, le vivant souvenir de la lente agonie, de la mémoire des nôtres, quand la beauté lassée de nous sauver en vain, s’est éteinte dans le givre où se mouraient les âmes. À la lisière des songes, telle un spectre chagrin enclos dans les ténèbres, une ultime étincelle, un espoir aux Enfers, qui brûle la prunelle, quand se prolonge en elle, ce regard né hier. Me voici à mon tour, à te transmettre les paroles portées jadis par ceux qui se prolongeaient en nous, les mots des morts, mis dans nos bouches par les pères de nos pères et tous ceux qui avaient gravé en eux le moment de la fin…"

    "À deux pas de l’abîme où résonnait l’écho
    Du chant long et putride porté par le troupeau,
    Sans même une contrainte en pointe de couteau
    Soumis en foule tiède allant payer l’écot,
    Ce peuple rendu stupide, moi je l’aimais encore
    Même laid, même lâche, même vendu pour trente sous,
    Au déclin de la race qu’il a mise à genoux,
    Haïssable et mesquin, engeance de Pandore,
    Je me pointais du doigt en fixant sa faiblesse
    Empreinte de vanité, parodie de noblesse
    J’enrageais de cette fin, prévisible et brutale,
    Au terme d’une corruption qui évidait les âmes,
    Où se mirait Pandore dans le miroir infâme
    D’yeux morts à la beauté, sécheresse fatale."

    « La pauvreté se fit dans les esprits, portant l’obscurité où s’étiolait un monde. Le cercle de la raison parla par les bouches à faire puer les mots. Ils ne furent plus alors ce qui nomme les choses, mais le voile du mensonge comme une porte close. On maquilla l’infamie aux couleurs de la banalité, jusqu’à l’habituation, jusqu’à ce qu’il y ait scandale à recracher le poison. Faire montre de velléités à résister à l’injustice fut bientôt intolérable. Refuser de se soumettre au supplice avec une ferveur de martyr jetait celui qui avait le mauvais goût de résister aux déprédations en centre rééducatif, gavé de drogues jusqu’à afficher dans sa chair et ses yeux les langueurs extatiques du très saint vivrensemble. Les exigences d’une expression conforme à leur morale en chausse-trappe finit par ôter à notre vieux peuple le dire vrai. Au sein des villes qui, jusque là, craquelaient en fissures, s’édifièrent bientôt des enceintes autour de “zones vertes”.

    On m’a dit que la vie, y mimait l’éternité, cependant qu’au-dehors, la guerre devint la norme, la famine et la lèpre et la terreur sans nom, puis les nuées de vermines se dévorèrent entre elles. Ce fut tous contre tous, le massacre, ultime économie, engloutit la société des hommes, qui furent moins que des bêtes, car crois-moi mon garçon, aucune bête ne s’abaisse à ce qui affleura alors. On s’éloigna des villes, dont on voyait le faste dès la tombée du jour, en oasis de lumière dans la foire aux ténèbres, en oasis mortelles pour la plèbe à pellagre qui osait s’approcher pour en gratter l’aumône.

    Des drones en essaims dispensaient sans compter une mort rapide à ceux que la folie pointait du doigt au comble de la faim. Les meutes rabiques, comme des plaies divines, parcoururent en razzia toute la pauvre France. Ils ne savaient que prendre sans rien semer que des cadavres. Les natifs, depuis longtemps rabougris à n’être plus que des individus dénués de ferveur commune, avaient perdu les valeurs du groupe et le goût du sacrifice. Alors ne subsistèrent que de maigres enclaves, lieux où s’étendaient, parées de violence froide, les dures lois d’airain qu’on avait oubliées…

    Les nomades en meutes étaient flux plus que peuple. Ils se mêlaient ponctuellement, se fracassaient dans le tumulte des discordes générées par leur nature née du sable sous le vent. Le “seum” les guidait, les avalait et les recrachait… À l’enfance de grand-père, bien qu’ils ne surent s’unifier, un étrange phénomène les fit converger de façon disparate, mus par un instinct grégaire, une foi d’essaim. Ils gagnèrent ainsi le Sud d’où ils ne revinrent plus. Certains disent qu’alors, ils furent anéantis par les phalanges Ibériques à la sinistre réputation. D’autres racontent qu’après avoir ravagé la France à en épuiser la terre, ils en abandonnèrent le corps au terme d’un périple par-delà les murs de mines flottantes, regagnant la terre de leur ancêtres.

    Les cohortes de damnés dénués de compassion laissèrent derrière eux mères et sœurs. Ils laissèrent aussi dans leur odieux sillage, le poison capiteux de leur ressentiment qui dessiqua les cœurs. Nous fûmes monstrueux… Ce qui fut un pays ne s’est jamais remis de cette curieuse alliance des déracinés d’en haut et de ceux d’en bas… 

    Sous le ballet sporadique des aéronefs des villes, la terre et le ventre des femmes sont presque stériles. Les habitants des cités sont devenus autres... Nous sommes la fin des hommes, la fin de l'âme. Un chant qui se mourrait de n'être plus entonné. Sois ce souffle qui garde vive la braise. Sois l'espoir aux Enfers.»

    (un texte de "Pangol1 Mal1", trouvé sur le bien nommé : "Les Envahis - la revue de presse des derniers Gaulois")

    https://envahis.com/la-fin-du-chagrin/  

     

     

     

     

     

     


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    • Trouvé ça sur internet, à propos du 14 juillet...
    • "Journée internationale des peuples non binaires" !
    • Je ne savais même pas que ça existait !
    • C'est aussi la fête des "Camille", le pseudo épicène préféré des zadistes mâles et fumelles ou autres.

    ...du coup, je vais regarder monsieur le Président et madame la Première Dame avec quelque peu de circonspection lors du Défilé mirlitaire.

    Et Jwayé Annivè'sè à tous les "Fêtnat".

     

     

    Journée internationale des peuples non binaires

    International Non-Binary People's Day 

    « La Journée internationale de la non-binarité est observée chaque année le 14 Juillet et vise à sensibiliser à la non-binarité et à s'organiser autour des problèmes rencontrés par les personnes non-binaires dans le monde. Cette journée a été célébrée pour la première fois en 2012. La date a été choisie pour être précisément entre la Journée internationale des hommes et la Journée internationale de la femme .

    « La plupart des pays du monde ne reconnaissent pas la non-binarité comme genre légal, ce qui signifie que la plupart des personnes non-binaires ont toujours un passeport genré et une pièce d'identité officielle. L'Australie, le Bangladesh, le Canada, le Danemark, l' Allemagne, les Pays-Bas et la Nouvelle-Zélande incluent des options de genre non binaires sur les passeports et 23 États américains ainsi que Washington DC autorisent les résidents à marquer leur sexe comme "X" sur leur permis de conduire.

    « La Semaine de sensibilisation non-binaire est la semaine commençant le dimanche ou le lundi précédant la Journée internationale des peuples non binaires, le 14 juillet. Il s'agit d'une période de sensibilisation LGBTQ+ dédiée à ceux qui ne s'inscrivent pas dans le binaire traditionnel du genre, c'est-à-dire ceux qui ne s'identifient pas exclusivement en tant qu'homme ou femme, ou qui peuvent s'identifier à la fois comme homme et femme, ou peuvent tomber en dehors de ces catégories dans leur ensemble. »

     

    (source)

    14 juillet

     

     


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    Pierre Palmade avait imaginé une série de "choix", des interrogations un peu loufoques, du style :

    Tu préfères, à vie, avoir des dents en bois, ou des jambes en mousse ?

     

    Extrapolons, extrapolons... (pas forcément à vie) :

    Tu préfères, continuer avec un gouvernement Macron (de 208 à 248 députés) ou essayer un gouvernement Mélenchon (de 168 à 203 élus), l'un ou l'autre éventuellement allié à Marine le Pen (de 67 à 90 sièges)  ou aux machins dits de la droite (30 ou 50 maxi.) ? 

    rappel : il faut au moins 289 sièges pour obtenir une majorité gouvernementable (stable et efficace -ou pas)

    sources : presse belge, vers 19h 30

     

     

     

     


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