• Un article déjà ancien qui est certainement méconnu du journal "Le Monde" et qui fait le point d'une façon originale sur les origines et le message du Coran, et donc en quelque sorte sur l'islam en général et ses adeptes pour qui leur religion est sensée supplanter et dépasser les autres, judaïsme et christianisme, de par sa perfection supposée due à sa relative contemporanéité.

    Et si les vierges célestes du Coran n'étaient que fruits blancs ?

    "Et nous leur donneront comme récompense des houris aux grands yeux et au regard chaste, qui n'ont jamais été déflorées, ni par les hommes, ni par les djinns, elles seront aussi belles que le rubis et le corail." (Coran, 44:51, 44:52, 44:53, 44:54) 

    Au lieu de "vierges aux grands yeux", il faudrait lire "fruits blancs comme le cristal".

    Un article du "Monde", de mars 2003

      "Les érudits paraissent inoffensifs. On les imagine préoccupés de questions très obscures, inaccessibles au commun des mortels. On en déduit que leurs travaux ont un impact nul sur les réalités du monde. Erreur. Il arrive en effet que surgissent du fond des bibliothèques des découvertes susceptibles d'entraîner de grands bouleversements. Parmi les derniers exemples en date, le travail de l'Allemand Christoph Luxenberg sur la langue du Coran. Ce philologue maîtrise l'arabe, littéral et dialectal, mais aussi le syriaque et "l'arabo-syriaque", langue largement répandue vers les VIe et VIIe siècles. Et il s'est demandé en quelle langue exactement était rédigé le Coran.

      "L'interrogation peut surprendre. En arabe, évidemment. Mais quel arabe ? La difficulté vient du fait que les plus anciens manuscrits connus ne comportent que l'écriture des consonnes. C'est plus tard, sans qu'on sache d'ailleurs au juste ni quand ni comment, que furent inventés les systèmes de points pour noter les voyelles et permettre ainsi de distinguer des termes s'écrivant de manière identique mais se prononçant différemment. Ces hésitations sont bien connues, mais le savant fait un pas de plus en tentant de lire à partir du vocabulaire arabo-syriaque certains des passages obscurs du "Livre clair". Les résultats sont étonnants. Ainsi, dans la sourate de Marie (XIX, 24), Jésus, à peine né, s'adresse à sa mère pour la consoler. Au lieu de "Ne t'attriste pas ! Ton Seigneur a mis à tes pieds un ruisseau", texte habituel mais énigmatique, la lecture arabo-syriaque conduit à comprendre : "Ne t'attriste pas ! Ton Seigneur a rendu ton accouchement légitime."

      "Plus étonnante encore est la transformation des fameuses houris des jardins paradisiaques en... simples raisins! Au lieu de "vierges aux grands yeux", il faudrait lire "fruits blancs comme le cristal". Si l'on songe à l'emprise imaginaire de ces épouses célestes, pour lesquelles les kamikazes islamistes d'aujourd'hui protègent leurs parties génitales, on mesure le chambardement. Et si Luxenberg avait raison, le Coran n'aurait été d'abord qu'un lectionnaire (sens du terme en syriaque), une sorte de manuel destiné à expliquer la Bible, et non à la remplacer !

      "Comme le souligne Rémi Brague, professeur à la Sorbonne, dans un article publié dans le numéro d'avril de la revue Critique, il est temps d'ouvrir sur la question un vaste débat scientifique. Si ces hypothèses étaient avérées, imagine-t-on les conséquences ? Les érudits, décidément, ne sont pas inoffensifs."

    Roger-Pol Droit

      analyse du livre de Ch. Luxemberg : "Lecture syro-araméenne du Coran:"  (extraits)  
     

     

    Le Coran est ce que son nom dit très précisément, une fois qu'on le comprend à partir du syriaque : un lectionnaire (L, 56, 79), c'est-à-dire une anthologie de passages tirés de livres saints préexistants et adaptés en langue vernaculaire, anthologie faite pour la lecture liturgique (L. 275). C'est ce qu'affirme le début de la sourate XII, qui raconte l'histoire de Joseph (Genèse, 37-50), si on la traduit comme le fait Luxenberg : "Voici les versets de l'Écriture expliquée ; nous l'avons fait descendre comme un lectionnaire arabe, afin que vous puissiez comprendre." (XII, 1-2) (L, 80s.) Ou encore XLI, 3 : « Écriture que nous avons traduite comme un lectionnairearabe » (L, 96). Ou enfin LXXV, 17- 18 : "il nous incombe de le (le Coran, le lectionnaire) compiler (à partir d'extraits de l'Écriture) et de l'exposer (en enseignant). Si nous l'avons exposé (en enseignant), suis son exposé (c'est-à-dire la façon dont il t'a été enseigné)" (L, 97).

    Si Coran signifie à proprement parler lectionnaire, on est autorisé à admettre que le Coran ne voulait être compris comme rien d'autre qu'un livre liturgique avec des textes choisis de l'Écriture (Ancien et Nouveau Testaments), et nullement comme un succédané de l'Écriture elle-même, c'est-à-dire comme une Écriture indépendante. D'où les nombreuses allusions à l'Ecriture, sans la connaissance de laquelle le Coran pourrait sembler à son lecteur être un livre scellé de sept sceaux. (L, 79).

    Le Livre par excellence dont il est question bien des fois, la 'mère du livre' (III, 7 ; XIII, 39 ; XLIII, 4), c'est-à-dire le texte original, n'est autre que la Bible elle-même. Luxenberg traduit ainsi III, 7 : 'C'est Lui qui a fait descendre sur toi le livre. Une de ses parties consiste en versets précis, qui (sont quasiment) l'Écriture originale (elle-même), et (une partie) en d'autres (versets) de même sens.' (L, 82) II se peut que ce qui est vise ici soit l'Écriture canonique et ce qui lui ressemble, a savoir les textes apocryphes (L, 83).

    On notera une conséquence capitale : si Luxenberg a raison, le Coran ne prétendait pas remplacer la Bible, mais en fournir une version intelligible aux arabes de l'époque. Il ne se présentait donc pas comme une révélation immédiate (L, 100). De la sorte, la doctrine de la dogmatique islamique postérieure selon laquelle une révélation serait 'abrogée' (naskh) et 'remplacée ' (tabdîl) par une révélation postérieure (l'Évangile remplaçant la Torah), jusqu'à la révélation définitive coïncidant avec l'islam, perdrait son fondement.

    Ainsi, "le passage de la sourate 33, qui est traduit habituellement par 'sceau du prophète' signifie en réalité 'témoin' . Par cette lecture, Mahomet n'est plus 'le plus grand des prophètes', celui qui en clôt la lignée, mais seulement un témoin de ces prophètes qui vinrent avant lui."

     
     

    par Rémi Braque

     

     

     pour prendre tout ça avec le sourire, voir "Ben Zeubi et les 72 pucelles"

     


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    "C’est une erreur de penser que le programme est le cœur d’une campagne électorale [...] La politique, c’est mystique... c’est un style , c’est une magie. Il faut définir le cœur de ce qu’on veut porter .[...] on se fout des programmes, ce qui importe c'est la vision"

    Emmanuel Macron, candidat à l'élection présidentielle

    "Je n'oublie pas d'où je viens. Je ne suis pas l'enfant naturel de temps calmes de la vie politique. Je suis le fruit d'une forme de brutalité de l'histoire. Une effraction parce que la France était malheureuse et inquiète. Si j'oublie tout cela, cela sera le début de l'épreuve."

    Emmanuel Macron, président de la République française 

     

    La grande illusion, ou chronique d’un désastre annoncé

    Extraits du discours prononcé au cours des "Rencontre de Bretagne" le 26 octobre par le général Martinez, président des "Volontaires pour la France". En intégralité sur : https://volontaires-france.fr/ 

    Chacun s’accorde à dire que le quinquennat du Président Macron est entré dans ce que l’on pourrait appeler, dans cette comédie dramatique qui se joue dans le contexte théâtral que nous connaissons, l’acte II de son mandat. Et le passage à cet acte II correspond, ou plus exactement est la conséquence d’un acte I mené avec arrogance dans la conduite de sa politique, avec mépris pour les citoyens en désaccord avec lui et avec violence avec ceux qui souffrent et qui le manifestent dans la rue. Il n’a pas compris que ce comportement dans la conduite des affaires du pays, lui qui est, de son propre aveu, "le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, d’une effraction", ne pouvait que conduire à l’échec.

    [...] Le décalage entre les élites et le peuple n’a jamais été aussi flagrant ni aussi grave pour les conséquences dramatiques qu’il alimente et qui ne manqueront malheureusement pas de se produire. En effet, pour une bonne partie des responsables politiques qui ont dirigé ou qui dirigent le pays aujourd’hui, ainsi que des élus appartenant à cette nouvelle vague/génération de députés-amateurs, nourris à l’école de la repentance et de la haine de soi, l’immigration extra-européenne de peuplement qui tend vers le remplacement du peuple autochtone constitue un fantasme.

    Pour une bonne partie des responsables politiques qui ont dirigé ou qui dirigent le pays aujourd’hui, ainsi que des élus appartenant à cette nouvelle vague/génération de députés-amateurs, nourris à l’école de la repentance et de la haine de soi, l’immigration extra-européenne de peuplement qui tend vers le remplacement du peuple autochtone constitue un fantasme.

    [...] Cette obstination, cet aveuglement face aux nombreux signaux d’alarme ne peuvent que mener au désastre pour la France et au naufrage pour le pouvoir en place. La moindre étincelle provoquera l’explosion car plusieurs indicateurs sont au rouge, contrairement à ce que certains, installés dans une grande illusion, voudraient nous faire croire.

     

    Sur le plan économique, c’est l’oligarchie financière apatride qui règne et le pouvoir cherche à diviser profondément la nation pour atteindre ses objectifs peu compatibles, à terme, avec le bien commun c’est-à-dire le bien-être au profit du collectif, au profit du peuple qu’il devrait protéger. Et pour y parvenir, le pouvoir n’hésite pas à utiliser (l') invasion migratoire comme levier pour satisfaire les objectifs de la mondialisation dans son aspect le plus hideux : la création de l’homme nouveau, interchangeable, quitte à remplacer son propre peuple, guidé uniquement par des raisons économiques et financières au profit de l’oligarchie financière. [...]

     

    Sur le plan sociétal, c’est la destruction de la famille traditionnelle qui est engagée depuis plusieurs années et qui sera aggravée bientôt par la loi sur la PMA. Certains veulent institutionnaliser un environnement familial privé de repère paternel alors que la figure du père est essentielle dans la construction de la personnalité de tout enfant. L’avis de l’Académie de médecine est totalement ignoré, voire méprisé. C’est une première étape qui conduira inévitablement -pour des raisons évidentes d’égalité- à la GPA, véritable marchandisation du corps de la femme [...] Nous assistons là à une dérive dont personne ne mesure aujourd’hui les conséquences. Cette loi doit donc être combattue. Et dans le même temps, dans cette société en perdition, certains préconisent de ne plus faire d’enfants pour protéger la planète en danger et pour mieux accueillir les migrants ! [...]

     

    Sur le plan anthropologique ou ethnologique, il aura suffi de cinq décennies de laxisme, de pusillanimité, de manque de clairvoyance, de manque de courage, de déni de la réalité, enfin de collaboration contre les intérêts de la nation française de la part d’une bonne partie de nos dirigeants politiques et de nos élites pour faire de la France, à l’image de Notre-Dame de Paris, après cet incendie criminel, un pays défiguré et martyrisé (...) En prônant le droit à la différence et en décidant des mesures insensées et contraires à la cohésion nationale et sociale, ils ont provoqué une fracture et la sécession de ce qu’on appelle les territoires perdus de la République, des enclaves étrangères où l’islam règne, rendant le vivre-ensemble dorénavant inconcevable. [...]

     

    Sur le plan de l’éthique ou de la morale, le constat est effarant, sidérant, incompréhensible et choquant en particulier pour qui a servi l’État et la nation sous l’uniforme, et donc attaché au règlement et à l’image sacralisée du chef. Pour un militaire, ce dernier est, en effet, nommé et investi d’une mission, pour un temps limité, "pour le bien du service, l’exécution des règlements militaires, l’observation des lois et le succès des armes de la France", selon l’expression consacrée. [...] L’exemple de la fête de la Musique organisée à l’Élysée en 2018 et le voyage du président de la République dans les DOM-TOM donnent un aperçu du questionnement sur son manque de réserve et de retenue qui devrait être celui de sa haute fonction. [...]

     

    Sur le plan sécuritaire, la situation ne cesse de se dégrader depuis quelques mois avec à présent des agressions ou des attaques au couteau devenues quasi quotidiennes provoquant des morts et des blessés considérés comme des faits divers, avec des incendies d’origine douteuse, avec nos églises profanées, vandalisées (875 en un an !), voire incendiées (26 en un an !) dans un silence assourdissant de la part du gouvernement et des médias ! (...) En refusant de nommer l’ennemi, les responsables politiques commettent une lourde faute et mettent en danger la vie des citoyens. Le déni de réalité dont se rend coupable l’État est grave et criminel. Nos concitoyens doivent prendre conscience que nous sommes dorénavant face à une guerre sainte menée au nom de l’islam par les soldats d’Allah. Il faut donc s’y préparer, nous sommes prévenus. [...]

     

    Sur le plan institutionnel, la mise en place du quinquennat a conduit à ce que le président s’affranchisse de son rôle d’arbitre et du respect même de la Constitution alors qu’il en est le garant. C’est ainsi que pendant cinq ans le président peut se comporter en autocrate absolu en contradiction avec la Constitution de la Vème République qui le place en arbitre et non en chef de gouvernement et de la majorité parlementaire. La politique qui devrait être l’art de gérer la Cité en assurant la protection à l’extérieur et la concorde à l’intérieur a donc été habilement détournée de son objet par ceux-là mêmes qui en sont les acteurs et qui ont perverti la pratique de notre Constitution. Cette perversion due au quinquennat a finalement permis de gouverner sans le peuple.[...]

     

    L’obstination et l’aveuglement de nos dirigeants plus préoccupés par la satisfaction des revendications de minorités que par leur devoir d’œuvrer pour le bien commun et dans l’intérêt de l’Etat et de la nation -en refusant notamment de traiter le problème de l’immigration et de l’invasion migratoire extra-européenne de culture islamique qui est LE sujet- ne peuvent que mener au désastre. [...]

    Pour confirmer cette menace, il suffit de se référer à l’étude de l’Institut Montaigne, publiée en septembre 2016. Cette étude révèle la radicalisation et l’affirmation de la primauté de la loi coranique, la loi islamique, c’est à dire la charia, sur la loi de la République pour près de 30 % de musulmans dans notre pays. Et ces derniers considèrent leur "religion" comme un outil de rébellion contre la société française et l’Occident en général. Si on estime à 10 millions -chiffre tout à fait réaliste- le nombre de musulmans présents dans notre pays, cela représente 3 millions de musulmans radicalisés qui ont décidé de combattre nos lois, nos valeurs, nos principes de vie, et qui peuvent basculer rapidement dans la violence.

    Je terminerai en citant Jean Raspail : "Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée ailleurs".  Alors, sonnons la trompette et sautons sur notre cheval pour porter secours à la France !

     

    Respects, mon général.

     

    Général (2s) Antoine MARTINEZ

    président des Volontaires Pour la France

    Rencontres de Bretagne 26 et 27 octobre 2019

     

     

     

     

     


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    Petit florilège de citations énonçant l'inexorabilité de :

    "La destruction totale de la race et de la culture européennes"

     

    "De mon vivant, je serai témoin de la destruction totale de la race et de la culture européennes. Cette guerre contre les Européens a été menée par des membres de gauche de la race européenne elle-même. Partout dans le monde occidental, les Européens se dirigent vers le statut de minorité raciale. Cette éradication d’une race est appelée "diversité" et nous nous attendons à célébrer notre extinction. C’est complètement contre nature et sans précédent, et pourtant c’est moi et des personnes comme moi qui doivent justifier notre existence continue même si nous sommes attaqués sans pitié pour cela. La gauche libérale n'a jamais à justifier pourquoi la destruction planifiée d'une race entière est considérée comme une bonne chose et elle n'est jamais accusée de racisme. N'est-ce pas étonnant? Aucune autre race n'a jamais été moralement condamnée pour vouloir rester le peuple ou la culture majoritaire dans leurs villes ou leurs pays anciens. La guerre de la gauche libérale contre les Européens constitue le plus grand crime racial commis dans l'histoire de l'humanité." (Paul Weston, politicien "d’extrême-droite" anglais. - Mercredi 3 août 2016)

    "Nous devons être ouverts et tolérants envers l'Islam et les musulmans, parce que lorsque nous deviendrons une minorité, ils le seront envers nous." (Jens Orback, Ministre de la Démocratie, des Affaires Intérieures, de l'Intégration et de l'Égalité entre les sexes, issu du Parti Social-Démocrate, lors d'un débat à la radio Suédoise en 2004.)

    "Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d'Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l'inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul" (le "saint Coran" - Sourate 60, verset 4 - "Al-Mumtahanah")

    Testament européen

    "Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées sont nos casernes et les croyants nos soldats" (Recep Tayyip Erdogan, président de la république de Turquie, Prix du Courage pour la promotion de la paix entre les cultures du Congrès juif américain, Prix Kadhafi des droits de l'homme, Prix de la personnalité islamique de l'année 2011, Prix palestinien d'excellence,... reprenant les propos du théoricien du nationalisme turc Zia Gokalp (1876-1924).

     

    "...C’est l’État français qui, par sa politique, ses lois, ses tribunaux, a organisé le "grand remplacement" des populations, nous imposant la préférence immigrée et islamique avec 8 millions d’Arabo-musulmans (en attendant les autres) porteurs d’une autre histoire, d’une autre civilisation et d’un autre avenir (la charia). [...] "En France, de par sa tradition universaliste et centraliste, l’Etat fut depuis plusieurs siècles l’ennemi de la nation charnelle et de ses communautés constitutives. L’État a toujours été l’acteur acharné du déracinement des Français et de leur transformation en "Hexagonaux" interchangeables. [...] La réalité, c’est qu’en France l’État n’est pas le défenseur de la nation. C’est une machine de pouvoir qui a sa logique propre, passant volontiers au service des ennemis de la nation et devenant l’un des principaux agents de déconstruction identitaire. (Dominique Venner - "Lettre sur l’identité à mes amis souverainistes" - 26 juin 2012.) 

    "Nous, les musulmans, ne sommes pas dans un projet d'assimilation. La France doit s'habituer au fait que nous restons. je suis triste pour le Rassemblement national et les fachos, car s’ils ne nous aiment pas, ils ne se rendent pas compte de ce qu’on a préparé, c’est-à-dire nos enfants". (Yassine Belattar, ancien conseiller personnel chargé du Conseil des Villes (quartiers et banlieues) du président -son "frère"- Emmanuel Macron, inculpé pour outrages sur personne dépositaire de l'ordre public, pour harcèlement, comportements humiliants et pour menace de mort... le 27 octobre 2019, au cours d'un "rassemblement contre l'islamophobie".)

     

    "La laïcité c’est la mort. La laïcité est la forme religieuse de l’égalité. La laïcité met à égalité, en France, le christianisme, qui a façonné la nation, et l’islamisme, qui est en train de la détruire. Une telle égalité implique qu’il n’y a plus de France —juste un hexagone." (Renaud Camus, "théoricien" du "Grand remplacement" - Tweeter, le 1er novembre 2019)

     

    Testament

     

      

     

     

    Lisons heureux, en attendant la Mort : Courage ! Manuel de guérilla culturelle (François Bousquet)

    Il y a des mots qui sonnent comme des charges de cavalerie ou des symphonies héroïques. "Courage" en fait partie. François Bousquet l'a tiré des vieux volumes d'histoire pour lui redonner chair et le faire claquer comme un étendard. Sabre au clair, il signe, avec ce Manuel de guérilla culturelle, un manifeste fondateur à l'usage des jeunes générations -et des moins jeunes. Un bréviaire pour les cœurs rebelles qui ouvre des perspectives concrètes pour notre temps, sous réserve de renouer avec l'éthique européenne de nos pères : du courage en chaque chose. Sans lui, pas d'avenir. Sans lui, notre sort est scellé d'avance. Sans lui, notre épitaphe est connue de toute éternité : "Mort de trouille, quelque part entre le XXe et le XXIe siècle". François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments et directeur de la Nouvelle Librairie, est notamment l'auteur de La Droite Buissonnière

     


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  • Laurent SAILLY est est politologue, juriste et historien; il est membre fondateur de "La France Libre TV", membre de l'Association française de Science Politique, du Centre d'Histoire de Sciences Po, de l'Institut Méditerranéen de Défense et de Sécurité, de l'Association Française de Droit Constitutionnel, de l'Association Française de Soutien à l'Armée française; il participe à de nombreux sites et blogs dont "Agoravox", "Boulevard Voltaire", "Contrepoints", "La Gauche m'a tuer" et "Méchant réac". 

    Il a dressé le "portrait-robot du prochain dictateur de la France".

     

    "ELLE"

    Peu à peu, les libertés reculent. La presse se voit convoquer par la DGSI afin d’y dévoiler ses sources. Le politiquement correct règne dans la plupart des média audio-visuel et particulièrement à France-Télévision et Radio-France. Le législateur multiplie les lois restrictive à la liberté d’expression. La liberté de circulation est limitée par la simple volonté d’agitateurs minoritaire ou parce que votre voiture est trop vieille. La culpabilisation règne en maître afin de clouer au pilori les contradicteurs de la bien-pensance : "vous mangez trop gras, trop salé, trop sucré, pas assez bio" ; "vous consommez trop de viande" ; "fumer tue" ; "vous avalez trop de médicaments" ; "vous devez boire avec modération" ; "vous ne bougez pas assez" ; "vous triez mal vos déchets" ; "vous polluez votre planète" ; etc. Je vous laisse compléter la liste. La liberté de penser ou d’opinion est également attaqué. Plutôt que de contre-argumenter, on interdit : "le racisme n’est pas une opinion" ; "vous ne devez pas avoir de pensées homophobes, sexistes, islamophobes…". Soyez ainsi et vous serez heureux ! Vivez oisif et l’Etat s’occupera de tout !
    Cette société apocalyptique est en marche (sans allusion aucune). Le prochain dictateur de la France n’est pas issu des rangs du mouvement présidentiel. Ce n’est pas Emmanuel Macron. Alors qui sera-t-il ? ou plutôt qu’elle sera-t-elle ?


    UNE FÉMINISTE
    "Elle", en effet ! Car il s’agira d’une femme. Oui, une femme ou plus exactement une féministe dont la haine des hommes (mâles = porcs) l’amène à faire de ceux-ci des "êtres" de seconde zone. Après les épisodes de lynchage médiatique des hashtags "Balance Ton Porc" ou de "Me Too" plus question d’égalité homme-femme (je veux dire Femme-homme…). Le mâle blanc est relégué à l’arrière-plan. Car dans un premier temps, seul le mâle blanc est considéré comme néfaste. Pourquoi ?


    UNE ISLAMO-GAUCHISTE
    Parce qu’"Elle", dans un premier temps, n’a pas fait le deuil de ses théories gauchisantes multiculturalistes (exception faite de la culture occidentale et judéo-chrétienne). Ainsi, "Elle" est attachée à l’application de la loi coranique et tolère même les comportements sexuels déviants (agressions sexuelles, viols) des hommes de confession musulmane au motif des écarts de civilisation entre l’Europe et l’Islam. Puis, après une période plus ou moins longue de "rééducation", le "bon musulman" rentrera dans les rangs de cette société féminisée.


    UNE ÉGALITARISME-COLLECTIVISTE
    Pas question de différence de revenus entre femmes. Aussi, "Elle" impose le bon vieux collectivisme stalinien. Un seul mot d’ordre pour une seule tête : "toutes pauvres mais toutes égalitaires". C’est la fin du capitalisme, maux de toutes les discordes. "Elle" interdira même qu’il y soit fait référence même pour le diffamer.


    UNE PROPHÈTE DE L'ÉCOLOGISME
    L’écologisme, c’est la version extrémiste de l’écologie. A force de restriction, tous les véhicules à moteur finissent par être interdit. Les usines nucléaires sont fermées, ainsi que les usines hydrauliques et les éoliennes à cause de leur consommation d’huile et de béton. "Elle" interdit toute production d’électricité.


    UNE VEGANE
    "Elle" interdit de consommer de la viande ou des produits d’origine animale. Même pour se nourrir ! "Les animaux sont des êtres humains comme les autres" pour reprendre une phrase mémorable d’une célèbre actrice françaises. Les droits de l’Homme ont été supplantés par les droits et libertés fondamentaux de tous les animaux. Rapidement, la question des droits des animaux entre eux se pose et, en premier lieu, le droit des carnivores à dévorer leurs proies.


    UNE ÉCOLOGISTE-MALTHUSIENNE
    Les enfants étant des facteurs de production de gaz carbonique, "Elle" instaure une politique draconienne de droit à l’enfant : un enfant par couple. Peu à peu, pour "sauver la planète" les plus fidèles de "Elle" (et les plus extrêmes) se feront stériliser. 


    "THE LAST GENERATION"
    L’économie s’effondre. La production industrielle disparaît ainsi que la production agricole. Les administrés de "Elle" deviennent de simples cueilleurs. Les scènes de cannibalisme se multiplient. La famine, le manque d’eau potable, les maladies ne laissent que 10% des plus jeunes et des plus vaillants des contemporains de "Elle" en vie.
    La politique "anti-enfant" et la hausse de la mortalité infantile n’ont pas permis le renouvellement de la génération. 
    "Elle" disparaît, touchée par la maladie, avec SA dernière génération !

     

     

     

     

     


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  • Un article trouvé sur le blog "A moy que chault !", concernant, au-delà des menaces sur la liberté d'expression sur internet et ailleurs, ce que l'auteur appelle à juste titre: "la grande machine à décérébrer et à émasculer", représentant un danger plus grave et plus insidieux...

     

    La fin de la récré...

     

    La liberté d’expression dans l’espace public est en voie d’éradication. Ce n’est pas un nouveau fantasme complotiste mais un simple et froid constat que tout un chacun peut faire en se penchant notamment sur la loi dite "contre la haine en ligne" actuellement en cours de vote au Parlement … Entre autres sympathiques facéties, celle-ci transfère à des opérateurs privés des pouvoirs qui jusque-là étaient octroyés aux juges…  Nous entrons donc aujourd’hui dans l’ère du contrôle à priori, de la censure "de précaution", et de la soumission automatique et désormais "légitime" à toutes les délations et les dénonciations "citoyennes"… "L’incitation à la haine" étant un concept si vaste, si fumeux, si subjectif, si imparfaitement défini, il apparaît d’évidence  qu’à peu près tout et n’importe quoi pourra être soumis à cette infamante définition. C’est bien d’ailleurs en ce sens que la loi a été pensée et écrite.

    Cette disparition programmée d’une liberté pourrait être terrible et tragique… Ce n’est finalement qu’anecdotique. Car en effet à quoi bon légiférer contre la liberté d’expression dans une société où plus personne n’a rien à exprimer, où plus personne bientôt n’aura même les moyens intellectuels de former et  de formuler une idée ?

    Le vrai drame n’est en effet pas le nouvel épisode de la grande saga des lois liberticides, qui, si scélérates soient-elle, ont toujours produit leurs propres contestations, oppositions et remises en cause…  Non, la véritable –et sans doute définitive– défaite, c’est la disparition généralisée, générationnelle, de l’intelligence, de la culture et du sens critique… Ce ne sont ni les députés vendus ni les juges larbins qui assassinent de façon rédhibitoire la pensée dissidente et la liberté d’expression, c’est bel et bien l’Education nationale. Priver les gens de leurs capacités de réflexion et de d’expression est un moyen d’asservissement beaucoup plus efficace, d’un point de vue radical et totalitaire, que chercher à sanctionner ou réprimer la dite pensée.

    Nos politiciens, leurs cornacs oligarchiques comme leurs domestiques magistrats, ne sont en fait que des gens trop pressés. Ils pondent encore des lois pour accélérer l’avènement d’une situation qu’encore deux générations de "citoyens" obligatoirement  lobotomisés de 3 à 20 ans leur apporteront inéluctablement… L’observation du bac 2019 est à ce sujet particulièrement révélatrice… Le niveau n’est même plus affligeant, il est d’une certaine façon sublime de nullité… Et quoi de plus facile que de régner sur une population de crétins de cet acabit ?Aux trois quarts illettrés, incapables de placer Napoléon et Charlemagne dans le temps, déstructurés, accrocs à Insta et aux écrans, n’aspirant qu’à une réussite purement matérielle, s’amusant de leur propre sottise, curieux de rien, veules et drogués…  Encore mieux que des esclaves puisque nos néo-bacheliers sont pour leur part satisfaits et volontaires…  Aucun mépris d’ailleurs  dans ce constat car ce ne sont bien sûr que des victimes d’un plan organisé mis en place depuis des décennies, et dont  tous les adultes ou parents que nous sommes sont partiellement complices…  

    La grande machine à décérébrer et à émasculer intellectuellement qu’est l’Education Nationale depuis 40 ans est en tout cas aujourd’hui en phase de pouvoir se prévaloir d’avoir atteint l’objectif pour lequel des milliards lui ont été versés : créer une nouvelle race "d’hommes", la grande armée des zombies consuméristes, gigantesque dégueulis d’abrutis vulgaires et hautains, aussi prétentieux que geignards et pleurnichards, ayant le caractère au même niveau que leur bagage intellectuel, bloqué au début de la petite enfance, pour ne pas dire au stade anal.

    Avec eux, plus besoin de lois, de juges, de condamnations, de mitards et de matons… Leur vide est leur plus  efficace geôlier et ils ne pourront jamais être tentés par une quelconque pensée divergente puisque –faute d’instruments, de connaissances, de vocabulaire, de lectures, d’entraînement…-  le concept même de penser leur sera devenu inaccessible. Au mieux (au pire) - en cas d’échec social ou de cassure psychologique- ils aboieront des slogans simplistes et caricaturaux, glapiront une "haine" pour le coup bien réelle, seul sentiment désormais à leur portée, sombreront dans une violence nihiliste et seront alors le repoussoir idéal tout autant que le matériau parfait de toutes les manipulations…

     

     

     


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