•  "vain cul"

    Emmanuel VULCAIN - "P.R.F." - 2017/****

     

    Il est le dieu du feu, de la forge et des métaux. Il a été l'époux de la déesse Maia, considérée comme une déesse de la Croissance, il est maintenant l'époux de Vénus. On lui prête de nombreux enfants, presque tous bâtards. Il incarne non seulement le feu bienfaisant, source des industries humaines, mais aussi le feu destructeur dont il peut précipiter ou suspendre le cours : sous le surnom de mitis, (le doux), ou quietus, (le tranquille), il est celui qui peut éteindre les incendies. Il est très très laid, car, à la suite d’une dispute, Héra le projeta sur Terre, l’estropiant à jamais. Il est le fils de Zeus (c.à.d de Jupiter - ndla). Il y a trois outils qui lui sont associés : le marteau, l’enclume, et la masse. L’animal qui lui est relié, c’est l’âne. Il y a aussi la béquille et le bouton d’or qui lui sont adjoints. Sa propre forge se trouve dans les îles Lipari, une des îles Éoliennes" (source 1 - source 2)

     

    La participation et le concours des "Centaures" alors disponibles ne sera ni négligeable, ni superflue (source 3) :

    "vain cul"

    Le Centaure "permettra aux forces de l'ordre de conduire des opérations de rétablissement de l'ordre dans des environnements dégradés", mais pas que : le choix du Centaure a également été arrêté pour faire face à une large variété de situation, allant du terrorisme aux scènes de guérilla urbaine, en passant par des catastrophes et des périples meurtriers et ce, dans différentes zones de manœuvres, comme dans les milieux urbains, ruraux, en métropole ainsi qu'en outre-mer...(source 4)

    Il sera de conception française, puisqu’ils sera monté et assemblé en Alsace. - la caisse est également fabriquée à partir de tôles blindées produites en France.

     

     


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    Long entretien de Louis Ferdinand CELINE à son domicile de Meudon. L'écrivain parle de ses parents, de son enfance et de ses études, il présente son bureau et répond aux questions de Louis PAUWELS : la joie, Dieu, les autres, l'avenir, les écrivains, la mort... L'interview programmée le 19 juin 1959 dans "En Français dans le texte" fut interdite de diffusion en raison de la virulence des propos et des options politiques passées de Céline

     

    Louis-Ferdinand CÉLINE - interview avec Louis PAUWELS

    Entretien de Louis Ferdinand CELINE à son domicile de Meudon, dans son bureau qui était aussi son cabinet de consultations. En réponse à Louis Pauwels qui lui demande de se définir d'un mot, Céline déclare sans ambages : "C'est que je travaille et que les autres foutent rien". Il dénigre la publicité, "horreur du monde moderne". Il répond ensuite à des questions sur sa naissance (à Courbevoie), son enfance, ses parents, ("père licencié es lettres, homme lettré"), sa jeunesse passage Choiseul (éclairé au gaz) ("...J'ai été élevé dans les gifles, c'était comme ça à cette époque là", sa mère qui travaillait dans la dentelle ("...On bouffait des nouilles parce qu'elles n'ont pas d'odeur et la dentelle n'aime pas les odeurs"), ses études (son école square Louvois) et sa vocation de médecin. Il fait brièvement allusion au décès de sa grand-mère. Jeune, il trouvait ridicule d'être écrivain, ses bachots, passés avant son engagement volontaire lors de la première guerre (en 1912, dans le 12ème régiment de cuirassiers), ses divers métiers. Il parle de cet engagement (par lyrisme et par admiration des cuirassiers de Reichshoffen). Il répond non sans ironie, et en maniant le paradoxe aux autres questions de Louis PAUWELS (pourquoi il a été médecin, ce qu'il pense des hommes), seuls les écrivains qui ont un style l'intéressent, ("c'est rare un style...") Il a cessé d'être écrivain pour être un chroniqueur ("...J'ai mis ma peau sur la table"). Il se définit comme un travailleur. Il n'a pas eu beaucoup de joies dans sa vie ("...Je ne suis pas un être de joie", "...Je serai content quand je mourrai"). Il ne croit pas en Dieu (tout en étant se prétendant mystique), donne son opinion sur l'amour. Pauwels lui rappelle qu'il fait figure de prophète d'Apocalypse. Céline estime que l'homme a un profond attrait pour la mort, ce qui explique les guerres. Sa dernière pensée avant de mourir serait "Au revoir et merci"... 

     

     

    en complément,

    ...dans "Slate" : 

    Cette étrange et malsaine

    fascination de la France

    pour Céline

     

    ...dans "Eléments" :

    2022, année Louis-Ferdinand Céline

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    sondage anonyme et facultatif : 


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    • Trouvé ça sur internet, à propos du 14 juillet...
    • "Journée internationale des peuples non binaires" !
    • Je ne savais même pas que ça existait !
    • C'est aussi la fête des "Camille", le pseudo épicène préféré des zadistes mâles et fumelles ou autres.

    ...du coup, je vais regarder monsieur le Président et madame la Première Dame avec quelque peu de circonspection lors du Défilé mirlitaire.

    Et Jwayé Annivè'sè à tous les "Fêtnat".

     

     

    Journée internationale des peuples non binaires

    International Non-Binary People's Day 

    « La Journée internationale de la non-binarité est observée chaque année le 14 Juillet et vise à sensibiliser à la non-binarité et à s'organiser autour des problèmes rencontrés par les personnes non-binaires dans le monde. Cette journée a été célébrée pour la première fois en 2012. La date a été choisie pour être précisément entre la Journée internationale des hommes et la Journée internationale de la femme .

    « La plupart des pays du monde ne reconnaissent pas la non-binarité comme genre légal, ce qui signifie que la plupart des personnes non-binaires ont toujours un passeport genré et une pièce d'identité officielle. L'Australie, le Bangladesh, le Canada, le Danemark, l' Allemagne, les Pays-Bas et la Nouvelle-Zélande incluent des options de genre non binaires sur les passeports et 23 États américains ainsi que Washington DC autorisent les résidents à marquer leur sexe comme "X" sur leur permis de conduire.

    « La Semaine de sensibilisation non-binaire est la semaine commençant le dimanche ou le lundi précédant la Journée internationale des peuples non binaires, le 14 juillet. Il s'agit d'une période de sensibilisation LGBTQ+ dédiée à ceux qui ne s'inscrivent pas dans le binaire traditionnel du genre, c'est-à-dire ceux qui ne s'identifient pas exclusivement en tant qu'homme ou femme, ou qui peuvent s'identifier à la fois comme homme et femme, ou peuvent tomber en dehors de ces catégories dans leur ensemble. »

     

    (source)

    14 juillet

     

     


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    FRANCE, 2050 (ou avant ?...)

    Il y a bientôt vingt ans, Jean RASPAIL publiait une tribune dans Le Figaro intitulée "La patrie trahie par la République", dans laquelle il critiquait la politique d’immigration menée par la France. Avec le journal, il a été alors attaqué en justice par la LICRA pour "provocation à la haine raciale". Il a été relaxé.

     

    « J'ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d'un colis piégé. Difficile de l'aborder de front sans qu'il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C'est pourtant l'interrogation capitale. J'ai hésité. D'autant plus qu'en 1973, en publiant "Le Camp des saints", j'ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n'ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

    « Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu'"ils sont chez eux chez moi" (Mitterrand), au sein d'une "Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes" (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu'au basculement définitif des années 2050 qui verra les "Français de souche" se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d'Africains, Maghrébins ou Noirs et d'Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l'islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

    « La France n'est pas seule concernée. Toute l'Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l'ONU (qui s'en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment, mais ils sont systématiquement occultés et l'INED pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l'Europe des Quinze est l'un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l'incurie des gouvernances et qu'il lui faudra affronter dans son âge d'homme...

    « Sans compter que les "Français de souche", matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l'homme, de "l'accueil à l'autre", du "partage" cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites "antiracistes", conditionnés dès la petite enfance au "métissage" culturel et comportemental, aux impératifs de la "France plurielle" et à toutes les dérives de l'antique charité chrétienne, n'auront plus d'autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule "citoyen" du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu'on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s'obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu'elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

    « Face aux différentes "communautés" qu'on voit se former dès aujourd'hui sur les ruines de l'intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c'est nous qu'on intègre à "l'autre", à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s'agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d'une communauté de la pérennité française. Celle-ci s'appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

    « Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l'autre. Quelque chose comme l'élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

    « Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l'ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d'une espèce à jamais disparue qui s'appelait l'espèce française et n'annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

    « Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu'en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c'est que les derniers isolats résistent jusqu'à s'engager dans une sorte de "reconquista" sans doute différente de l'espagnole mais s'inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n'est pas moi qui m'en chargerai, j'ai déjà donné. Son auteur n'est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j'en suis sûr...

    « Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c'est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d'hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n'ose dire cyniquement, à l'immolation d'une certaine France (évitons le qualificatif d'éternelle qui révulse les belles consciences) sur l'autel de l'humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l'Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces "intelligents" qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l'organisme encore sain de la nation française.

    « Même si je peux, à la limite, les créditer d'une part de sincérité, il m'arrive d'avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République. Les "valeurs républicaines" se déclinent à l'infini, on le sait jusqu'à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d'abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n'est qu'une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d'idéologie, idéologie avec un grand "I", l'idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu'ils trahissent la première pour la seconde.

    « Parmi le flot de références que j'accumule en épais dossiers à l'appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l'étendue des dégâts. Elle est extraite d'un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : "Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d'une jeune Française issue de l'immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République..."

    « Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : "Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d'êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie." (Président Boumediene, mars 1974.)

    « Et celle-là, tirée du XXe chant de l'Apocalypse : "Le temps des mille ans s'achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée." »

    Jean RASPAIL- Le Figaro du jeudi 17 juin 2004

     

    Six ans plus tard, Renaud CAMUS pour qui Jean RASPAIL était une sorte de "prophète", décrivait et détaillait ce qu'il appela le "Grand Remplacement", remplacement progressif d'un peuple par un autre peuple, tant des points de vue ethnique et historique que culturel et religieux.

     

     

    NB. J'avais, à une ou deux reprises, cité quelques passages les plus significatifs de cette tribune. J'ai pensé le publier en intégralité au regard des faits-divers inspirés par les "chances pour la France" et de la répétition de nombreux et fréquents "sentiments d'insécurité" populaires... Ça ne sert à rien, mais bon...

     

     

     

     


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    Pour de bonnes fêtes en famille...

    (image cliquable https://www.radiofrance.fr/franceinter)

    Grâce à l’extrême bienveillance et la généreuse indulgence des autorités françaises, une bonne quinzaine de terroristes mahométanes, militairement entraînées et aguerries dans divers affrontements au Proche-Orient, accompagnées de trois petites douzaines de leurs charmants bambins (mineurs non isolés ?) néanmoins jeunes apprentis djihadistes, ont pu quitter au début de la semaine les sordides camps d'internement où ils étaient détenus en Syrie et ailleurs, et revenir auprès de leurs proches sur le sol qui fut leur national

    Nul doute que, en compagnie de leurs parents et amis ainsi retrouvés, nos compatriotes présumés repentis et repentants auront à cœur de fêter comme il se doit la grande fête de l’Aïd el-Kébir - la "principale fête des musulmans" - qui débute ce vendredi 8 juillet dans l'hexagone.

    Pour de bonnes fêtes en famille...

    J'ose croire que les autorités françaises auront contrôlé la validité leur passe-vaccinal et leur auront signifié, gentiment mais fermement, que le port de la burqa n'était pas encore autorisé dans tous les lieux publics dans la plupart des territoires.

    Pour de bonnes fêtes en famille...

     

     

     

     


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  • GA BU ZO MEU ?...

    « Le glorieux peuple shadok est une fois de plus touché dans son sein par une maladie fourbe et tenace, identifiée et dénommée: "liberté d’expression"... Le professeur Shadoko arrivera t-il a trouver un vaccin à cette terrible maladie et de ce fait sauver la planète toute entière ? »

    Toute ressemblance avec des événements, des situations ou des personnages existant ou ayant existé serait étonnante, non ?...

     

     

     


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