J'irais plus loin: abandon de TOUS les privilèges. Remise à plat de tous les avantages, passe-droits, â-côtés, rémunérations annexes etc dans le secteur public comme dans le secteur privé. Je n'en fais pas la liste, elle serait trop longue mais chacun a des exemples à citer.

Je rappellerai cette phrase dont j'ignore l'auteur: "Une révolution menace quand il n'y a plus assez de privilèges pour tout le monde".

• • bedeau

    Vendredi 15 Février 2019 à 18:01
    

    Moi aussi, forcément... et pour moi, ça va du guichetier SNCF en retraite à 55 ans pour cause de pénibilité (avec train gratuit à vie pour lui et sa famille -j'en ai connu un) jusqu'aux anciens chefs ou sous-chefs d'état et de gouvernement qui mènent un train de vie royal offert par la république jusqu'à ce que la mort nous en sépare (je n'en ai pas connu personnellement), en passant par les compagnons de Présidents de certaines Républiques un peu Bananières qui se croient dans les romans de de Villiers (Gérard et ses "S.A.S.", pas Philippe...) ; tout le monde est d’accord là-dessus... sauf les guichetiers SNCF, les anciens chef d'état ou de gouvernement, et les ex-compagnons de présidents... "bien entendu" ! (  )

    Mais mes trois petites propositions sont contre des petits riens qui me taquinent. Je préfère confier l'entretien de ma propriété, de mes voitures et de ma santé, à des paysagistes et architectes-décorateurs chevronné(e)s, à un(e) garagiste consciencieux(euse) ou à des médecins expérimentés(ées) qu'à un·e transgenre africain·e et musulman·e, végétarien·ne, et de surcroît mal·e(?)-voyant·e et unijambiste, simplement par souci d'intégration, ou de citoyenitude politiquement correcte ...