"ne serait pas nécessairement tout à fait fortuite"... et devrait même tout à une incroyable fatalité (doit y avoir un placard de ce genre au début de *L'oeil du monocle*).

"Berné une fois, je suis trop confiant ; berné deux fois, je suis trop... la première syllabe." (version gentille : être tombé dans le panneau une première fois n'est pas la preuve d'un cerveau bien doué pour l'analyse des risques et menaces). Quant aux ceusses qui croient au troisième tour...

"You can't con an honest man", vieux proverbe souvent rappelé par le Nate de *Leverage*. C'est bien optimiste.

En définitive, c'est en latin que se manifeste la vérité : "[immundus] mundus vult decipi, ergo decipiatur".

• • Souris donc

    Samedi 23 Avril 2022 à 12:05

    "Berné une fois, je suis trop confiant ; berné deux fois, je suis trop... la première syllabe."

    Devenu proverbial, le "cass'toi, pov' con" de notre Sarko préféré. Même Wiki en a fait une page.

  • bedeau

    Samedi 23 Avril 2022 à 15:16
    

    @ En passant...!

     

    Parallèlement et en-même-temps, j'ai ouï dire d'une pratique sexuelle habituellement jugée contre nature et réservée originellement (mais pas exclusivement ?) aux « G » d'une fameuse mais désormais incomplète tétralogie qui, à ce qu'on en dit, serait à la fois agréable et un peu douloureuse la première fois (après une mise en condition ad-hoc, toujours ouï dire), mais apporterait un plaisir inégalé et toujours renouvelé les fois suivantes...

     

    Bon, les coups et les douleurs, si y'en a qu'ont essayé et qu'ont pas eu de problème, comme disait Audiard... ceci ne nous regarde pas !

     

    Mais faudrait quand-même pas trop que les amateurs et ·teuses veulent à tout prix nous faire partager leur joie de vivre...

     

  • bedeau

    Samedi 23 Avril 2022 à 15:17
    

    @ Souris donc...?

     

    J'ignorais qu'un wikipédiste avait doté quelque lointain data center d'un sujet aussi mémorable ... !

     

    A noter que l'auteur de cette apostrophe a eu la noblesse de laisser sa place à un successeur plus subtil qui parlerait paraboliquement des "sans dent".

    Lui même s'est déclaré forfait, une cinquaine d'années plus tard, pour laisser place à un virtuose du genre, immortalisé par ses "des gens qui sont rien rencontrés derrière la gare", "ceux qui ne veulent même pas traverser la rue pour trouver un job", sans compter la litanie des "illettrés", "fainéants",  "alcooliques",  "tabagiques",  "dieselistes",  "cyniques",  "extrêmes",  "réfractaires", et autres "non citoyens irresponsables" à aimer "les  emmerder (mais *affectueusement*)" et autres "connards qu'on aura si on tient bon, Olivier..." (désolé pour les omissions)

     

    Mais bon, son vocabulaire est très fleuri, c'est vrai, mais il pourrait passer la main, à un Bayrou ou un Denormandie, par exemple, autant c'est vrai qu'un Zemmour n'aurait pas été à la hauteur de cette mission...