• votre commentaire
  •  

    "Libres penseurs" VS liberté de penser

    "A Arbin en Savoie, un Christ en inox de 9 mètres a fait son apparition au milieu des vignes. Arrivée par la voie des airs, la statue, conçue par l'artiste Livio Benedetti, alimente les conversations. Certains y voient une œuvre d'art, d'autres dénoncent un signe religieux ostentatoire."

    Mais au fait, qu'en pensent les habitants ? Comme souvent dans ce genre de dossier, les avis sont très partagés. "C'est le Christ roi, il est absolument superbe ... Il est magnifique, il va protéger Arbin et toute la région" estiment certains. Pour d'autres en revanche, il s'agit avant tout d'un signe religieux ostentatoire : "ça détonne, moi je ne suis pas fan, c'est complètement dépassé selon moi à cet endroit-là".

     

    (vu dans la presse)

     

    Mais jusqu'où vont-ils nous faire chier...

    Après avoir dénoncé le "scandale" -à leurs yeux- que représente la mise en place d'une crèche au moment de Noël... après avoir entretenu un silence assourdissant à propos des dégradations ou des profanations de lieux de culte chrétien (récemment, destructions de statues à l’Église de Rennes-le-Château, vols récents à l'Eglise Ste Croix à Nantes, la polémique à propos d'une statue de la Vierge en Haute-Savoie, etc... -voir le site CHRISTIANOPHOBIE.FR  ), ils continuent leurs polémiques stériles au nom d'une laïcité partagée qu'ils confondent avec un athéisme contraint et forcé (enfin, juste pour les chrétiens de France... les autres religions bénéficiant d'une bienveillance obséquieuse au nom d'une tolérance obligatoire...).

    C'est, toute proportions gardées, ce que fait "DAECH" (comme ils disent) au Moyen-Orient, où sont aussi persécutés, voire exécutés, les membres du Clergé et les fidèles, dans une indifférence quasi générale

    Qu'attendent-ils pour faire détruire la statue du Christ Rédempteur, à Rio de Janeiro, tant qu'ils y sont... Allez, hop...

    On en vient presque à souhaiter une victoire d'un "islamisme conquérant" -ce qui n'a rien à voir avec l' islam d'Amour, de Paix et de Tolérance, tout le monde sait ça...!- pour voir si ces idiots (in)utiles continueront leur mécréance et leurs blasphèmes. (... enfin "presque", hein... et surtout, le plus tard possible...

     


    votre commentaire
  • Zirkulez, y'a rien à foir...

    Un maire prive les électeurs de sa commune

    des fêtes du 14 juillet!

     

    Avant – mais c’était avant les présidentielles -, les maires annulaient le 14 Juillet suite à des alertes météorologiques : trop de pluie, trop de vent ou trop de sécheresse. Parfois, c’était l’état des finances de la commune qui obligeait la municipalité à supprimer les festivités. Aujourd’hui, un nouveau motif vient d’être inventé : le vote Marine Le Pen.

    Ils ne manquent pas d’imagination, ces maires anti-FN, après les insultes et la délation, nous en sommes à la suppression des flonflons.

    Messieurs les Berrichons de Sury-près-Léré, vous êtes punis, vous n’aurez pas de fête nationale ni de bal ni de repas. C’est ce que nous apprend Le Berry républicain.

    Pascal Viguié, le maire de ce charmant village, n’a pas goûté le vote "mariniste" dans sa commune : « Je suis touché au plus profond de moi-même. »

    C’est par cette phrase que l’édile a commencé son discours, jeudi 11 mai, lors d’une réunion du conseil municipal. Déjà, au premier tour, comme dans de nombreuses autres communes du Cher, la candidate était arrivée en tête avec 51,9 %, largement devant Emmanuel Macron (18,3 % de voix). Un choix confirmé le soir du second tour, où Marine Le Pen a, une nouvelle fois, décroché 51,9 % des voix devant Emmanuel Macron (48,1 %). Impossible de laisser une telle offense faite à la République, pense notre bourgmestre. Aussi décide-t-il de ne pas participer, cette année, au banquet républicain du 14 Juillet qu’il avait lui-même institué.

     

    Une décision suivie par le conseil municipal qui, jeudi soir, a décrété à la majorité (moins une abstention) d’annuler le repas et les animations offerts par la commune.

     Pour s’en expliquer il eut des mots que n’aurait pas reniés Fouquier-Tinville : « Le 14 Juillet est, et sera toujours, symbole de notre belle République, et a donné naissance à notre devise nationale : Liberté, Égalité, Fraternité ». […] « En votant majoritairement pour un parti d’extrême droite, parti anti-liberté, anti-égalité et anti-fraternité, la majorité des Suryçois m’ont montré tout l’inverse. Notre devise nationale est devenue désormais le dernier de leurs soucis. Le 14 Juillet, pour moi, doit être l’occasion avant tout de fêter notre République et non simplement de manger, de danser et de s’amuser gratuitement. »

    Voilà un bon début, j’imagine la suite ? Afficher la liste des mauvais citoyens sur le fronton de la mairie, badigeonner le devant des maisons des lettres FN, trouver une zone dégagée pour un nouveau type de camping, « le Goulag surycois », et, enfin, utiliser l’argent du 14 Juillet pour construire, avec l’aide de SOS Racisme et de la LICRA, un hôpital psychiatrique avec, pour praticiens, les maires désirant rééduquer leurs administrés ?

     

    Le plus grave est que cet ex-agent EDF ne soit pas au courant qu’il est tenu de respecter et de faire respecter les droits fondamentaux : la liberté d’expression, la liberté de la presse, la liberté de réunion. Or, nous sommes face à une discrimination sur le fondement de leurs opinions politiques punissable par la loi (article 225-1 modifié par loi n° 2016-1547 du 18 novembre 2016 – art. 86). Pour une telle infraction, un maire risque cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende.

     

    source : délit d'images       


    votre commentaire
  • La rébellion cachée

    Daniel Rabourdin, producteur et réalisateur français, expatrié à Los Angeles depuis 30 ans, revient au pays avec dans ses valises un film intitulé La Rébellion cachée. Il s’agit d’un docufiction qui évoque la guerre de Vendée (1793-1796) en mêlant des scènes de reconstitution historique et des interventions d’intellectuels.

    Les historiens français Reynald Secher et Stéphane Courtois, ainsi que leurs homologues ukrainiens et anglais remettent en perspective cette guerre civile qui a fait entre 120 000 et 250 000 morts et dont l’épicentre fut le Choletais. Les scènes de fiction ont été tournées à l’été et à l’automne 2013 en Vendée (Chantonnay, Saint-Hilaire-de-Loulay) et en Loire-Atlantique (La Chapelle-Basse-Mer).

     

     

    Il a fallu quatre ans à Daniel Rabourdin pour finir de monter le film. "Quatre ans sans week-end et sans vacances, c’est un lourd investissement personnel", confie le réalisateur qui a liquidé sa retraite pour financer son docufiction. "Si je fais les comptes et j’inclus les salaires que je ne me suis pas versés, le film a coûté 500 000 euros environ", explique-t-il.

    Le docufiction La Rébellion cachée est sorti en décembre 2016 aux États-Unis où il a été diffusé sur la chaîne EWTN. Selon le diffuseur, il a été vu par 100 000 téléspectateurs. Un beau succès pour un sujet totalement ignoré Outre-Atlantique. Depuis, Daniel Rabourdin a pris son bâton de pèlerin pour aller présenter son film dans les salles paroissiales américaines. "Les gens sont très émus par cette histoire. Il faut oser parler de cette guerre de Vendée et des atrocités commises sur des innocents au nom de la Révolution française.".

     

    La guerre de Vendée (vidéo 36 mn.)


    votre commentaire
  • Soumission  M.HOUELLEBECK

     

     

    Soumission de Michel HOUELLEBECQ

    roman

     

     

     

     

    L'environnement décrit au début du roman des affrontements réguliers entre jeunes identitaires cagoulés et jeunes salafistes : les médias semblent — par crainte d'un embrasement généralisé — ne pas relayer toutes les informations, le pays paraît être au bord de la guerre civile.

    Les bouleversements politiques de l'élection présidentielle française de 2022 amènent au pouvoir un leader musulman intelligent et charismatique d'un nouveau parti politique. Après qu'il fut parvenu de justesse à se hisser au second tour de l'élection présidentielle, Mohammed Ben Abbes, président de ce nouveau parti nommé « La Fraternité musulmane », réussit, grâce au soutien au second tour de tous les anciens partis politiques traditionnels face au Front national lui aussi présent au deuxième tour, à être élu.

    Ce changement politique offre au narrateur une seconde vie et une seconde chance. Parmi les changements notables découlant de cette élection, la France est pacifiée, le chômage chute, des universités — dont la Sorbonne — sont privatisées et islamisées, les professeurs doivent être musulmans pour pouvoir enseigner, la polygamie est légalisée, les femmes n'ont plus le droit de travailler et doivent s'habiller d'une manière "non-désirable"

     Soumission  (M.HOUELLEBECQ)

     

    Extraits:

    "Je me rendais bien compte pourtant, et depuis des années, que l'écart croissant, devenu abyssal, entre la population et ceux qui parlaient en son nom, politiciens et journalistes, devait nécessairement conduire à quelque chose de chaotique, de violent et d'imprévisible. La France, comme les autres pays d'Europe occidentale, se dirigeait depuis longtemps vers la guerre civile, c'était une évidence..."

    "La sous-population qui dispose du meilleur taux de reproduction, et qui parvient à transmettre ses valeurs, triomphe ; à leurs yeux c'est aussi simple que ça l'économie, la géopolitique même ne sont que de la poudre aux yeux : celui qui contrôle les enfants contrôle le futur, point final. Alors le seul point capital, le seul point sur lequel la Fraternité musulmane veut absolument avoir satisfaction, c'est l'éducation des enfants. [...] Chaque enfant français doit avoir la possibilité de bénéficier du début à la fin de sa scolarité d'un enseignement islamique."

    "Seules certaines filières seront ouvertes aux femmes. Ce qu'ils souhaiteraient au fond, c'est que la plupart des femmes, après l'école primaire, soient orientées vers des écoles d'éducation ménagère, et qu'elles se marient aussi vite que possibles"

     


    votre commentaire
  •  

    Le camps des Saints

     

     

             Le camp des Saints par Jean Raspail

             (roman)

     

     

     

     

     

    Dans la nuit, sur les côtes du midi de la France, cent navires à bout de souffle se sont échoués, chargés d'un million d'immigrants. Ils sont l'avant-garde du tiers-monde qui se réfugie en Occident pour y trouver l'espérance. À tous les niveaux, conscience universelle, gouvernements, équilibre des civilisations, et surtout chacun en soi-même, on se pose la question trop tard : que faire ?
    C'est ce choc inéluctable que raconte Le Camp des Saints...

    §§§§

    extraits:

    Les bateaux se vidaient de toute part comme une baignoire qui déborde. Le tiers monde dégoulinait et l’Occident lui servait d’égout.

    (…) Ceux qui avaient grimpé jusqu’au sommet des immeubles découvrirent autour d’eux l’étendue de leur conquête. A perte de vue s’offrait un pays qui leur parut le plus beau, le plus riche, le plus accueillant du monde.

    La densité des habitations ne nuisait pas à la nature, elle en était même enveloppée et la multiplicité des toits donnait confiance : autre chose qu’un désert ! Plus loin, au pied des collines boisées, les guetteurs émerveillés découvraient d’immenses champs plantés d’arbres fleuris, d’autres qui verdissaient sous d’épaisses moissons.

    Ils le firent savoir, chantant la bonne nouvelle comme des muezzins ou des crieurs publics. De bouche en bouche, elle parcourut la foule.

    Cette foule épuisée avait retrouvé tout bonnement le moral. Un moral de fer. De conquérant...

     


    1 commentaire
  •  

    Toulouse...

    Le plus grand édifice religieux de Toulouse sera… la mosquée du Mirail

     

     

    Oooh, ma ville... Oh, Toulouse (ouais ?)

     

     

     

     

     

     

    (vidéo de l'avancement des travaux en 2016)

    La mosquée du Mirail doit ouvrir ses portes d’ici fin 2017. Elle sera le plus grand lieu de culte à Toulouse, devant la cathédrale Saint-Étienne. Visible depuis les rames du métro, en direction de la station Basso-Cambo, à Toulouse, le chantier de la mosquée du Mirail touche à sa fin.

    Surplombée d’un minaret de 22 mètres de hauteur tourné vers La Mecque et dotée d’un dôme de 13 mètres de diamètre, le quartier du Mirail prendra un visage encore plus oriental dès la fin de l’année.

    D’une capacité revendiquée de 4 000 personnes, elle deviendra l’édifice religieux pouvant accueillir le plus de fidèles à Toulouse. Cette capacité serait ainsi supérieure à la mosquée As-Salam ou celle toujours en chantier à Empalot. Plus significatif, sa capacité sera plus de deux fois supérieur à la cathédrale Saint-Etienne, vieille de plus de mille ans, pouvant contenir 1 200 fidèles. La Basilique Saint-Sernin, d’une capacité de 1 000 places et bâtie au XIe siècle.

    Une seconde mosquée cathédrale

    Selon le chiffre communiqué par l’architecte du chantier, la mosquée du Mirail disposera d’une surface d’environ 3 700 m2. Abdellatif Mellouki, vice-président du conseil Français du Culte Musulman, n’a pas de doute sur le fait que la mosquée fera le plein lors des grandes fêtes musulmanes. Environ 50 000 Toulousains sont de confession musulmane. Le métro Toulousain et plusieurs parkings voisins permettront de mieux desservir l’espace.

    Bien qu’immense, la « mosquée cathédrale » du Mirail ne suffira pas à répondre aux besoins d’après Abdellatif Mellouki, qui souhaiterai visiblement multiplier ce genre d’édifice. « L’emplacement correspond à une concentration de fidèles dans le quartier du Mirail mais d’autres endroits de Toulouse n’ont pas encore de lieux de culte, il y a aussi un besoin de mosquées de proximité ».

    La mosquée dispose de trois niveaux avec trois salles de prière, de salles de cours d’arabe pour les enfants, une salle de réunion, une bibliothèque, des bureaux, une cuisine, des sanitaires et des salles pour les ablutions.

    Ce projet estimé à quatre millions d’euros « est entièrement financé par les dons des fidèles », assure l’ACCIF (Association cultuelle et culturelle islamique en France) à l’origine de ce gigantesque chantier. Près de 170 000 euros sont encore à récolter, peut-on lire sur le site de l’association.

    L’architecte de la mosquée, Mustapha Seghir, est aussi celui qui est en charge de l’agrandissement de la mosquée d’Auch (Gers).

     

     

    source: infos Toulouse - l'actualité de votre ville


    votre commentaire

Voice of Europe