@ Dr WO, @ Paul-Emic, @ Pangloss... et autres... 

Si cette novelette vous a plu elle vous a peut-être parue excessive ou caricaturale... Je le croyais aussi (un tout petit peu) 

La réalité dépasse encore la fiction...

Démonstration :

"Hier encore Fraü UVDL (comme on l'appelle en secret), Présidente à vie de la Popenklatura à la tête l'"UEDP", s'est adressée comme chaque semaine à ses 780 millions de sujet en Esperantien vulgaire sous-titré en langage vernaculaire dans tous les provinzlanders, afin de  mettre en garde la population contre les informations dissidentes"...

en vrai :

1. Flot d’insultes de la part des grands médias occidentaux contre le journaliste Tucker Carlson depuis qu’il a annoncé interviewer Poutine !

2. J’interviewe Vladimir Poutine parce que c’est mon travail de journaliste de chercher la vérité » « une génération d’ukrainiens est sacrifiée » « Parce que l’économie du monde est perturbée par les sanctions » « Parce que les citoyens ont le droit de savoir »

3. Le journaliste américain Tucker Carlson a réalisé une interview du président russe Vladimir Poutine et cela lui vaut une vague de haine de la part des médias de grand chemin.

4. L’UE envisage « d’imposer des sanctions au journaliste Tucker Carlson pour avoir interviewé Vladimir Poutine » ! C’est ce que « plusieurs députés européens » viennent de confirmer à Newsweek ! (Il lui serait « interdit de voyager dans les pays de l’UE », voire passible d’autres sanctions ! )

..."La plus efficace et la plus populaire d'entre-elles selon plusieurs sondages parmi les citoyens fut sans conteste la kimjongienne suspension préventive du réseau "Txitter" sur tout le territoire."

Règlement européen : Va-t-on vers une « censure » des réseaux sociaux

Les mots de Thierry Breton, commissaire européen au numérique, ont suscité une vague de réaction sur les réseaux sociaux

Ici, Thierry Breton fait référence au règlement européen sur les services numériques (en anglais Digital Services Act, DSA), qui vise à responsabiliser les plateformes. « On a des équipes qui pourront intervenir immédiatement, a-t-il poursuivi, et si [les plateformes] n’agissent pas immédiatement, alors oui, on pourra à ce moment-là donner une amende et interdire son exploitation sur le territoire.

Mais pendant vingt-cinq ans, les plateformes se sont surtout autorégulées. « Ce qui va changer, c’est qu’on n’avait pas les moyens de contrôle nécessaires pour assurer la responsabilité des plateformes face à leur non-agissement et d’assurer la légalité des contenus véhiculés en ligne. » Le DSA offre « les moyens d’action nécessaire ».

"...Ceux-ci évoquaient avec une nostalgie non dissimulée une lointaine période pré-unioniste, une période où chaque provinzlander aurait disposé d'une certaine souveraineté.../..., une sorte "d'indépendance et de liberté" quelques peu relatives liées aux contingences internationales. Une quasi autonomie concernant leur politique intérieure et extérieure ou leur "histoire" spécifique avec "ses gloires et ses erreurs" ou leurs "coutumes" dites ancestrales et leurs kultures avec ses "particularités" autochtones.."

en vrai :

        Résolution sur la conscience historique de l'Europe (Conseil de l'Europe - janvier 2024) :

H.  considérant que s’il existe des "faits historiques" qui s’appuient sur des travaux historiques professionnels, tels que la recherche, l’enseignement et la préservation des sources et des sites historiques, il n’existe pas de "vérité historique" unique, monolithique, incontestable et éternelle...

24.  demande aux institutions européennes, aux États membres, aux pays candidats et aux pays candidats potentiels, aux établissements d’enseignement et aux acteurs de la société civile de redoubler d’efforts pour promouvoir la réconciliation, s’abstenir de toute tentative d’instrumentalisation de l’histoire à des fins politiques et lutter contre le révisionnisme et le déni de la réalité historique tant dans l’Union européenne que dans les pays tiers; rappelle l’importance de ces éléments dans la perspective des futurs élargissements de l’Union;

27.  estime que les mémoires collectives finiront par contribuer à une sphère publique européenne et par s’y fondre, une sphère dans laquelle les différentes cultures du souvenir se complètent au lieu de s’opposer, et où le traitement de l’histoire devient une question d’action civique et non plus une affaire politique;

à suivre......