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Tu préfères quoi...?
Tu préfères avoir des dents en bois, ou une jambe en mousse ? Pierre Palmade avait montré l'exemple avec ses questions saugrenues...
Tu préfères t'appeler "Glinglin" et on te souhaite jamais ta fête, ou "Nectaire" ce qui est plus joli mais t'as pas vraiment envie qu'on te la souhaite?
Tu préfères être alcoolique en Arabie Saoudite, ou hétérosexuel à San Francisco ?
Tu préfères avoir trois yeux sous les couilles, ou chaque fois que tu t’assois ça fait un bruit de klaxon ?
Tu préfères à vie avoir une tête de veau, ou deux bras de neuf mètres ?
Tu préfères avoir la grippe toute ta vie, ou que tu as trente canards qui te suivent partout ?
Tu préfères avoir un avant de Twingo greffé là comme ça, ou chaque fois que tu parles tu as un rat qui sort de ta bouche ?
Tu préfères être heureux toute ta vie, ou que tous les mois ta mère change de sexe ?
Tu préfères être un litre de lait, ou avoir Fernandel à la place de la jambe ?
J'ajoute, humblement, une question moins fantaisiste et plus pertinente:
Tu préfères perdre la vie après une blessure létale faite à l'arme blanche au niveau du cou, ou crever dans ton sang égorgé comme un mouton à kebab ?
...question subsidiaire:
Tu préférerais avoir affaire à un demandeur d'asile déséquilibré mais inconnu des services psychiatriques, ou à un islamiste "fiché S" connu de la Police et de la Justice remis en liberté la veille ?
C'est toi qui vois...
Pour le journaliste qui relatera les faits, c'est tout vu...
Tags : quotidien, sécurité, dhimmis, attentat, humour
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Commentaires
@ Pangloss : c'est le signe que vous êtes encore vivant.
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Mardi 3 Septembre 2019 à 11:10
@ Dr WO...?
J'avais conseillé à "P* " de vous consulter: je constate avec plaisir et admiration la perspicacité et la justesse de votre diagnostic ci-dessus ...!
Sinon, je me serais permis de lui poser la question:
" Tu préfé Vous préférez faire confiance au travail de la médecine arabe, ou faire confiance à la médecine du travail d'arabe ?"
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de Axel Vontargier (Boulevard Voltaire)
Traitement médiatique d’un attentat : une mécanique bien huilée
Vaille que vaille le modèle multiculturel doit rester… un modèle.
Pour cela, les médias s’attacheront à mettre en lumière les exemples d’intégration. C’est, dirons-nous, la forme évidemment, éminemment, positive pour défendre le modèle, quitte, parfois à masquer certaines zones d’ombres de certaines personnalités. Vient une crise, comme un attentat islamiste, et les choses deviennent alors plus complexes.
La première stratégie consiste évidemment… A ne rien dire, donc à ne pas relayer les innombrables agressions quotidiennes que la presse régionale signale dans ses colonnes, tout comme certains sites Internet.
Mais lorsque le poisson est un peu trop gros, la presse nationale se retrouve alors bien obligée d’en parler. Il en va du peu crédit qu’il lui reste auprès de la population française. Nous assistons alors à un schéma immuable, au fil des mois, au fil des ans, après des centaines et des centaines de vies ôtées partout en France. Tout d’abord, on ne dévoile pas immédiatement l’identité du criminel et on se garde bien de toute interprétation hâtive. Parfois, on en reste là, le curieux devra quant à lui aller chercher ailleurs, par exemple sur le site fdesouche, pour avoir une idée, notamment, du prénom de l’auteur des faits.
Si le "fait divers" ne peut être balayé par d’autres actualités importantissimes (le transfert d’un joueur de foot ou le récit de vacances bucoliques dans le Vercors d’un groupe de randonneurs sympathiques), il faut réussir à faire passer les choses "en douceur". On explique alors les incohérences des propos du prévenu, un déséquilibré errant dont la vie chaotique a conduit à commettre l’irréparable (muni d’un couteau de boucher, ou parfois d’une camionnette). Il ne faut évidemment pas faire "d’amalgames" ou de stigmatisation. D’ailleurs, la preuve : le mobile terroriste ne sera souvent pas retenu par la justice.
On se garde, du mieux possible, de montrer les visages des victimes. Il faut que ce terme "victime" reste un mot abstrait. L’image est porteuse d’affects et d’émotions. On évitera aussi certains termes trop durs, préférant certaines périphrases ou autres euphémismes, tel "poignardé au cou" plutôt que de dire "égorgé".
On recueille simultanément des témoignages (souvent, comme par hasard, de personnes "issues de la diversité") qui expliquent ce qu’ils ont vu. Cerise sur le gâteau, on trouve parfois "un jeune" qui a participé de près ou de loin à la neutralisation du criminel.
Après ces éléments d’une objectivité journalistique irréprochable, on livre aux téléspectateurs les déclarations des dirigeants politiques. On ne manque alors pas d’évoquer "la récupération" de la part de la droite et de l’extrême droite. On les met en contradiction avec des responsables de gauche ou du centre qui trouvent ces propos "indignes". On finit par une note de modération en donnant le propos modéré d’un ministre dont la hauteur de vue permet de tempérer les réactions spontanées de tout un chacun.
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Je préfèrerais ne pas avoir mal partout quand je me lève.
@ Pangloss...
(simultanément ou successivement dans un ordre à définir.)
@ No merit...
je me permets de traduire et de résumer:
"Tu préfères quoi...?"
"Tu préfères être mort plutôt que vivant, ou tu préfères ne pas être né ?"