-
Galéjade à la Marseillaise
Écoutez voir...
Quand le Président de l'Europe en grand métingue à Paris, en transes au bord de la pâmoison, s'essaie à mimer en partie le chant national français tout en oubliant les conseils de son vieux professeur de théâtre d'essayer de "ne pas en faire trop", ça donne ça :
La marseillaise pour finir le meeting d'Emmanuel Macron#MacronArena#MacronDegage2022 #McKingseyGate #McKinseyMacronGate pic.twitter.com/XlILssi9lC
— Convoi de la Liberté (@ConvoyOff) April 2, 2022"Je l'ai chanté si fort que mes dessous s'en souviennent..."
Tags : France, président, actualité, demain
-
Commentaires
"valeurs, traditions..." ça nous rappelle les siècles les plus sombres de notre histoire.
-
-
HEP...
A ne pas confondre, SVP
Onfray, c'est pas Mélenchon !
-
Visiteurs connectés : 1
Record de visiteurs : 533
Visiteurs du Jour : 205
Pages vues ce jour : 447
Total visiteurs : 410966
Total pages vues : 1007780
-
France président politique diversité actualité demain islam patrimoine humour presse culture gauche santé christianisme folie sécurité dhimmis histoire intégration patrie polémique musique liberté écologie Monde Europe internet tradition bizarre argent art éducation woke djihad terrorisme attentat colère sexe respect résistance
Voir tous les tags
Suivre le flux RSS des commentaires
Ajouter un commentaire
Créer mon blog
"Je l'ai chanté si faux que vos oreilles s'en souviennent encore..."
Sur la dernière photo, ne peut-on pas y voir là un salut nazi ?
Stan
@ Stan.....
1) "Je l'ai chanté si faux que vos oreilles s'en souviennent encore..." Je ne saurais dire : par principe et par précaution(s) il y a des situations extrêmes où je coupe le çon... Par contre, avec un "arrêt sur image", je crois qu'on n'était pas loin de l'orgasme...
(petite précision supplémentaire, non confirmée :
2) "...un salut nazi ?" Pour certains esprits malveillants anti-macroniens, peut-être. En fait, après debunkage et analyse des sous-titres, il paraît qu'il adresserait un message personnel : "Volodymyr Oleksandrovytch...? Si tu me regardes... coucou à toi...!"