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Une journée sans fin
Avec les cons-cons... avec les conseillers du Conseil
Après que Macron Emmanuel , président de la République Française (ça me fait toujours rire d'écrire ces mots...) et de tous les Français (idem) ait tout fait pour priver les électeurs avec qui il n'était pas d'accord à titre personnel de leur victoire électorale en refusant à leurs élus le droit constitutionnel élémentaire d'obtenir la majorité absolue à l'Assemblée Nationale, après avoir verrouillé tous les postes clés de l'Administration (la Haute, évidemment), il s'apprête à fignoler son chef d'œuvre : remplacer le fidèle Lolo, le sémillant Laurent Fabius du sang contaminé et heureux papa du directeur de McKinsey France des vaccins frelatés, par le tonitruant Libérator, l'avocat favori des terroristes et des tueurs en série, actuellement ministre de la Justice et de tout ce qui s'y rapporte de près ou de loin, je veux dire monsieur Eric Dupond-Moretti grand-chef en chef à la tête du Conseil Constitutionnel.
Déjà que depuis 6 ou 7 ans (je rechercherai la date plus tard) le Conseil Constitutionnel et le Conseil d'Etat étaient devenus des rouages bien rodés du pouvoir en place, une sorte de Bureau d'Enregistrement de la volonté du Prince et de la Reine-Mère, ça va devenir une sorte de Chambre d'Accusation Inquisitoriale (un ancien avocat, gardien des Sceaux, je lui fais confiance là dessus)
(?) *
Vive la République, Vive la France ? ou pas ? En tout cas, les Valeurs de la République viennent encore d'en prendre un sacré coup derrière les oreilles...
* pass'que, épicétou : ça me soulage
Tags : France, Macron, demain
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Commentaires
C'est ce qu'on appelle une mise en valeur de la République. Il y a encore des gisements de rentabilité (du pognon à se faire) pour les investisseurs qui sauront être au bon endroit au bon moment.
@ Pangloss...
Outre le pognon à se faire (qui peut se faire partout au grand soleil de la Macronie) il faut garder à l'esprit que Dupond-Moretti voue une haine farouche, viscérale et incontrôlable envers le Rassemblement National, allant jusqu'à demander sa dissolution, en 2015, "parce que pas républicain". Autant dire que les députés RN vont avoir des soucis à se faire et que c'est certainement non négligeable de sa (probable) nomination...