Je viens d'apprendre, tardivement, que ce sont les africains qui, après avoir été les initiateurs de l’Égypte pharaonique et de l'empire Aztèque, ont créé le royaume de Paekche (noir et kémit) à l'emplacement de la Corée actuelle, entre le IVme et le VIIIme siècles, le royaume fondateur du Japon contemporain. (https://www.facebook.com/humanites.classiques.africaines)
J'ai pensé que ça valait bien un petit best-of des effets méconnus de la discrimination positive universelle.
C'est paru en 2015 dans toute la presse nationale (et internationale et africaine) du "Figaro" à "Libération" en passant par "Paris-Match", après avoir été publié une première fois dans "Courrier International" reprenant un article de "The Independent"...
(article du "Figaro Étudiant" du 12/06/2015)
Un étudiant nigérian résout une équation insoluble depuis 30 ans
"Ufot Ekong, étudiant nigérian à l’université de Tokai au Japon, a résolu une équation mathématique insoluble depuis 30 ans. Le petit génie réserve pourtant bien d’autres surprises à la hauteur de son dernier exploit.
"Ufot Ekong est un étudiant peu commun. Il a récemment résolu une équation mathématique insoluble depuis plus de trente ans pendant son premier semestre à l’université Tokai, au Japon. Mais le jeune prodige ne s’est pas arrêté là dans ses performances quotidiennes.
"Cet étudiant nigérian de l’université de Tokai au Japon cumule les performances académiques et les brevets d’invention. Déjà diplômé en génie électrique, le jeune homme continue ses études pour se spécialiser en robotique. Mais l’étudiant nigérian ne s’est pas arrêté là. En effet, il a reçu les meilleurs résultats des cinquante dernières années de son université japonaise, l’université Tokai à Tokyo. Université par ailleurs très prestigieuse au Japon.
"Pour continuer sur le chemin de l’excellence, Ufot Ekong a remporté de nombreux prix. Au total, l’étudiant cumule 6 prix d’excellence académique depuis le début de ses études. Pour augmenter la difficulté et le challenge, le jeune homme occupe également deux emplois à côté de ses cours pour pouvoir financer ses études.
"Ekong parle par ailleurs quatre langues: anglais, français, japonais et yoruba, sa langue maternelle. Puisqu’il ne semble pas faire les choses à moitié, le jeune homme a remporté le prix du meilleur étudiant en langue japonaise pour les étrangers. Concernant les brevets, Ekong en a déjà deux à son nom pour la conception de voitures électriques."
Étonnant, non ?... pour un si jeune homme !...
Surtout "nigérian", comme chacun s'empressait de le préciser comme si c'était étonnant, de la part d'un "nigérian" t'es sur ? ("Un étudiant hollandais résout une équation insoluble depuis 30 ans..." - Non, coco, ça le fait pas ton titre...qu'est-ce qu'on en a à foutre de ton étudiant hollandais ?...)
Et c'est le même article, recopié presque mot-pour-mot, qu'on retrouve dans chaque journal (avec la mention "reproduction interdite" dans "Paris-Match" !)
En fait, on apprenait par quelques curieux ayant fouiné un peu sur internet que cette "équation insoluble depuis 30 ans" était en fait une sorte de jeu, d'énigme qui amuse les mathématiciens et leurs élèves entre deux travaux sérieux et qui n'avait plus suscité leur intérêt depuis une trentaine d'année... et que les 7 (et seulement 7) problèmes considérés effectivement insolubles répertoriés n'ont pas encore été résolus...
On apprenait aussi que Ufot avait eu un chat dans sa jeunesse, qu'il aime le café, qu'il a participé à un concours de mode, qu'il aime toutes sortes de musiques, et qu'il a déjà goûté à la nourriture brésilienne, qu'il cumulait deux emplois en plus de ses études pour pouvoir financer sa formation, qu'il a été crédité des meilleurs résultats dans une université japonaise sur les cinquante dernières années, qu'il aurait remporté six prix d’excellence académique, et un multitude de détails assez peu opportuns sur sa vie, sa famille, etc...
On apprenait surtout que l'origine de cette "info" n'était pas un communiqué de l'université Tokai mais d'un simple message publié sur un blog par son frère tout content de partager leur joie avec quelques followers !
Par la suite, aucune mise au point, aucune précision n'a été publiée, nulle part dans la presse.
On n'allait pas priver l'Afrique d'un génie digne des plus grands mathématiciens occidentaux.
Différent, mais pareil...
Différent, mais pareil, le cas du jeune génie de 16 ans d'origine indienne Shouryya Ray pour qui les problèmes insolubles pour Newton (et depuis) ne sont pas plus complexe que de monter un meuble Ikéa...!
"A 16 ans, il a résolu un problème de physique posé par le savant Isaac Newton au XVIIe siècle! Shouryya Ray a bluffé les mathématiciens du monde entier lors de la remise de son prix au concours national des jeunes chercheurs le 20 mai dernier.
"Comment j'en suis arrivé là? Je ne m'en rappelle plus vraiment", ironise-t-il. Lors d'un projet de recherche en classe, Shouryya Ray a été chargé de se pencher sur la problématique des trajectoires (d'une balle par exemple). En fouillant dans les archives de l'université technique de Dresde (Allemagne), il a découvert que certaines équations étaient restées irrésolues dans la dynamique des particules.(...) Depuis, tous les mathématiciens avaient abandonné l'espoir de percer l'énigme. Shouryya Ray, lui, a cru qu'il trouverait une solution! (...). A force de volonté, le génie a répondu à toutes les équations nécessaires. "Ce n'est pas plus compliqué qu'une notice de montage Ikea", assure-t-il.
Shouryya Ray est plus qu'un modèle d'intégration. C'est un génie de l'intégration. Arrivé à l'âge de 4 ans en Allemagne, cet Indien parle aujourd'hui couramment la langue de Goethe. Mieux, il a déjà sauté deux classes. Si bien qu'il est en train de passer son bac à 16 ans. Costumes trois pièces, montures de lunettes dorées, moustache…
Tout faux, là aussi, car il ne s'agissait pas d'un problème insoluble, parce-que... ce n'était pas un problème ! mais de l'exposé d'une simple théorie exposée dans tous les manuels scolaires et approfondie dès la 2me année d'université...
On n'allait pas priver le sous-continent Indien d'un génie digne des plus grands physiciens occidentaux.
Ces deux... erreurs rédactionnelles, plaisanteries, fake-news, propagandes étaient signalées dans le livre "La France Interdite" de Laurent Obertone, dans le chapitre consacré à la "discrimination positive", et avaient été décryptées minutieusement et objectivement par John Philip C. Manson sur son blog dans deux articles consacrés à Ufot Ekong et à Shouryya Ray .
Pas différent et pas pareil.
Pas pareil, parce-que là, les résultats obtenus sont visibles et concrets, preuves à l'appui, il y a aussi l'apport du célèbre ingénieur spatial congolais à la conquête de l'espace (toujours selon l'excellent et indispensable "Courrier International"):
"Voilà dix ans que le plus célèbre ingénieur spatial du Congo, Jean-Patrice Keka, lance des fusées depuis des champs d’igname en périphérie du village de Menkao, à deux heures de piste de la capitale, Kinshasa. Dans le centre de contrôle qu’il s’est lui-même construit - un abri en plaques de tôle ondulée surmonté d’une girouette -, on trouve une série de vieux postes de télévision 11 pouces et d’ordinateurs avec lecteurs de disquette.
"Il y a également des reliques de vols passés, comme cette boîte d’Ovomaltine dans laquelle un rat a bien failli devenir le premier animal congolais à atteindre la stratosphère. Aucun des cinq astronefs conçus par cet ingénieur de 45 ans n’est sorti de l’atmosphère, mais sa dernière création baptisée Troposphère VI est plus perfectionnée. Surnommée Soso Pembe ou “coq blanc”, cette fusée à trois étages doit pouvoir grimper à près de 200 kilomètres d’altitude, soit deux fois plus haut que la ligne de Karman généralement considérée comme la frontière entre l’espace et l’atmosphère terrestre."
vidéos (retransmises par "France Ô", sans un seul sourire) à l'appui...
On ne va pas priver l'Afrique d'un futur génie digne des plus grands ingénieurs occidentaux.
Bedeau, envoyer au FigMag votre papier en illustration de leur numéro "Politiquement correct : Stop !"
Effrayant, ce qui nous attend, puisque nous copions servilement les Etats-Unis, alors que le passé historique des deux pays n'est pas le même.
En résumé, naguère les noirs ("afro-américains") revendiquaient de s'asseoir à la même table que les blancs, maintenant ils veulent qu'on leur dresse la même table, mais pour eux exclusivement, et séparée. En harcelant ceux de leur communauté qui, d'une façon ou d'une autre, même la plus anodine, ont le moindre contact avec les blancs. En pratiquant une assignation à résidence, avec une milice, les MOC (Men of Color).
Retour à la ségrégation.
En exploitant bien sûr l'inépuisable filon de la victimisation culpabilisatrice et de la mise en évidence outrancière et parfois truquée de quelques réussites.
Le plus drôle, c'est que les blancs, pour bénéficier des avantages de la discrimination positive, cochent la case "hispanique".
J'ai longtemps cru que le Figaro était un journal +- de droite...
L'article du FigMag est réservé aux abonnés, mais on peut le consulter sur http://homocoques.fr/8-articles/873-stop-au-politiquement-correct-quand-les-derives-americaines-menacent-la-france (grand merci aux moteurs de recherche !)
C'est vrai que notre passé historique n'est pas celui des USA: il est pire et plusieurs fois plus condamnable: on reproche uniquement aux aux américains leur recours à l'esclavage... mais les français sont à l'origine de cette traite négrière entre l'Afrique, l'Europe et les Amériques à cause de leur passé colonialiste et évangélisateur et esclavagiste et génocidaire et criminel-contre-l-humanité et..., non seulement envers les noirs africains, mais envers les arabes et les musulmans, les asiatiques, etc...,
épissétou...
Par contre, je ne suis pas sur que , "pour bénéficier des avantages de la discrimination positive les blancs cochent la case "hispanique", j'y verrais plutôt une mutation du syndrome de Stockholm.