• • bedeau

    Lundi 16 Octobre 2023 à 17:37
    

    @ Fredi M. ....!

    Étonnant, en effet !

    ...que l'IA ne se soit pas inspiré de la toute gaie et prophétique campagne de pub pour les rasoirs Ginette !

          

     

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Les Français sont censés ne pas s'étonner, c'est l'IA qui le dit. Eh ben, mon colon!

• • bedeau

    Lundi 16 Octobre 2023 à 20:04
    

    @ Pangloss...!

    ...ou, comment à partir d'une propagande progressiste subliminale (le "vivrensemble" anti-racisse exalté par les publicités mixtes -mâle noir/fumelle blanche)...

          

    ...on en arrive à un constat tristement banal

     

Les pubs avant le JT du soir : pas racistes, mais ce qu'il faut de nos compatriotes de couleur. Qui sont, parait-il friands de marques.

Le marketing connaît son biz.

• • bedeau

    Mardi 17 Octobre 2023 à 13:30
    

    @ Souris donc...!!

    C'est en partie vrai, mais le temps des "sapeurs", ces dandys africains, est maintenant révolu,...

                            

    ...maintenant c'est les sweats à capuche et les running qui ont la côte (même de contrefaçon : c'est le logo qui compte)

     

    Mais les pubs en question sur l'échantillon présenté "Auchan", "Ikéa", "Macif" ou "Crédit Mutuel de Bretagne", n'ont rien pour faire rêver Soulayman ou Boubakar :!

    Mais" femme-blanche", y'a bon : même que les migrants mineurs isolés d'une trentaine d'années trouvent le bonheur entre les bras de quelque veuve septuagénaire en quête de...  sensations fortes.

                           

     

  • Al West

    Mardi 17 Octobre 2023 à 18:36

    Cher bedeau, permettez-moi de vous faire remarquer que vous mettez un peu la charrue avant les bœufs -si j'puis dire- dans la photo que vous nous proposez : c'est plutôt la veuve (putative) qui trouve le bonheur entre les bras et cætera... Maintenant, je ne dis pas que le migrant (putatif lui aussi) ne serre pas le bonheur de ses bras.

    Maintenant, s'il me venait à l'idée (lointaine, hein, n'allez pas me prêter de mauvaises intentions nauséabondes) de boycotter toutes les marques qui promeuvent la diversité inclusive et heureuse, je n'aurais bientôt plus que l'eau du robinet, sans savon, et les patates de l'AMAP locale pour satisfaire à mes besoins les plus élémentaires de biens et de services. (Et les sardines à l'huile de la Belle-Iloise.)

  • bedeau

    Mardi 17 Octobre 2023 à 20:12
    

    @ Al West...??

    Ce qui est (presque?) sûr, c'est que ce couple ne participera pas (selon toute vraisemblance ?) au métissage/créolisation de la société.

    J'avais choisi cette image parmi 17 400 000 autres selon Google ; Sa légende mérite d'être publiée : "Suède: Maire Pehkonen 71 ans, épouse Lamin Sanneh, un gambien de 34 ans. C'est son 3ème mariage avec un gambien."

                                     

    Une histoire presque aussi belle et triste que celle de Yvette, une finistérienne de 73 ans, qui a adopté Sidy et Cheikhou, un malien et un gambien de respectivement 16 et 17 ans:"...pas parce qu'ils sont migrants mais pour ce qu'ils sont eux. Je ne l'ai pas fait pour qu'ils obtiennent des papiers. Je l'ai fait par amour maternel." Un beau roman une belle histoire d’aujourd’hui raconté par FR3.Bretagne:

     

                             

    Tout·e l·e·a monde ne supporte pas la ménopause de la même façon.

     

     

je sais pas où vous allez pécher vos photos de putes à n'haigres, elles sont assez débectantes

les malheureux doivent être réduits a quia pour s'abaisser ainsi

les malheureuses aussi d'ailleurs

• • bedeau

    Jeudi 19 Octobre 2023 à 14:25
    

    @ Jakob...!

    Dans les cas semblables à Maire et son fauteuil roulant et à Yvette et ses deux enfants adoptifs , je crois que ni le cyl ni le cœur jouent un rôle primordial. Le premières sont persuadées des bienfaits du vivrensemb' (ils l'ont encore dit à la télé, faut pas écouter Zemmour, alors...?), les seconds préféreraient sans doute être régularisés d'office RSA+CMU sans être obligé de bizouiller l'aïeule devant les photographes.

    En fait les malheureu·x·se·s sont très heureu·x·se·s comme ça.

    Tout va bien dans le pire des mondes.