Amalgame.
J'entends de plus en plus des gens bien et des gens moins bien, à la télévision française (BFMTV) ou sur tel ou tel réseau-sociau ne faire aucune distinction entre les trois religions dites monothéistes (qui n'ont "du Livre" que l'appellation officialisée tardivement par les musulmans pour se prévaloir d'un socle historique culturel commun honorable), Judaïsme, Christianisme et Islam et y voir des similitudes anachroniques, confuses et sans commune mesure entre elles, confondant par exemple sans état d'*âme les guerres de religion souvent fratricides du XVIme siècle en Europe au jihad islamique planétaire contemporain le plus aveugle et le plus sauvage.
Faisant fi, toutefois, par hypocrisie ou par ignorance, du prétendu catholicisme dit apostolique et romain à la manière de l'antipape François 0, encore plus dhimmi que les juifs espagnols de l'Âge d'Or d'El Andalus (déformation probable de "vandalusia" -inutile de traduire !) qui l'étaient par nécessité en échange d'une sécurité et d'une liberté toutes relatives contre espèces sonnantes et trébuchantes (tout le mode sait que les juifs, hein... même le plus primitif des califes conquérants en l'an 700 de notre-ère) avant d'être persécutés comme tout le monde dès que leur utilité politique et stratégique n'était plus nécessaire... et non par idéologie ultra-gauchisante au nom d'un œcuménisme dévoyé.
"Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique. [...] Je crois qu'il y a presque toujours dans toutes les religions un petit groupe de fondamentalistes. Nous en avons." (Sa Sainteté François 0, en juillet 2016, à propos des attentas commis au nom de l'islam et au lendemain de l'assassinat du Père Hamel)
Les plus hardis ou les plus obscènes (et aussi les plus simplets) allant jusqu'à déclarer qu'il n'y a pas de différence fondamentale entre "Allah Akbar" et "Alléluia" (ou "Hallelujah"), les deux étant des louanges à la gloire de Dieu. Autant dire que je ne sais pas qui me révulse le plus, le terroriste mahométan ou le moralinateur germanopratin.