Si nous les battons, ils ont une patrie où retourner, s’ils nous battent, nous n’avons nulle part où aller.
Quand ils ont ouvert un kebab à la place du bar-tabac-PMU "Chez Pierrot", je me suis dit ça changera de ses sempiternels croque-monsieur.
Quand ils ont ouvert une superette 24/24 et 7/7, je me suis dit que ça pouvait dépanner même si on n'y trouvait pas de viande de porc ni d'alcool.
Quand leurs femmes sont sorties dans la rue portant des hijabs ou des abayas, je me suis dit c'est une mode et ça leur passera
Quand ils ont voulu des rayons halal dans les supermarchés, je me suis dit ça permettra de découvrir une autre gastronomie et d'autres saveurs
Quand ils ont occupé l'espace public un peu partout pour y faire des prières de rue, je me suis dit les cathos ont bien leurs processions.
Quand ils ont commencé à refuser l'enseignement donné dans les écoles de la République, je me suis dit il faut leur laisser le temps de s'adapter
Quand ils ont continué de violer et d'égorger sans mobile apparent, je me suis dit ils sont déséquilibrés par le changement de leur mode de vie
Quand ils ont exigé davantage de mosquées et de plus en plus grandes, je me suis dit il leur faut bien des lieux de culte à eux aussi.
Quand ils ont occupé des postes de plus en plus important dans tous les secteurs, je me suis dit que c'était normal qu'ils soient représentés.
Quand ils ont trouvé que ce n'était pas suffisant et qu'ils ont dit qu'ils étaient ici chez eux et que nous n'avions rien à faire dans leur pays, qu'ils ont déclenché une véritable guerre civile -ou guerre de religion, ou guerre de conquête tout simplement- contre nous etnotre civilisation et nos racines, qu'ils ont interdit notre drapeau national, qu'ils ont incendié nos musées et nos églises, qu'ils on fait nombre de victimes objets de chasses à l'homme arbitraires et de véritables lynchages aveugles et hystériques au nom de leur prophète, je me suis dit que, sans être raciste ou d'extrême-droite, je trouve qu'ils exagèrent on n'avait rien fait pour mériter ça.