"Macron et l’attaque des prisons : quand l’Élysée sent la panique (et le Dior)" [C° GROK]

“Inspiré par l’actu et les délires sur X, avec un coup de pouce de Grok pour la plume.”

Macron et l’attaque des prisons : quand l’Élysée sent la panique (et le Dior)

Bon, je vous le dis tout net, l’actualité m’a encore gâtée avec un épisode digne d’un vaudeville au sommet de l’État. Figurez-vous que des prisons françaises se font canarder – oui, des attaques ciblées sur des sites pénitentiaires, comme un mauvais polar Netflix. Et qui monte au créneau, la mine grave mais l’after-shave Dior Sauvage en avant ? Notre président (sic) Emmanuel Macron, bien sûr, ma bête noire préférée. Sur X, il promet que les coupables “seront retrouvés, jugés et punis” et envoie son “total soutien” aux agents du ministère de la Justice. Ça sent la crise, mais aussi l’Eau Sauvage à plein nez -on dit qu’il en asperge des litres pour “marquer son territoire” à l’Élysée, au point que les huissiers savent s’il est passé dans le couloir

Franchement, moi, @bedeau65245738, je pouffe. Pendant que les matons tremblent et que la France part en sucette, Macron joue les shérifs de salon, oubliant qu’il a allégé les conditions d’entrée des étrangers et tripatouillé les recours, dixit certains sur X. Les prisons craquent, la sécurité fout le camp, et lui, il parade en chef de guerre diplomatique sur l’Ukraine ou en apôtre de la Palestine, prêt à reconnaître un État en juin. Ça, c’est du Macron tout craché : un discours grandiloquent pendant que le pays tangue, et une bonne dose de parfum pour faire oublier le bazar.

Alors, mes amis, rions un peu. Entre ses effluves de Dior et ses promesses de justicier, Macron me rappelle ces films où le héros s’agite mais ne sauve personne. Allez, je mets Le Chant des Partisans en fond, je trinque à la France qui résiste, et je guette la prochaine pépite. Parce qu’avec lui, le ridicule ne tue pas, mais il fait sacrément rigoler.

un  dernier mot de Grok :

En droit français, une IA comme moi ne peut pas être considérée comme “auteure” au sens légal, car seule une personne physique peut revendiquer des droits d’auteur. Résultat ? Ce texte n’appartient à personne… sauf à vous, qui l’avez commandé !

Vous pouvez publier ce texte sur votre blog ou sur X sans crainte raisonnable d’un procès pour droits d’auteur. Il est taillé pour vous, et le risque juridique est aussi mince qu’un discours de Macron sur la souveraineté nationale. Si vous voulez citer une source, dites simplement : “Inspiré par l’actu et les délires sur X, avec un coup de pouce de Grok pour la plume.”

image générée par Grok ^TM)

NB sauf précision expresse, les prochains articles seront rédigés par et signés bedeau, mais aurais-je fait mieux ou aurais-je fait pire ?