• " Caroline Du Sud, 1852. Théodore est un esclave américain qui est parvenu à échapper à ses propriétaires. Malheureusement pour lui, ils ont retrouvé sa trace…"

     

    Je vous laisse imaginer la joyeuse moraline de cette étrange fabulette... 

     

     

     


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    C'était il y a plus de 16 6 ans maintenant...

    Emmanuel Macron (enfin) candidat à l’élection présidentielle ("Le Monde" - 16/11/2016)

    Macron candidat à la présidentielle contre "le système" ("Le Point" - 16/11/2016)

    Emmanuel Macron, un parcours fulgurant ponctué de provocations ("Le Parisien" - 16/11/2016)

    Présidentielle 2017 : "progrès" et "espérance", les deux promesses de Macron candidat ("TF1-LCI" - 16/11/2016)

    Macron candidat : "Faire remonter les volontés citoyennes"  ("Centre Presse" - 16/11/2016)

    Emmanuel Macron - "Révolution" - Réconcilier la France

    Emmanuel Macron a écrit "Révolution" alors qu'il était candidat à l'élection présidentielle.

    Il y raconte, pour la première fois, son histoire personnelle, ses inspirations, sa vision de la France et de son avenir dans un monde nouveau qui vit une "grande transformation" comme il n'en a pas connu depuis l'invention de l'imprimerie et la Renaissance.

    Un livre fort, singulier, qui pose les fondements d'une nouvelle société. 

    (vu dans "la presse")    

    Défense de rire -et défense de pleurer-...

    « Ce qui alimente la colère ou le rejet de nos concitoyens, c'est la certitude que le pouvoir est aux mains de dirigeants qui ne leur ressemblent plus, ne les comprennent plus, ne s'occupent plus d'eux. Tout notre malheur vient de là. » (Emmanuel Macron, "Révolution", éditions XO, novembre 2016)

     "Révolution"

     

    autres copies certifiées conformes :

    "L’État a évidemment toujours vocation à jouer un rôle central. Ce rôle devra même être renforcé car dans de nombreux domaines, il faut plus d’État. Pour l’exercice des missions régaliennes, l’État doit pouvoir disposer de l’ensemble des moyens nécessaires. Pour la protection contre les grands risques de la vie, il faut aussi que l’État reprenne la main. Pour assurer un bon fonctionnement de notre économie, il doit demeurer le garant de l’ordre public économique. (...) Pour les services publics, il faudra veiller à maintenir partout nos écoles et à aller encore plus loin dans l’implantation de maisons, de services publics, à l’image de ce qui a été réalisé par La Poste ces dernières années. Il faut enfin aider les agriculteurs à produire et à aménager ces espaces. Cela passe par un ensemble d’actions pour le foncier agricole, la transmission patrimoniale et la protection contre les aléas climatiques."

    "Dans ce contexte on m’opposera deux arguments : vous êtes du système, quelle leçon allez-vous nous donner ? Pourquoi réussiriez-vous à agir et à transformer le pays là où tant d’autres ont échoué ? J’aurai deux réponses tout aussi directes : je suis le produit du système méritocratique français, j’y ai réussi, mais je n’ai jamais adhéré au système politique traditionnel. Si je pense réussir, c’est justement parce que je ne vais pas chercher à tout faire, je veux clairement exposer un dessein, vous en convaincre. Ce que je ferai, je le ferai avec vous. Ce qui alimente la colère ou le rejet de nos concitoyens, c’est la certitude que le pouvoir est aux mains de dirigeants qui ne leur ressemblent plus, ne les comprennent plus, ne s’occupent plus d’eux. Tout notre malheur vient de là. De ce fait, nombre de personnalités politiques se persuadent qu’il nous faut de nouvelles règles, de nouvelles lois, et pour certains, une nouvelle Constitution. Pourtant notre pays a pu avancer, il y a longtemps, avec cette même Constitution, et sans que la colère gronde."

    "Je ne me résous pas à être enfermé dans des clivages d’un autre temps. On a voulu caricaturer ma volonté de dépasser l’opposition entre la gauche et la droite : à gauche en dénonçant une trahison libérale, à droite en me dépeignant comme un faux nez de la gauche. Je ne puis me satisfaire de voir le désir de justice empêché par des schémas anciens, qui ne laissent aucune part à l’initiative, à la responsabilité, à l’inventivité personnelles. Si par libéralisme on entend confiance en l’homme, je consens à être qualifié de libéral. Car ce que je défends, en retour, doit permettre à chacun de trouver dans son pays une vie conforme à ses espérances les plus profondes. Mais si, d’un autre côté, c’est être de gauche que de penser que l’argent ne donne pas tous les droits, que l’accumulation du capital n’est pas l’horizon indépassable de la vie personnelle, que les libertés du citoyen ne doivent pas être sacrifiées à un impératif de sécurité absolue et inatteignable, que les plus pauvres et les plus faibles doivent être protégés sans être discriminés, alors je consens aussi volontiers à être qualifié d’homme de gauche."

     

     

    source  

     

     

     

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    ...du Monde tel qu'on l'a connu, bien sûr, et aimé malgré ses défauts...

     

    Votre voisin du septième est mahométan convaincu, il lui arrive de faire un méchoui sur son balcon pour certaines fêtes de sa communauté mais de France, il ne célèbre pas Nativité, même s'il a entendu parler de la naissance de Jésus sous le nom de ʿĪsā, et ne mange pas de hallouf impur.

    Votre voisine du rez-de-chaussée, éco-féministe végétarienne ne fête jamais rien sauf une arrivée massive de migrants par Ceuta, Melilla ou Vintimille, elle ne mange presque jamais rien non plus, quelques courgettes et aubergines locales, un peu de tofu, de soja et de boulgour les jours de folie.

    Il n'y a donc peu de chances que vous les invitiez ensemble pour le réveillon et il n'y a aucune raison de ne pas proposer à vos invités normaux un plat à la fois traditionnel et inattendu avant que Noël ne tombe définitivement en obsolescence programmée, ou en désuétude si vous préférez

    L'ultime occasion...

    Il va en être bientôt fini , définitivement, des Célébrations de la Fête de Noël. Une affaire de quelques années, tout au plus.

    La crise "sanitaire" des deux dernières années lui ont porté les premières estocades officielles et citoyennes pour des raisons de santé publique (pépé et mémée réveillonnent à la cuisine, fenêtres grandes ouvertes pour bouter le virus hors des murs, et un certain nombre d'articles réputés non indispensables sont interdits à la vente, etc... ).

    La crise "énergétique" de cette année continue leur agonie pour des raisons d'économie de pétrole, de gaz et d'électricité et par solidarité envers des pays dont la reconnaissance envers nos sacrifices n'est pas complètement acquise (sobriété des décorations et illuminations, cuissons longues, mijotées  et "énergivores" proscrites...)

    La crise "migratoire", dont on semble oublier l'existence pourtant de plus en plus visible continue son petit boulot de harcèlement et d'accommodements de moins en moins raisonnables avec la bénédiction des autorités religieuses de tous les officiers des divers cultes plus ou moins concernés et plus ou moins directement

    La crise "de la laïcité" (c.f. supra), interdisant les Crèches de Noël dans l'espace prétendu public mais qui tolérant que des disciples (supposés déséquilibrés) d'un religion de Paix, de Tolérance et d'Amour scient des arbres de Noël dans le même espace public en louant la grandeur de leur Dieu, fait consciencieusement sa part du job

    La crise "wokiste" (version internationale et inclusive des béhachèléveries :"tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier nous est étranger, voire odieux" étendues à la vie et aux convictions intimes ancestrales des familles, des individus et des sociétés) finira par parachever l'ouvrage

     

     

    Parallèlement à ça, tout ce que compte l'écolosphère de salon est vent debout contre la consommation excessive contre la consommation de produits carnés (comprendre la viande et plus particulièrement la viande de porc, ce qui tombe bien étant généralement naturellement trop grasse et souvent préparée industriellement trop salée et, surtout, absolument interdite à nos nouveaux concitoyens qui ont fait le voyage exprès pour voir comment on vivait avant leur arrivée -viande de plus en plus absente de nombreuses cantines - le mouton de l'Aïd, ça va- ), et contre la déforestation massive des plantations de sapins plantés et coupés uniquement pour cette occasion mais dont la place pourrait, éco-responsablement parlant, être consacrée plus utilement à des champs d'éolienne ou de panneaux photovoltaïques. Et ça va même jusqu'à remettre en cause de l'"utilité" (sic) des cadeaux... sauf, exceptionnellement, si local et/ou éthique et/ou recyclé et, fort logiquement, du papier cadeau qui va avec.

     

    Alors, pour l'ultime réveillon du dernier Noël, quitte à susciter le mépris ou la colère des uns et des autres, offrons-nous des recettes de grand'mère, des recettes gastronomiques, des recettes exotiques, mais mangez du cochon pour célébrer Noël... 

    Le rôti de porc de Noël 

    Le rôti de porc aux épices de Noël 

    Le mijoté de porc aux saveurs de Noël 

    Le rôti de porc au lait pour repas de Noël 

    Le ragout de porc de Noël à la martiniquaise

    La "porchetta" de Noël façon italienne 

    Le rôti de porc de Noël à la danoise 

    Noël scandinave : le rôti de porc mariné 

    Les filets de porc aux canneberges et à la cannelle

    Le rôti de porc glacé au sirop d'érable 

    Le filet de porc confit de Noël, écrasée de patates douces

     

    Il y a même de quoi fêter une dizaine d'autres Fêtes de l'Hiver (ou de Fin d'Année), clandestinement mais avec gourmandise et avec un certain sourire...

    Dernier Noël avant la fin du Monde ?

     

     


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    15 octobre : " journée mondiale du lavage des mains "

     

    vu quelque part sur le oueb :   

    Conseils pour le lavage des mains

    • Avant de vous laver les mains, enlevez vos bijoux.
    • Pour vous laver les mains, utilisez un savon ordinaire. Vous n’avez pas besoin d’un savon antibactérien pour éliminer la saleté et les germes. De fait, l’utilisation superflue d’antibiotiques peut entraîner une résistance aux antibiotiques -ce qui rend les germes plus forts et plus difficiles à combattre.

     

     

    Quand se laver les mains

    • Avant et après avoir mangé
    • Avant, pendant et après la préparation d’un repas
    • Après être allé à la toilette et après avoir changé la couche d’un bébé
    • Après s’être mouché le nez et après avoir éternué ou toussé
    • Avant et après avoir donné des soins à une personne qui est malade
    • Après avoir touché un animal, ses jouets ou ses excréments (crottes)
    • Après avoir touché à quelque chose qui pourrait être sale (poubelle, chiffon sale, etc.)
    • Chaque fois que vos mains paraissent sales

     

    (mais non, y'a pas d'quoi...) 

     

     

     

     


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    A la recherche de divers job d'été pour ne pas finir aussi pauvre que lui ?...

     

    Sans votre Crédit Personnel de Formation

    Avec votre Chance Pour la France préférée

     

    Professeur des écoles en deux semaines après entretien d'embauche personnalisé d'une trentaine de minutes (courte lettre de motivation lisible souhaitée)

    Auxiliaire de vie façon "humanitaire" local pour crèche et/ou EHPAD (diplôme ou expérience non requis : apprentissage de 120 h. assuré "sur le tas")

    Policier ("réserviste opérationnel") à l'issue d'un stage d'une dizaine de jours : notions basiques de droit, self-défense, maniement du SIG SAUER SP 202, etc.

    Député·e écologiste ou d'extrême-gauche : aucune compétence exigée, "amateurisme" crypto-macronisque accepté, crétinisme télégénique bienvenu

    Spécialiste multicarte de plateau tévé : avis stricts indispensables sur tous les sujets du moment et plus (crise sanitaire, crise climatique, crise internationale, etc.)

     

    ... et notre belle jeunesse va encore se plaindre du chômage endémique (= "durable") et sombrer d'ennui dans la délinquance ludique (= "rigolote")  !

     

     


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    Étonnant, non ? 

     

    Inspiré d'un essai de Barjavel, le documentaire propose l'évolution de la télévision en format de poche transportable, et la façon dont les humains interagiront avec l'objet.
    en intégralité 24 min.  ICI

     

    Dès 1969, les chercheurs se questionnaient sur la télévision de demain. Le mot n’existait pas, le concept était bien là : un monde interconnecté. Bref, Internet
    version longue 13 min. ICI

     

     


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    Vous (n') avez (pas) demandé la police ?

    C'est pas grave.

    Elle était passée par ici...

     
     

     ...elle repassera par là :

    (où vous ne l'attendiez peut-être pas)

     

    ...et puis là, aussi :

     

    ...A bientôt les loulouttes zet les loulous !

    N'oubliez pas vos papiers...

     

    Tiens, par exemple... Celle-là, vous vous attendiez à celle-là ?
     

    Veronica Antonelli, est une chanteuse lyrique franco-italienne de tessiture soprano.

    Elle est notamment reconnue pour avoir mis au point le concept de Monuments Enchantés, qui valorise les lieux patrimoniaux par la musique et en particulier, par le chant a cappella. Elle joue avec l'acoustique naturelle et utilise la force propre des sites grâce à l'écho-localisation.

    En 2013, elle obtient le prix Handiculture de la médiation avec Monuments Enchantés le patrimoine les yeux fermés, valorisation de l'art lyrique, du patrimoine historique, et du handicap visuel en proposant un concept innovant qui offreun regard positif le handicap.

    Lauréate du prix Écureuil et Solidarité 2014 et du prix de la Fondation de France 2014 pour son concept Monuments Enchantés les yeux fermés: explorez l'invisible!.

    Depuis 2014, ambassadrice de la République de Montmartre à Toulouse et en Occitanie, Veronica Antonelli est également marraine du Secours Populaire et participe à des actions de mécénat à Paris et en France tout en proposant des Montmartre Enchantés solidaires.

    En janvier 2019, L'UNESCO soutient officiellement le concept des Monuments Enchantés qui valorise le patrimoine tout en transmettant le patrimoine immatériel qu'est l'art lyrique.

    Le 30  juillet 2022, elle est arrêtée et verbalisé de 135 € pour tapage diurn,e au pied du Sacré-Cœur de Montmartre.

     

    Mais, par contre... dans certains quartiers... certaines banlieues...à certaines heures... dans certaines conditions...

    (non, rien)

     

     


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