• Vu, sur internet, cette accroche attractive et prometteuse:

    Méfiez-vous de ces 6 arnaques qui ont coûté très cher aux victimes...

    Les esprits malveillants n'ont aucune limite lorsqu'il s'agit d'abuser de la confiance de leurs victimes pour mener à bien leur petite entreprise. 

    ATTENTION, arnaque !

    La présentation de l'article donne bien envie d'en savoir plus:

    Ça n'arrive qu'aux autres à ce qu'il paraît… Outrepassons ce sentiment de supériorité rassurante voulez-vous? Parce qu'un léger faux pas suffit à passer dans la catégorie des victimes. Même lorsque celles-ci pensent user de vigilance.

    Les escrocs n'ont aucune limite lorsqu'il s'agit d'abuser de la confiance de leurs proies. Pis: ils s'adaptent pour faire perdurer leur petite entreprise de magouilles…

    Si aujourd'hui nous avons décidé de partager des mésaventures vécues par des gens, ce n'est pas pour leur jeter la pierre. Bien au contraire. C'est pour qu'au moins leur fâcheuse expérience serve à d'autres.

    Telle une mise en garde....

    ...

     

    Je me dis que, sait-on jamais...

    ...donc, je clique sur le lien...

    ... pour me retrouver, finalement, devant ça:

         
      ATTENTION, arnaque  
         

     

    ça me laisse une impression bizarre...

    et presque désagréable !

    ATTENTION, arnaque !

     

     

     


    8 commentaires
  • Ca soulage de lire Libé...

    Je ne suis pas un lecteur régulier de Libé mais, des fois, ça fait bien plaisir de voir Laurent Mouchard, plus connu sous le nom de Laurent Joffrin, leur "directeur de la rédaction et de la  publication" faire part à ses rares lecteurs payants (hors bibliothèques scolaires et  municipales) de ses états d'âme de pucelle effarouchée voyant le loup pour la première fois...

     

     

     Dans le numéro de Libé du 26 octobre... 

    ou, quand Lolo se désespère et se fâche... 

    ou, "Macron... AU SECOURS...! Tout est pardonné..."

     

    Les droites radicales fondent sur le globe

    Ca fait du bien de lire Libé...

     

     

    Brésil, Turquie, Philippines, États-Unis, Europe… Les démocraties voient des leaders nationalistes et populistes accéder au pouvoir ou monter dangereusement dans les sondages. Un phénomène nourri par la défiance envers les élites et la xénophobie.

    Comme les civilisations, les démocraties sont mortelles. Moribondes ? Certes non: les régimes démocratiques n’ont jamais été aussi nombreux sur la planète et beaucoup d’entre eux sont très solides. Nous ne sommes pas dans les années 30. Mais un mal nouveau les guette, un mal plus insidieux, plus pernicieux, un mal qui vient de l’intérieur et qui ronge la culture démocratique. La mappemonde que nous publions en montre l’extension : dans de nombreux pays, le national-populisme ne cesse de gagner du terrain. Point de dictature ouverte. Mais une conquête progressive qui, au nom de la nation, écorne l’État de droit, abaisse le débat public, érode les libertés, contraint les minorités, attaque le droit des femmes et désigne presque partout l’étranger comme bouc émissaire.

    "Liberté, égalité, fraternité", dit la République française. "Identité, sécurité, intolérance", répondent les nationalistes. Des méthodes légales, un appel à la souveraineté populaire, peu de violence physique : le fascisme n’est pas aux portes. Mais partout les mêmes thèmes, les mêmes simplismes, les mêmes slogans agressifs et sommaires dominent. Il y a les "démocratures", comme la Turquie, passée sous la coupe du sultan Erdogan. Il y a surtout la victoire de partis réactionnaires coulés dans le moule constitutionnel, au pouvoir en Italie, en Hongrie, aux États-Unis ou aux Philippines. Et bientôt, il faut le craindre, au Brésil. Il y a enfin, un peu partout, ces partis xénophobes, homophobes, déclinistes, climatosceptiques pour la plupart, expéditifs en matière de sécurité, rétrogrades en matière de mœurs, qui remplissent les urnes et vident les têtes au profit d’affects sommaires, de mobilisations simplistes, une sorte de marée brunâtre qui s’infiltre au sein de régimes jusque-là officiellement dédiés au progrès et à la liberté.

    Épidémie

    Une sociologie paresseuse incrimine la crise économique, les inégalités, les fractures sociales. Elles jouent leur rôle, reléguant une grande partie des classes populaires dans une misère relative et un enfermement urbain ou campagnard qui nourrissent un sentiment d’abandon, offrant un terrain fertile aux démagogues. La version libérale de la mondialisation menace les acquis, creuse les différences de revenus, mine les protections, brouille les repères, bouche l’avenir des plus défavorisés. Le libéralisme sans frein, fourrier du nationalisme.

    Mais l’épidémie ne se limite pas aux pays pauvres ou inégalitaires. La Suisse, État riche et équilibré, a elle aussi son parti intolérant, tout comme les nations scandinaves et les Pays-Bas, qui ont fait tant d’efforts en faveur de la protection sociale et de l’intégration. La crise économique plante un décor. Elle n’explique pas la pièce. Ce sont les facteurs culturels, sociétaux, qui font la vraie différence. "On est chez nous !". Partout, le slogan résume l’humeur des peuples. C’est bien ce qui rend la tâche des démocrates, des progressistes ou de la gauche si difficile, eux qui sont voués à la tolérance et à l’ouverture. Que répondre à ceux qui ont le sentiment de ne plus s’appartenir ? Que ce sont des racistes ? Un peu court. De même le prêche en faveur du "vivre-ensemble", juste à tous égards mais aussi irénique quand les quartiers populaires se transforment en ghettos, que les communautés s’épient et parfois s’affrontent, que les cités concentrent tous les maux et que les villages vivent dans l’angoisse du délaissement.

    Bouc émissaire

    Dans ces conditions, l’identité et la nation deviennent le seul patrimoine de ceux qui n’en ont pas, tandis que le refuge identitaire rassure symétriquement les minorités laissées hors les murs. L’immigration devient naturellement, au sein de la population, le bouc émissaire de tous les ressentiments. Souvent elle explique la percée subite de tel ou tel parti de la fermeture. En Allemagne, en Suède, au Danemark, tous pays généreux et ouverts, elle a suscité une réaction politique ravageuse. En Italie, l’humiliation d’un pays laissé par l’Europe seul face à la vague migratoire de 2015, a propulsé la Ligue, jusque-là confinée au régionalisme du Nord, en tête des votes populaires.

    L’insécurité joue aussi son rôle. C’est l’impuissance de la démocratie philippine à contrer l’emprise des gangs qui explique la victoire de Rodrigo Duterte, qui les combat désormais avec des méthodes de gangster. C’est elle aussi qui a gonflé le score de Jair Bolsonaro, ce militaire nostalgique de la dictature en passe de conquérir dimanche le pouvoir au Brésil. Le rejet des élites, enfin, réunit la plupart des votes populistes. Élites corrompues, comme au Brésil ; élites retirées sur l’Aventin de leur prospérité, comme dans tant de pays, vivant dans un monde ouvert, protégé par la barrière des prix de l’immobilier dans les grandes capitales ; élites impuissantes, surtout, dont les promesses de redressement font long feu, dont le libéralisme économique et culturel crée incompréhension et colère, tant elles sont coupées du reste de la population.

    Quand la démocratie classique, conservatrice ou social-démocrate, ne parvient pas à soigner les maux de la société, cette dernière se tourne vers un régime plus musclé, plus intolérant, plus fermé, qui invoque le déclin pour nourrir un discours national agressif et l’immigration pour élever de nouveau murs et frontières. Sur ce point, la leçon des années 30 est toujours opérante. Faute d’avoir jugulé la crise économique, rendu un avenir à la nation, maintenu l’ordre civique, surmonté les fractures culturelles et sociales, les démocraties d’Europe (l’Italie, l’Allemagne, la Hongrie, la Pologne, l’Espagne ou la France) ont succombé l’une après l’autre sous les coups des fascismes. Pour avoir rendu l’espoir aux classes populaires, donné une perspective à la nation, réuni avec habileté une coalition politique autour de son projet, Roosevelt a vaincu les leaders populistes de son temps, Lindbergh, Huey Long ou le père Coughlin, alors même que la crise de 1929 fut plus violente aux Etats-Unis qu’en Europe.

    Danger

    La maison brûle et on regarde ailleurs. Vrai pour le climat, l’aphorisme vaut aussi pour la démocratie. Le danger est réel, palpable, immédiat. Les ingrédients du national-populisme sont présents, sous nos yeux. Les remèdes ? Ils sont faciles à énoncer. C’est la mise en œuvre qui manque. Une politique de l’immigration humaine, tournée vers l’accueil et l’ouverture, mais une ouverture organisée, aux règles stables et claires. Un refus républicain – tolérant mais ferme – de la dérive communautaire, qui est l’antichambre de l’affrontement. Une politique économique tournée vers la protection et la promotion des classes populaires, quitte à jeter aux orties le carcan délétère de l’orthodoxie. Des réformes sociales qui ne soient pas synonymes de sacrifices, demandés toujours aux mêmes, mais qui restaurent de manière tangible l’idée de progrès. Un projet pour la nation, qui lui rende sa vraie identité, fondée sur la justice et la liberté, à l’opposé des enfermements ethniques. Un comportement des élites, enfin, qui les sorte de leur tour d’ivoire et les réconcilie avec le reste de la population, par une compréhension des épreuves qu’impose la mondialisation aux peuples, par une attitude de respect et non de commisération lointaine. Cette condition est cruciale : sans elle, le dégagisme sévira encore, au bénéfice des ennemis de la liberté. Il faut une prise de conscience urgente. De toute évidence, nous en sommes loin…

    Laurent Joffrin


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    Déconstruction

    Si vous fréquentez le site guerre civile et yaourt allégé, vous avez déjà du voir et lire cet article

    Table rase

    Dans Nice Provence Info Michel Lebon fait un état des lieux des attaques que notre civilisation subit actuellement. Rien de nouveau, mais cela permet d'imaginer l’ampleur du désastre qui s'annonce et de son caractère inéluctable.

     ...et y découvrir un lien vers cette page, sinon ou pour les autres, je vous le re-poste en intégralité :
     
      Depuis quelques années nous subissons une déconstruction méthodique et soigneusement orchestrée de toutes les valeurs de notre civilisation multiséculaire. Par tous les leviers, le Nouvel Ordre Mondial — le N.O.M.— construit pas à pas un sous‐homme universel : un individu déculturé, sans racines, réduit à n’être plus qu’un consommateur lobotomisé. Un esclave hébété, comme l’avait parfaitement prédit Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes : "La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude."
      Par sa puissance financière abyssale, ce N.O.M. dispose de tous les pouvoirs. Celui des médias qu’il possède tous, celui de placer à la tête des États ses dirigeants politiques : ses banquiers tiennent les rênes de la France, de l’Europe, de toutes les grandes organisations internationales. Ce travail de sape se décline dans tous les domaines de ce qui fait (qui a fait) nos valeurs. Dans tous les recoins de notre quotidien, cette puissance frappe de façon insidieuse, sans jamais relâcher son effort ni sa détermination.
     
      Voilà un inventaire non exhaustif de toutes ces frappes "isolées". Ce n’est pas un inventaire à la Prévert, bien au contraire : réunies et mises en perspective, ces attaques démontrent la cohérence de l’ensemble.
     

    Attaque de la langue: écriture inclusive, novlangue… La langue est notre plus grande richesse. C’est par la richesse de son vocabulaire que nous déployons une pensée et que nous réfléchissons. Il faut donc l’appauvrir pour appauvrir la réflexion. La réduire à une forme de langage de type SMS, sans construction grammaticale, sans richesse sémantique, sans orthographe, donc sans précision.

    Attaque du savoir‐vivre: #balancetonporc s’est vite transformé en guerre des sexes afin de culpabiliser la galanterie de la rue en la réduisant à une vulgaire drague grossière. Les hommes et les femmes se regardent maintenant en chiens de faïence. Chacun s’isole.

    Attaque de notre humour: il est devenu interdit de rire de certains sujets. La dérision, condition de l’esprit critique, est bannie. Et si l’on rit, c’est sur des sujets autorisés.

    Attaque de notre culture: d’ailleurs, carrément, "il n’y a pas de culture française". selon le candidat Macron, actuel président de la République. Nos villes s’ornent de laideurs, parfois même à connotation pornographique, tel le Domesikator.

    Attaque du modèle naturel homme‐femme: théorie du genre, lobby LGBT, promo pour la GPA, PMA, etc. Arte se charge de votre (re)éducation : Tu mourras moins bête.

    Attaque par la crétinisation des masses:  présentateurs vulgaires et incultes, télé‐réalité (pour garder Brandon, tapez 1, pour éliminer Kevin, tapez 2), jeux débiles, etc. La crétinisation commence dès l’école primaire.

    Attaque par le Grand Remplacement dans les médias: valorisation systématique des minorités auxquelles il faut appartenir pour faire carrière dans les médias. C’est du reste officiellement annoncé par Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions.

    Attaque au nom de la laïcité: mais il ne s’agit plus de laïcité. Il s’agit de christianophobie. Les crèches sont interdites tandis que les prières de rue sont tolérées.

    Attaque par la culpabilité: nous devons faire pénitence pour les guerres de religion, l’esclavage, les colonisations brutales, les crimes contre l’humanité. Nous devons avoir honte de notre Histoire. Du reste elle n’est plus enseignée.

    Attaque par la Justice: de la mamie loto au Blogueur engagé, les têtes qui dépassent sont coupées. Mais dans le même temps, les passeurs d’émigrés clandestins bénéficient d’une bienveillante clémence.

    Attaque dans les réseaux sociaux: la France est championne du monde de la censure sur Facebook. Les médias subventionnés se sont autoproclamés censeurs de la presse.

    Attaque culinaire: le lait cru du moulé à la louche se pasteurise pour satisfaire les normes européennes. Faute de satisfaire les normes HACCP, les petits restos disparaissent pour laisser la place aux grands industriels de la malbouffe qui ne paient pas leurs impôts. On interdit la distribution de soupe au porc pour les SDF et on nous invite à manger des insectes. Le kébab remplace le jambon‐beurre tandis que le halal envahit subrepticement nos assiettes.

    Attaque des automobilistes: le conducteur est copieusement racketté pour combler un déficit budgétaire enkysté.

    Attaque par les banques: les comptes bancaires des dissidences trop fortes sont bloqués, voire fermés. De Génération Identitaire au Front National, l’argent fait taire les récalcitrants.

    Attaque par le cinéma revisité à la sauce diversité: un exemple parmi tant d’autres : Achille héros de la mythologie grecque est à présent joué par un acteur noir afin de "diversifier le contenu original et dépoussiérer les vieux genres cinématographiques" selon le metteur en scène.

    Attaque par la destruction méthodique du patrimoine: les églises sont au mieux détruites, sinon transformées en mosquées. L’État peine à financer l’entretien des cathédrales et envisage de faire payer les entrées.

    Attaque par la pub: la diversité est la règle, comme dans les médias. Le jeune à la mode, qui réussit et fait rêver, doit être un métis.

    Attaque par les codes vestimentaires: le voile envahit les centres‐villes et nos plages. Le saroual islamocompatible qui laisse la place aux couches‐culottes, remplace les pantalons.

    Attaque par la réécriture du roman national: les programmes d’Histoire sont réécrits. Nos ancêtres ne sont plus les Gaulois. Nous sommes tous les descendants de Lucy l’Éthiopienne. Sans transition, directement du singe africain amélioré au citoyen du monde.

    Attaque par la destruction de la monnaie: les règlements en espèces sont de plus en plus restreints et seront bientôt interdits. Point clé de notre liberté d’action, notre argent ne nous appartient plus. Une monnaie exclusivement virtuelle, traçable dans tous nos faits et gestes, se met en place. Fini les bas de laine, tout doit être sous le contrôle de votre banquier qui peut vous rayer du monde d’un clic de souris.

    Attaque par le Grand Remplacement: les émigrés clandestins arrivent par centaines de milliers avec la bénédiction papale et l’appui idéologique et logistique d’une nébuleuse d’associations "humanitaires" subventionnées par le milliardaire George Soros.

     

    J'ajouterais, cet article ayant été écrit en janvier 2018, avant les dernières attaques dévastatrices:

    Attaque contre le prestige et la grandeur de la Nation, malheureusement menée de main de maitre par celui qui devrait en être le gardien le plus scrupuleux (je veux dire "Emmanuel Macron, le plus jeune président de la Vme République Française"): l'affaire Benalla (la vraie, pas l'écume des deux jeunes gens chahutés par un faux CRS, la vraie avec toutes ses implications politiques et privées)... les photos de la techno-parade-gay ethnique sur les marches du Palais Présidentiel en compagnie d'une première dame extatique... le doigt d'honneur à la France brandi par un trafiquant de drogue, jeune antillais sexy en diable, en présence d'un président de la république française "pété de rire" (il y a des circonstances, parait-il, où il est difficile de contrôler une hilarité "nerveuse")... jusqu'à l’engueulade du même président par son épouse officielle et ancienne professeuse de lettre et de comédie et ancienne conseillère occulte au ministère des finances et ancienne sparring-partner pendant la campagne électorale  et nouvelle égérie de la presse people...

     

     

     


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  • vu sur L'Islam pour les Nuls

    "Exigeons un Référendum sur l’immigration"

     

     

    URGENT - faire suivre S.V.P.

    URGENT — Exigeons un Référendum sur l’immigration

    • Avertissement : Ce que vous vous apprêtez à lire est très sensible, et peut être perçu comme "offensant" par certains lecteurs.

    ------------

    •  Bonjour, je m'appelle Laurent Obertone.

    Je suis journaliste d’investigation et auteur d’enquêtes indépendantes.

    Mes livres, tels que La France Orange Mécanique ou Guerilla, se sont vendus à des centaines de milliers d’exemplaires en France et dans le monde entier.

    À moins que vous n’ayez passé les cinq dernières années dans une grotte, vous avez entendu parler de l’explosion des crimes et délits en France.

    Vous l’avez peut-être même subie de plein fouet.

    Je lançais déjà l’alerte dans La France Orange Mécanique, en 2013, car je prévoyais que cette explosion n’en était qu’à son début. Et les chiffres aujourd’hui le confirment.

    Les "violences gratuites", c'est-à-dire commises sans mobile crapuleux, font officiellement près de mille victimes par jour.

    Ainsi, chaque année, plusieurs centaines de milliers de Français, victimes de l’insécurité ordinaire, tombent sous les coups et parfois meurent pour un « vivre ensemble » qui n’a jamais été.

    Comme je le démontrais dans La France Orange mécanique, et comme l'attestent de nombreuses études, certaines communautés immigrées sont fortement surreprésentées dans cette criminalité.

    À l’époque, contre toute attente, les médias m’ont invité. Les politiques m’ont lu.

    Mais rien n’a été fait.

    Je pourrais vous noyer de chiffres sur les agressions, les viols, les cambriolages et le terrorisme...

    Mais il y a beaucoup plus urgent.

    La France va atteindre un point de rupture

    Je viens de publier un nouveau livre, "La France Interdite*, déjà en tête des ventes malgré l'épais silence médiatique qui l'entoure

    J’y démontre, point par point, que la France telle que nous la connaissons va disparaître d’ici quelques décennies - si les Français ne font rien maintenant.

    .../...

    ...je crois qu’une crise encore plus grave que l’explosion de la criminalité est sur le point de se produire.

    .../...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La suite de la lettre et la pétition sur https://damocles.co/referendum-immigration/?

    Exigeons du président Macron qu’il agisse d’urgence et lance un Référendum sur l’immigration

    76 % des Français souhaitent un référendum sur l’immigration (Ifop, 2018).

    75 % des Français estiment qu’il y a "trop" d’étrangers dans leur pays (seuls 11 % d’entre eux jugent" positif" l’impact de l’immigration).

    J'étais vers 17 h. 30, le 25 937me

    Je ne sais pas si ça va servir à grand-chose, mais ça ou ne rien faire d'autre...

     

     

     


    10 commentaires
  • Des problèmes...

    Rien ne va plus pour la gente politiquement correcte de l'Hexagonie (politicien·ne·s, journalistes, artistes, archevêques et autres femmes du monde)...

     C'est çui qui l'dit qui y'est...

    Le dernier livre d'Eric Zemmour caracole allègrement en tête des ventes; celui de Obertone prend le même chemin vers les hit-parades et Onfray fait une audience de dingue sur les médias où il est encore (provisoirement) invité sous le prétexte de parler de son dernier livre mais qui l'attendent au tournant, ce philosophe qui n'arrive pas au métatarse du maître Paul Ricoeur

    Les hommes et femmes politiques qui prétendent représenter le Gouvernement (hihihi...c'est nerveux !) sont tous saisies de tétanie aiguë et peinent à trouver une poignée de ministres à peu près présentables (à peu près...) pour donner l'illusion d'une bande de bons copains sympas qui veulent bosser vachement fort ensemble pour la gloire et la grandeur de la patrie.

    Les derniers sondages, en dépit des corrections et autres ajustements, continuent à donner le Front National et les Républicains de Wauquiez largement devant une éventuelle liste (hihihi...) La République En Marche (créditée, hors système officiel de moins de 18%) et, jamais aucun président de la République (hihihi...) [Votre Altesse,Votre Excellence, Mon Roy...] n'a été aussi impopulaire si peu de temps après son élection... en dépit de ses efforts uraniens (voir ce mot) autant que jupitériens auprès de tous les enfants de la République

    Les français continuent d'être contre l'invasion massive de clandestins l'accueil humanitaire des exilés politico-économico-climato-islamo-sociétaux sub-sahariens et, en-même-temps™, osent se plaindre de n'avoir parfois que quelques centaines d'euros mensuels pour vivre, au lieu de se réjouir de vivre dans un pays dont le président (hihihi...) a été désigné "champion de la terre" et veut marquer son quinquennat du sceau des travaux impérissables de Marlène Schiappa et d'Aurore Bergé. Et de la Banque Rothschild, accessoirement.

    En Europe, de plus en plus de populistes lépreux accèdent même partiellement au pouvoir, ou le frôlent de très près de plus en plus souvent à la faveur de différentes élections, malgré les avertissements, les menaces et les sanctions des chefs européistes de Bruxelles:  en Pologne, Hongrie,  Autriche, Bulgarie, Finlande, Grèce, Italie, Slovaquie, Norvège, Suisse, Suède, et même en Allemagne !

    Un peu partout, dans le monde, c'est la même chanson dont les échos étouffés nous parviennent malgré la censure molle et les dénigrements hypocrites. Le Québec réputé ouvert et progressiste vient de tomber dans l’escarcelle des islamophobes/racistes/homophobes/misogynes.. Le Brésil a failli élire dès le 1er tour un président "de (l'estrème) droite nostalgique de la dictature"... L'Australie "vire à droite" avec la montée du parti "One Nation"... Aux U.S.A. les conservateurs (pour ne pas dire "réacs" ou...) obtiennent partout (de la part des observateurs impartiaux) des satisfécits nationaux et internationaux pour leur politique économique et sociale... 

     

    Une solution...

    Indépendamment de ça, et suite à une vidéo sur un sujet qui revient régulièrement sur le tapis, comme s'il fallait tester les réactions du petit peuple (1), j'ai retrouvé cet article consacré à "l'hormone de l'amour" (2).

    "Malgré tous les efforts de propagande des médias subventionnés, malgré tous les chantages… 61% des Français sont toujours opposés à l’accueil des migrants ! C’était le résultat d’une enquête IFOP pour Atlantico publiée le 11 août dernier. (2017)

    "Et si c’était de chercheurs allemands que venaient la solution pour nos élites ?

    "De quelle manière peut-on réduire la xénophobie et renforcer l’altruisme ? C’est la question à laquelle ont tenté de répondre plusieurs chercheurs de l’université de Bonn sous la direction du psychiatre Rene Hurlemann.

    "Les chercheurs ont tenté de démontrer dans une étude que l’exposition à l’hormone "oxytocine" (OT) mêlée à l’augmentation de pression sociale améliorait significativement la propension à la générosité monétaire envers les migrants, même lorsque les sujets en ont une opinion défavorable. Cette étude a été publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS)."

    Un autre article précisait dans une conclusion (3):

    "De surcroît, même trahi, même floué, un individu sous OT demeurerait confiant."

    Tandis qu'un autre y allait carrément d'un article d'un autre ton (4):

    "Une équipe internationale de chercheurs demande d’employer une hormone, nommée hormone de l’amour, pour obliger les masses et surtout les opposants à l’import de migrants, à aimer les migrants.

    "L’hormone permet de lutter contre le racisme. L’équipe de chercheurs, dont des psychologues, a apporté la preuve que l’hormone permet d’augmenter l’envie d’aider les migrants. Cette hormone permet de modifier le comportement social.

    "L’hormone est tout simplement envoyée par spray sur les individus, c’est à dire que les individus sont gazés !

    "A part l’emploi de cette hormone pour aimer les migrants, nous pouvons décliner cette emploi (phrase) à plusieurs sauces : aimer Macron, aimer la guerre, aimer le nouvel ordre mondial…"

    Bon, je ne pense pas que les pouvoirs en place aient eu l'intention de faire des épandages massifs d'oxytocine par des drones au dessus des "territoires" (mais sait-on jamais ?)            

    Le rapport entre ces deux sujets ?

    Ben voila... je conseillerais bien à toute cette gente politiquement correcte de l'Hexagonie et de ses environs de sniffer un peu, pour changer, de cette hormone magique qu'ils envisageaient (presque) de nous imposer dans des vaporettes citoyennes publicitaires...

    Lutter écologiquement contre leur tendance à un vague début d'intolérance avec un produit bio, féministe et forcément équitable ... Ça pourra pas leur faire de mal pour affronter un proche futur qui..., que..., dont..., sait-on jamais...

     C'est çui qui l'dit...

                    

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    4 commentaires
  • Pour ceux d'entre-vous qui n'ont pas internet ("seniors" récalcitrants, ou économiquement faibles, ou résidents de zones pas couvertes par la mystérieuse 4G, je vous représente la célèbre lettre de Michel Onfray au président Macron, lettre qui servira peut-être de dictée dans les écoles de la République, après la Libération du pays à venir...

    J'y joins une seconde lettre du même pour le même, lettre légèrement excessive diront certains...    

    Tout ça va vous paraître très long, mais en fait, ça se lit très bien et relativement vite.

    Et ça a une autre allure que la déclaration de Francis Lalanne, venu proposer un "projet de société (!!!???!! ) chez Morandini) qui a été bien mieux médiatisée:

    "Je constate qu'il y a une sorte de fossé qui se creuse entre la vision que le Président a du monde qu'il voudrait être le nôtre et celui dans lequel nous voudrions vivre, nous. Une bonne partie du peuple de France ne se reconnait pas dans la vision du nouveau monde que nous propose Emmanuel Macron. Son nouveau monde et son ancien monde, c'est le même monde gouverné par l'intérêt et par l'argent.(...) Aujourd'hui, il aurait intérêt à écouter les propositions alternatives qui peuvent lui venir non pas des membres de son gouvernement, mais du peuple qui n'a pas la parole. Je sens qu'il n'est pas à l'écoute (...) Il aurait intérêt à écouter les projets alternatifs et à mettre les pouvoirs de la nation au service de ses projets. (...) Il faudrait qu'il sorte de cet espèce d’enfermement égotique dans lequel il s'enferme parce que il a des qualités. Ses talents qu'il a pour la communication, il devrait les mettre au service d'un vrai projet de société. Il se trompe de projet de société (...) Son projet de société ressemble tellement au projet de société qui existait avant le sien. Il n'y a pas de nouveauté."

    Si non, vous pouvez passer à un autre article (ou à un autre blog, si vraiment... mais je préférerais pas.)             

    Lettre ouverte au président Manu

    Votre Altesse,
    Votre Excellence,
    Votre Sérénité,
    Mon cher Manu,
    Mon Roy,
       La presse a rapporté il y a peu que tu avais nommé un gueux pour représenter la nation à Los Angeles. Il aurait pour seul titre de noblesse diplomatique, disent les mauvaises langues, les jaloux et les envieux, un livre hagiographique sur ta campagne présidentielle. En dehors de ce fait d’arme si peu notoire que personne n’en connaît le titre, pas plus d’ailleurs que celui des autres ouvrages du susdit, la plume est bien de celles qui se trouvent dans les parties les moins nobles de la profession : le croupion, car c’est celle que découvre le plus souvent la position de soumission inhérente à la fonction des gendelettres - la prosternation. De Sartre à BHL chez Sarko (après Mao), d’Aragon à André Glucskmann chez le même Sarko (après Mao lui aussi), de Drieu la Rochelle à Sollers chez Balladur (après Mao également), de Brasillach à Kristeva chez le Bulgare Jivkov (après Mao elle aussi), les cent dernières années n’ont pas manqué d’écrivains doués… pour l’agenouillement politique!
        Philippe Besson entre dans cette vieille catégorie du valet de plume, mais on sait désormais de quelle plumasserie ce jeune homme comme il faut relève. Ce genre de plume n’est pas celui des plus talentueux, mais c’est celui des plus vendus - je parle de l’homme, pas de l’auteur.
       Manu, on comprend que, toi qui aimes tant les lettres, tu aies envie de câlins venus des écrivains les plus à même de marquer le siècle et d’entrer dans la Pléiade quand tu seras redevenu banquier. Mais si ce siècle doit être marqué par toi, il n’y a pas grand dommage à ce qu’il le soit aussi par Besson le petit (à ne pas confondre avec Besson le grand, l’écrivain Patrick, ni avec Besson la championne d'athlétisme, Colette, ou bien encore avec Eric, le traître passé de Ségolène à Sarkozy en pleine campagne présidentielle, ou bien encore avec le Minimoy, Luc). 
       Avant d’être flagorneur, Besson-le-Petit a été directeur des ressources humaines auprès de Laurence Parisot, dame du MEDEF, mais aussi auteur de scénario de téléfilms, donc chevalier des Arts et Lettres. Convenons-en, tout ceci légitime l’affirmation d’Arlette Chabot, qui faisait déjà de l’éditorialisme politique à la télévision quand elle était en noir et blanc, la télévision, et n’avait qu’une seule chaîne. Courageuse, audacieuse, résistante, rebelle, insoumise, l’Arlette n’a en effet pas craint d’affirmer sur l’un des médias qui l’appointent que tout ceci était habituel: Napoléon n’avait-il pas nommé Chateaubriand en son temps et de Gaulle Romain Gary? En effet, en effet… Arlette, chère Arlette, vous qui avez déjà les grades de chevalier puis d’officier de la Légion d’honneur, je vous promets le grade supérieur pour bientôt! Si ce n’est déjà fait, car vous méritez d’y avoir votre rond de serviette, vous serez aussi bientôt invitée à la table de notre grand Mamamouchi en compagnie du vérandaliste Stéphane Bern et des frères Bogdanov, les éminents membres correspondants de la NASA française. 
       Votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, il a tout de même fallu, pour que cette affectation de copinage ait lieu, que tu prennes la décision d’un décret modifiant les règles de la nomination des diplomates afin que ce ne soit plus le Quai d’Orsay qui ait la main mais le gouvernement, c’est à dire, toi tout seul, chacun le sait. C’est ce que les langues vipérines qualifient de fait du prince… Le décret te permet désormais de récompenser des non-fonctionnaires, pourvu qu’ils aient été serviles. Bern ambassadeur chez l’impératrice Sissi ou les Bogdanov nommés pour la même fonction sur Mars, grâce à toi, c’est désormais devenu possible… La France redevient "great again"!
       J’ai appris qu’en même temps, tu avais rendu possible cet autre fait du prince: madame Agnès Saal a été nommée par un arrêté paru au Journal officiel "haut-fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations auprès du secrétaire général du ministère de la culture". En voilà un beau poste, et si moral en plus! Un beau jouet emblématique du politiquement correct de notre époque.
       Rappelons un peu le CV de l’heureuse élue que tu gratifies à son tour. Cette dame s’était fait connaître par des notes de taxi dispendieuses, plus de 40.000 euros tout de même, et ce en grande partie au profit de ses enfants, quand elle était directrice générale du centre Pompidou et présidente de l’INA, un institut que tu connais très très bien, n’est-ce pas? Pour ces malversations, elle avait été condamnée à six mois de suspension sans solde (probablement selon les principes de ce que l’on peut désormais nommer la jurisprudence Benalla…), puis à trois mois de prison avec sursis et une double amende. Elle avait été réintégrée en douce au ministère de la culture à l’été 2016 (il faut faire gaffe aux nominations d’été...) comme chargée de mission auprès du secrétariat général en vue de la finalisation de labellisation AFNOR sur l’égalité professionnelle et la diversité. 
       Précisons aussi ceci: selon Mediapart, la même madame Saal, décidément très récompensée - on se demande pourquoi - figurerait également "dans la liste très restreinte des hauts fonctionnaires, qui, par un arrêté du 3 août 2018 signé par le Premier ministre, ont été inscrits à compter du premier janvier 2018, donc rétroactivement, au "tableau d’avancement à l’échelon spécial du grade d’administrateur général". Ce qui, en d’autres termes, veut dire que, pendant les vacances du Roy à Brégançon, cette procédure qui ne relève pas du traditionnel avancement mais d’une volonté politique expresse, a permis à ladite dame de profiter d’une hausse de son traitement allant jusqu’à 6.138 euros par an, indemnité de résidence à Paris comprise, soit au total près de 74.000 euros de traitement annuel. S’y ajoute un supplément sous forme d’indemnité qui augmente sa retraite des fonctionnaires d’environ 10%. Quand tu aimes, mon cher Manu, ça n’est pas pour rien et ça se voit!
       Françoise Nyssen, rappelons-le pour les millions de Français qui l’ignorent encore, est ministre de la culture. C’est elle qui a mis en musique la mélodie sifflée à son oreille par le président. Face au déchaînement que cette nomination a légitimement suscité, elle fait savoir ceci sur les réseaux sociaux: "J’ai nommé Mme Agnès Saal (j’épèle : S . A . A . L,  car on pourrait mal orthographier…) haute fonctionnaire à l’égalité et à la diversité. J’ai fait de cette cause une priorité dès mon arrivée au ministère de la culture. La qualité de son engagement et de son travail au service de ces valeurs fondamentales devrait guider les commentaires aujourd’hui". On ignore quelle est la "cause" en question: madame Saal, ou les fameuses valeurs ici prises en ôtage?
       Mais Françoise Nyssen, c’est également l’éditrice qui a sciemment fraudé deux fois le fisc en ne déclarant pas de considérables agrandissements d’espace, une fois en Arles, au siège de sa maison d’édition, une autre fois à Paris. Le Canard enchaîné, qui a levé le lièvre, a chiffré la fortune économisée par ce double forfait! Ca en fait des APL pour les étudiants désargentés, je te jure!
      Qui se ressemble s’assemble. Dès lors, il était normal que, sous ton autorité, sous tes ordres, selon ton désir, selon ton souhait, selon ta volonté, selon tes vœux, mon Prince, mon Roy, mon grand Mamamouchi, le vice récompense le vice. En un peu plus d’un an, de Richard Ferrand à Alexandre Benalla, via cette dame Saal, tu nous y as déjà tellement habitués!
       Sais-tu, mon cher Manu, que des caissières qui ont utilisé à leur petit profit des bons de réduction de deux ou trois euros qui trainaient sur la caisse, ou que des employés de grand magasin qui ont mangé un fruit prélevé dans les rayonnages, ont été sèchement licenciés, eux, sans indemnités, sans planques payées par les contribuables et sans possibilité de retrouver du travail fort bien payé avec les avantages de la fonction à la clé? Probablement une nouvelle belle et grosse voiture avec chauffeur…
       J’ai appris aussi que ton si bon ami Benalla s’était rendu coupable de charmants forfaits depuis ceux que l’on a bien connus l’été dernier. Mais l’incendie a été joliment éteint - sûrement pas avec l’eau de la piscine que tu t’es fait construire à Brégançon, pas pour toi, oh non, bien sûr, mais par altruisme, pour les enfants du personnel de la résidence royale plus sûrement.
       En garde à vue, la police a souhaité perquisitionner le domicile de ton si cher ami Benalla. Elle voulait notamment accéder à son coffre-fort. Tenus par la loi à ne pas entrer dans l’appartement avant l’heure légale, les policiers ont posé des scellés le soir et attendu le lendemain. Mais le coffre-fort a été vidé dans la nuit! On a le bras long chez les Benalla puisque du commissariat on peut atteindre un coffre-fort chez soi en pleine nuit. Les quatre armes qui devaient s’y trouver n’y étaient plus - soit tout de même trois pistolets et un fusil, pour un homme qui n’a que deux mains, ça fait tout de même beaucoup… Sa femme avait les clés, il avait dit qu'elle était à l’étranger : elle se cachait en fait dans le seizième arrondissement de Paris. Il est vrai que pour de nombreux français cet arrondissement de nantis équivaut bien à un pays étranger. 
       Votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, il me semble tout de même qu’il vaut mieux faire partie de ta cour que d’être un senior amputé de sa retraite, être un plumitif courbé plutôt qu’un écrivain debout, être une énarque de gauche qui tape dans la caisse de l’Etat pour financer les transports de sa progéniture, plutôt qu’un étudiant à qui tu voles dans sa poche cinq euros d’APL, être un cogneur de manifestants avec un brassard de la police et une accréditation de l’Elysée qu’un syndicaliste défendant le droit du travail.  
       Votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, j’aimerais que tu m’aimes et ce pour trois raisons. La première: pour être nommé sans compétence consul des provinces et des régions françaises dans le sixième arrondissement de Paris, voire le seizième – tu le peux, je le sais, il suffit que tu le veuilles; la deuxième: pour permettre à ma vieille mère qui n’a pas son permis de conduire et qui a quatre-vingt-quatre ans, de pouvoir disposer d’un taxi gratuit à n’importe quelle heure du jour et de la nuit pour aller faire ses visites médicales à une demi-heure de chez elle, le tout payé avec l’argent du contribuable  tu le peux, je le sais, il suffit que tu le veuilles; la troisième:  pour avoir chez moi des armes à feu en quantité, mais aussi et surtout, pour pouvoir tabasser les gens qui me déplaisent en portant un casque sur la tête, en distribuant des coups de matraque et en disposant de CRS ou de la police comme couverture à mes descentes de petite-frappe - tu le peux, je le sais, il suffit que tu le veuilles.
       S’il te plait, votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu: veuille-le. Je te promets pour ce faire de me prosterner moi aussi, de montrer les plumes de mon cul aux passants, de dire du bien de toi avec des articles, des conférences et des livres, je te jure, j’irai sur les chaînes et les radios du service public pour certifier, comme Arlette Chabot, qu’entre Napoléon, de Gaulle et toi, il n’y a pas l’épaisseur d’une feuille de cigarette, Joffrin ne me reconnaîtra pas, il m’aimera peut-être lui aussi comme il a aimé jadis Bernard Tapie et Philippe de Villiers. Je pourrai écrire aussi une biographie de Stéphane Bern avec une préface de Brigitte ex-Trogneux, passer une thèse de physique quantique avec tes amis les frères Bogdanov comme directeurs de travaux. Je pourrais même consacrer un séminaire de littérature comparée à l’œuvre de Philippe Besson que je mettrai en perspective avec celle de James Joyce. S’il te plaît, tu le peux, tu es mon Roy. J’habite place de la Résistance à Caen, fais-moi signe.
       Veuillez, votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, mon chéri, recevoir l’expression de ma considération la plus courtisane. Vive la République, vive la France, mais surtout: Vive Toi !

    Michel Onfray, (le 5 septembre 2018)

     

     

    Michel... Michel... une autre !

     

    Michel Onfray n'a pas digéré sa mise à l'écart par France Culture, et semble y voir la main d'Emmanuel Macron. Sa riposte, dans une lettre ouverte au président de la République, publiée le 4 octobre sur son site personnel, est cinglante. D'aucuns diront même excessive, voire suicidaire, tant le philosophe se lâche et enfreint toutes les règles de la bienséance. Mais, selon Onfray, c'est Macron, par son attitude, qui autorise, voire appelle ce ton hautement irrévérencieux.

    Lettre à Manu sur le doigté et son fondement

    Votre Altesse,
    Votre Excellence,
    Votre Sérénité,
    Mon cher Manu,
    Mon Roy,
    Mais aussi :
    Mon Chéri,
      Je me permets en effet cette familiarité, mon cher Manu, car des photos t’ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison, luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu'au plus profond – si tu me permets l’expression… Ton sourire béat montre en effet que ta dilection va plus facilement à qui accompagne son selfie avec toi d’un doigt d’honneur qu’aux intellectuels qui n’ont pas l’heur de te plaire parce qu’ils ne te font pas la cour. Décidément, tu sembles n’aimer que ceux qui te font savoir leur amour d’une façon qui ne prête pas à confusion : il faut t’enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche, et passer plus de temps en salle de sport qu’en bibliothèque. Je comprends dès lors que le philosophe Etienne Balibar, avec lequel tu dis avoir rédigé un mémoire universitaire sur Machiavel, n’ait plus le souvenir de toi. Il n’est probablement pas assez couvert de sueur, trop âgé et trop intellectuel à ton goût.
      A ceux qui voudraient augmenter un peu leur culture, ce qui n’est pas de trop ces temps-ci, consultons l’encyclopédie en ligne Wikipédia, soyons fous ! Elle nous donne cette signification du doigt d’honneur : "Le majeur dressé autour des autres doigts baissés évoque un phallus et le reste de la main, un scrotum". Traduction pour qui ne maîtriserait pas toutes ces subtilités lexicales, il s’agit tout bonnement d’un "doigt dans le cul". Le doigt, on voit bien à qui il appartient, le cul, on se tâte – si je puis dire ! Est-ce le tien personnellement ? Auquel cas c’est ton affaire, mais n’en fais pas un étalage public : un président, ça ne devrait pas faire ça comme dirait l’autre… Ce cul, est-ce le nôtre en tant que tu incarnes la souveraineté populaire ? Est-ce celui de la France dont tu es le corps mystique ? On ne sait. Mais cette fois-ci, ça nous concerne. Et permets qu’on puisse ne pas jouir d’une pareille intromission dans notre intimité sans notre consentement. Demande à madame Schiappa : c’est la définition légale du viol.
      Quoi qu’il en soit de ce fondement et de son propriétaire, c’est proprement manquer de doigté envers la République que de se laisser mettre de la sorte en arborant ce sourire radieux qui témoigne de ton contentement. Pareil goût relève de ta vie privée qui est celle du second corps du roi, elle ne devrait pas affecter ton premier corps qui est politique et républicain. Ce sourire, c’est le même que tu arborais sur les marches de l’Elysée le jour de la fête de la musique en compagnie d’une brochette d’individus, eux-aussi férus de ce très subtil langage des signes. On ne dira pas que tu caches ton jeu. Il n’y a que les crétins pour feindre que tu dissimules. Tu es du genre à nous le mettre bien profond, pour dire clairement ce qui ne devrait pas te choquer sous forme de mots, puisque la chose te ravit quand elle se trouve exprimée sous forme de geste. Mais mettre ou ne pas mettre, là est la question…
      Or, cette question, tu l’as franchement résolue. Car, depuis quelque temps, tu montres en effet que, toi ou tes services, vous n’avez pas grand souci de la légalité (je ne parle plus de moralité, on sait désormais dans quelle estime tu tiens toute morale…), je parle de légalité. En adoptant cet angle de vue, on voit bien comment tu nous la mets, tu nous le mets, tu nous les mets… 
      D’abord, premier doigt, il y eut cette étonnante évaporation de tes bénéfices en tant que banquier chez Rothschild : tu sembles en effet avoir habilement fait disparaître cette somme considérable de ta déclaration de patrimoine avant les présidentielles. Quid en effet des cinq millions d’euros que tu as engrangés comme banquier pendant huit ans et dont personne ne retrouve la trace ? (source : "Cinq millions d’euros en huit ans, où est l’argent, Emmanuel Macron ?" dans Economie Matin du 16 février 2017). Cinq millions, ça en fait des billets de cinq euros que tu voles dans la poche des étudiants qui reçoivent l’APL !
      Ensuite, deuxième doigt, il y eut cette soirée de levée de fonds à Las Vegas qui a permis, via des facturations de Havas-Business, le prestataire de service de cette soirée apparemment effectuée sans appel d’offre, donc illégalement, de dégager de considérables marges, en dizaines de milliers d’euros, pour le candidat que tu étais alors. Qui organisait ce genre de soirée fort peu légale ? Muriel Pénicaud, ton actuelle ministre du travail (source : "Déplacement de Macron à Las Vegas : la très chère soirée organisée par Havas" dans Le Parisien du 8 juillet 2017). Fillon est tombé pour trois costumes : cette seule soirée t’aurait permis d’acheter des pardessus et des pantalons pour tout ton gouvernement et leurs cabinets pendant de longues années. Or, ce ne fut pas la seule soirée ayant permis des largesses à ton endroit.
      Troisième doigt, devenu président, il y eut l’affaire Benalla. Chacun a eu le loisir, durant ce feuilleton de l’été débordant sur la rentrée, de voir combien et comment tu couvrais qui te couvre. Entre mensonges, stratégies de communication, enfumage, intoxication, désinformation, instrumentalisation, bien malin qui peut désormais savoir où se trouve la vérité. Dans cette affaire, je veux n’en retenir qu’une. C’est une affaire dans l’affaire. Quand ton petit protégé s’est retrouvé en garde à vue, la police n’a pu effectuer une perquisition à son domicile pour cause de légalité : elle n’intervient pas la nuit. Comment se fait-il qu’une équipe ait pu être diligentée pendant ce temps-là au domicile de Benalla pour ouvrir son coffre et faire disparaître son contenu, dont des armes à feu ? Qui a dit quoi, et à qui, pour que ce forfait qui entrave la bonne marche de la justice ait été commis ? Et par qui ? Il faudrait demander à feu Gérard Collomb et lui demander si ça n’a pas un peu à voir avec sa récente démission… On ne fera croire à personne que ce faux cambriolage ait pu avoir lieu à cette heure, dans ce lieu, dans cet endroit de l’appartement d’un homme que tu protèges contre vents et marées, sans que tu sois un peu au courant ! Qu’y-a-t-il entre lui et toi pour que se trouvent détruites les preuves des coups tordus de cette affaire ? De quels doigts et de quels fondements symboliques, ou non, est-il ici question ? (source : "Affaire Benalla. Compagne introuvable, coffre-fort disparu… les zones d’ombre subsistent" dans Ouest-France du 23 août 2018)
      Puisque nous sommes dans la cambriole, ajoutons un autre forfait, ce sera le quatrième doigt, nous ne sommes pas bien loin de toute la main. Chacun sait désormais que la communication de monsieur Benalla, qui mettait tant dans l’embarras monsieur Collomb (un nom qui, je le jure sur ta tête, n’entre en rien dans ma métaphore filée du doigt et du fondement…), est pilotée par la Reine Mimi.
      Qui est Mimi ? Laissons parler les éditions Grasset qui publient bientôt une biographie non autorisée du personnage. Voici la quatrième de couverture du livre en question : "On l’appelle 'Mimi'. Michèle Marchand, la papesse des paparazzis, la gardienne des rumeurs, des secrets de la politique et des affaires. Elle collectionne les scoops sur les puissants mais elle a compris que le plus utile n’était pas de les vendre. Les posséder suffit. Et en parler, ici ou là. Elle ne dispose d’aucun titre officiel mais 'Mimi' se rend tous les jeudis à l’Elysée. Son agence de presse, Bestimage, a l’exclusivité de l’image de la Première Dame et de celles, privées, du couple Macron. (sic !) Une manne. Et une première. Jamais un couple présidentiel n’avait concédé un tel passe-droit à une 'petite marchande de photos'. Comment 'Mimi' a-t-elle pris le contrôle des secrets de Paris ? Pourquoi lui est-il accordé tant de privilèges ? Que sait-elle ? Que tait-elle ? Difficile d’enquêter sur cette femme, puissante et redoutée. Ses amis se taisent et ses obligés ont peur." Et puis ceci, qui ne manque pas de piment : "Garagiste, tenancière de boîte de nuit, mariée à des braqueurs puis à un policier, championne de ski, reine de la presse people… avant d’arriver au cœur du pouvoir. La vie de 'Mimi' est une énigme et un vertige."
      On comprend que ce vertige en donne à d’autres. Voilà pourquoi, fort étrangement, l’appartement de l’un des journalistes a été cambriolé. Par qui ? Toi seul le sait me semble-t-il. Ou Monsieur Collomb, qui a récemment fait ses valises… comme un voleur ! Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que l’équipe de monte-en-l’air qui a œuvré sur le coffre fort de Benalla était aussi de service chez l’un des biographes de la désormais fameuse Mimi. (source : "Un des biographes de 'Mimi' Marchand mystérieusement cambriolé" dans L’Obs du 26 septembre 2018).
      Pour les besoins de ma démonstration, je sais que tu me comprendras, j’ai besoin d’un cinquième doigt. De sorte qu’ainsi, nous pourrons franchement parler d’un "Fist Fucking" – autrement dit, pour ceux qui se trouveraient autant déroutés par cette expression formulée dans la langue de Shakespeare que par les subtilités lexicales du corps humain, voici une libre traduction de mon cru : "La main, puis tout le bras dans le cul". Tu m’excuseras toutes ces variations proctologiques, mais c’est toi qui m’y contrains, après avoir commencé aux Antilles…
      A plusieurs reprises, celui qui te sert de Benalla pour tes discours, Sylvain Faure, a fait savoir que tu n’appréciais pas un certain nombre d’intellectuels - dont ma pomme ! Il fut dit un temps qu’un genre de "cellule riposte" allait être mise en place pour répondre aux idées "nauséabondes", bien sûr, de ces personnes dont j’étais et dont je suis. Notre Sylvain avait alors sorti du chapeau les noms de Michel Serres et de Pierre Nora : tu voulais du sang neuf et rajeunir la société française, ces académiciens totalisent 174 ans à eux deux, c’est réussi. (source : "Le devoir de mémoire de Macron" dans Le Parisien du 11 juin 2017).
      Tout le monde a pu voir que tu étais capable de changer la loi pour récompenser Philippe Besson qui est à ta personne ce que Heidegger fut à Hitler, Sartre à Staline, Sollers à Mao puis à Balladur… Tu as en effet décidé de faire voter un texte permettant d’ouvrir une vingtaine de postes de consuls généraux supplémentaires à des fonctionnaires comme à des non-fonctionnaires afin de rendre possible ce hochet à offrir à ton ami avec l’argent de la République. (source : "Ce décret qui permet de nommer Philippe Besson consul à Los Angeles" dans Le Parisien du 30 août 2018).
      Un homme qui est capable de passer par-dessus la loi pour récompenser un intellectuel qui le…, qui le…, disons, qui chante ses mérites, n’aurait pas à se forcer beaucoup pour faire savoir combien il lui plairait que ce philosophe, qui lui déplaît, cesse de voir ses cours diffusés sur le service public ! Je dis ça comme ça ! Après la fraude fiscale, trois doigts, les cambriolages, deux doigts, la promotion d’un ami comme avers d’une médaille dont le revers est l’éviction d’un ennemi, cinq doigt, voilà, le compte est bon : la main est passée tout entier, le bras peut suivre…
      Voilà un an que Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, Mon cher Manu, Mon Roy, mais aussi : Mon Chéri, tu es au pouvoir. Et tu nous régales chaque semaine avec de nouvelles aventures. Il te reste quatre ans de règne.
      Je t’annonce une bonne nouvelle: comme je dispose de plus de temps pour moi depuis que mes cours à l’Université populaire sont passés dans la moulinette de ton rectum citoyen, je me réjouis de pouvoir t’annoncer que je t’écrirai plus souvent que je ne l’avais prévu lors de ma première lettre. Cette perspective nouvelle me donne le même sourire que toi, mais pour d’autres raisons : je suis ravi !
      On sait que le sage montre la lune et que l’imbécile regarde le doigt : pour ma part, j’en prend le ferme engagement, je ferai part égale entre la lune et le doigt…
      Salut Manu

    Michel Onfray, (le 4 octobre 2018)


    13 commentaires
  • Ho... les Verts...!

    Ho... les Verts...!

    Y a quelqu'un ?

    Vous êtes là ?

    Je ne sais pas si vous connaissez Charles Gave ?

    Il devrait, a priori, avoir tout pour plaire à M. Macron

    Moi, je ne connaissais pas...

    C'est un économiste, financier et entrepreneur.

    Français...

    Et catholique...

    Il est diplômé de l'Institut d'études politiques de Toulouse et possède un MBA de finance et gestion de l’université de Binghamton aux USA.

    En 1981, après l'élection de Mitterrand, il rejoint Londres "...pour des raisons idéologiques: [Il] refusai(t) de vivre dans un pays où des communistes avaient rejoint le gouvernement..."

    Il a écrit "Un libéral nommé Jésus", dans lequel il explique qu’il voit dans l’enseignement des Évangiles le deuxième pilier de la civilisation européenne inséparable du premier, la logique aristotélicienne...

    Dans ses prises de position, il prône une diminution du poids de l’État, centré mais fort sur ses fonctions régaliennes. Il est rejoint par Yves de Kerdrel qui ajoute qu' "une société sans État ne peut pas connaître de développement économique. Mais une société avec trop d'État crève. Et c'est ce qui arrive aujourd'hui à la France"

    etc... etc...

    Il a tout pour vous déplaire, donc...

    Et même plus. Croyez moi...

    Et vous seriez en droit (selon votre conception personnelle du droit) de vous demander de quoi il se mêle à venir parler d'écologie dans votre petit pré, à la place des 20 écologistes "qui comptent" en France:

    1. Dany Cohn-Bendit, le patriarche grincheux
    2. Cécile Duflot, la patronne
    3. Nicolas Hulot, "l'hélicologiste" déçu
    4. Eva Joly, l'ancienne candidate
    5. Pascal Durand, l'ex-numéro un d'ouverture
    6. Emmanuelle Cosse, la nouvelle génération
    7. Jean-Vincent Placé, le cardinal
    8. Yann Arthus-Bertrand, le militant médiatique
    9. Dominique Voynet, la fondatrice
    10. Noël Mamère, le révolté
    11. François de Rugy, le co-président des députés
    12. José Bové, l'agriculteur européen
    13. Chantal Jouanno, la droite verte
    14. Pascal Canfin, l'autre ministre
    15. Esther Benbassa, l'intellectuelle engagée
    16. Yannick Jadot, l'ancien de Greenpeace
    17. Corinne Lepage, l'écolo centriste
    18. Philippe Meirieu, le pédagogue
    19. Yves Cochet, le décroissant
    20. Brice Lalonde, l'inclassable

    (qui seraient des personnalités incontournables, selon le huffingtonpost)

     

    Encore une chose: il écrit régulièrement dans "Institut des Libertés" dont il est le président.

    Je ne le connaissais et je viens de découvrir, par hasard, un de ses textes récent daté du 10 septembre 2018 comparant l'écologie à une nouvelle foi:

    L’écologie , une nouvelle Foi

    L'auteur y évoque un article rédigé par un sociologue "spécialiste de la presse" qui remarque que: "Depuis la chute du mur de Berlin, le nombre d’articles catastrophes dans la presse s’était accru de façon vertigineuse" et la raison en serait que "L’un des rôles des journaux [étant...] de maintenir le bon peuple dans la crainte constante que quelque chose de   désastreux est à la veille de se produire... et que tant que les communistes au couteau entre les dents étaient la, ce n’était pas vraiment la peine de se fatiguer à créer des dangers imaginaires tant il y en avait un bien réel et bien sinistre" mais: "Une fois le mur tombé, il fallait de toute urgence trouver quelque chose pour maintenir le peuple dans une obéissance de bon aloi."

    D'après lui, l’Écologie Politique, a été initiée à l'origine par le Club de Rome, fondé (je cite) par David Rockefeller, également fondateur du groupe Bilderberg et de la Trilatérale - qui sont des organisations tout à fait officielles mais assez discrètes- et rapidement par la suite (je cite): "On voit se remettre en place le vieux mécanisme de manipulation... Et donc fut inventé le réchauffement atmosphérique créé par l’activité humaine. Et bien entendu, ce problème ne peut pas être réglé par chaque Nation mais réclame, comme chacun l’a déjà deviné un gouvernement mondial..../...et ceux qui disent le contraire sont les mêmes que ceux qui nient l’existence des camps nazis...

    Suivent de longues et nombreuses explications, démonstrations et arguments (négation ou minimisation de phénomènes naturels récurrents constatés historiquement, maquillage des données et des statistiques contemporaines, manque de précision des modèles climatiques établis sur des durées non-significatives et des prévisions économiques, technologiques ou humaines imprécises, etc...) qui pourraient justifier le climato-scepticisme incorrect de certains spécialistes.

    Hé... Ho... les Verts...!

     

    Un site de climatologues réfractaires est ici et la liste des réfractaires aux théories officielles est

    L'intégralité de l'article sur: http://institutdeslibertes.org/lecologie-une-nouvelle-foi/

    C'est un vaste débat qui a déjà enflammé la blogosphère tout en jetant parfois un froid entre blogueurs pro ou anti auquel je ne souhaite pas apporter de conclusion formelle: si, ni René Dumont, ni Antoine Waechter, ni Ségolène Royal, ni François De Rugy, n'ont rien pu faire.. je n'ai pas de meilleure idée que leur vide.

    Ho... les Verts...!

    Vous êtes toujours là ?

    C'est bien...

    Mais je vous laisse. Une question me tarabuste:

    S'il y a une (même toute petite, petite) part de vrai dans ces affirmations, alors, messieurs Nicolas Hulot ou Daniel Cohn-Bendit (pour ne citer qu'eux, et c'est les premiers noms qui me viennent à l'esprit) sont-ils les suppôts clandestins d'une sorte de manipulation internationale politico-financière ou de quelques lobbies des "Gros-Sous" et de la "Bien-Pensance" réunis, ou sont-ils de braves gogos qui sautent à pieds joints dans la première carabistouille croquignolesque venue ?

    J'aurais bien une idée, cette fois.

     

     

     


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