• Un "paysan savoyard"

     

    L'article ci-dessous, que je repends intégralement, a été initialement publié le 1er juin sur son blog d'origine. ce qui laisse supposer qu'il a commencé à être rédigé au moins quelques jours avant...

    ...avant la "marche (interdite donc illégale) de solidarité avec les 'sans-papier' (clandestins, donc illégaux)" -exigeant d'être accueillis et acceptés dans un pays qu'ils méprisent et condamnent-, qui a vu défiler plus de 5 000 personnes en toute impunité de la part des "autorités de la République" avant de se terminer sur la place parisienne du même nom aux cris de "Allah akbar"

    ...avant la manifestation (interdite, donc illégale), ayant rassemblé entre 20 et 40 000 personnes et fait pour environ 1 000 000 d'€ de dégâts, pour exiger de la justice républicaine qu'elle rende un verdict conforme aux exigences maintes fois réitérées de la famille d'une " victime innocente des violences racistes et policières" (ce qui ne va pas tarder à lui être accordé après plus de 4 ans d'agitations), le tout se terminant en chanson, avec hymne des "black-panthers" américains appelant à prendre un fusil contre la police... 

    ...avant les manifestations "pacifiques" "de solidarité" et "de soutien" envers un délinquant (noir) assassiné ("froidement") par un policier (blanc) quelque part aux Etats-Unis. manifestations ayant essaimé sur toute la planète, et jusque dans les villes françaises les plus étrangères à ce problème presque quotidien outre-Atlantique entre policiers (de toutes races) et délinquants (de toutes races, ou presque). Manifestations guidées par on ne sait quelles mains invisibles... pacifiques mais ayant débouché sur des pillages massifs généralisés de magasins de vêtements de sport "de marque" et de matériel électronique et informatique et sur des humiliations sans précédent des blancs (forces de police comprises) obligées de s'agenouiller devant une foule racisée, hostile et méprisante, pour expier des fautes imaginaires et fantasmées...

    ...avant les manifestations (interdites, donc illégales) de ce jour qui entendent lutter contre "le racisme dans la police". Illégales, mais avec l'appui tacite et bienveillant du ministre de l'Intérieur (et des cultes ...!?) qui donne implicitement ou ouvertement raison à des Omar Sy, Camelia Jordana ou Mathieu Kassovitz et à la famille Traoré, face aux policiers, victimes depuis de longs mois, d'insultes, d'humiliations et de guet-apens et de violences quasi quotidiennes dans les "quartiers difficiles" et les "banlieues défavorisées"...

    ...avant que le pouvoir ne s'inquiète officiellement des dérives violentes prévisibles de ces manifestations virant régulièrement à l'émeute en attendant la guerre civile annoncée... boucle à moitié certains quartiers de Paris, mais s'abstient totalement de réagir avec un minimum d'autorité pour "ne pas mettre d'huile sur le feu"... Incompétence, lâcheté ou complicité ?

    Tout ça y est analysé, expliqué, décrypté : mondialisme et tiers et alter-mondialisme, culpabilisation et repentance et soumission, reniement de soi, démission et pacifisme, déni du réel, "modernité" et progressisme, etc...

    La fin assurée et assumée de la civilisation européenne, c'est pour maintenant.

    bedeau


     

     

    Un article repris du blog :  

    "Les chroniques de Paysan savoyard"

    "la fin probable de la civilisation européenne"

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

     

    "Il faut maintenant répudier l’idéologie républicaine"

    (avec la permission de l'auteur)

    Pour les peuples français et européens les évolutions de ces dernières décennies ont selon nous été catastrophiques. Elles ont pour la plupart été initiées par les Américains, vainqueurs de la seconde guerre mondiale, qui ont transformé les Etats européens en vassaux. La société de consommation a engendré l’exode rural, déstructuré les sociétés et abîmé l’environnement. La mondialisation, lancée dans les années quatre-vingt-dix, à l’instigation des Etats-Unis, a été également gravement nuisible, en particulier du fait des délocalisations qui, en France notamment, ont en grande partie détruit l’industrie et mis au chômage des régions entières. Quant à "la construction européenne", elle n’est qu’un maillon et un instrument de la mondialisation.

    Au-delà même de ces évolutions récentes c’est plus fondamentalement la modernité dans son ensemble qui nous paraît néfaste. Les idées modernes se sont imposées en France avec la révolution de 1789, avant d’être diffusées dans le reste de l’Europe. La plupart des aspects de la société moderne et la plupart de ses valeurs nous paraissent mauvaises. L’individualisme, qui détruit les structures et les cadres de la société collective traditionnelle. L’idée de progrès, qui entend congédier le passé. La laïcité, machine de guerre contre le christianisme, qui est la religion des Européens. L’égalité, ce leurre et ce vice. La démocratie, illusion et mensonge là encore. 

    Il faudrait nous semble-t-il tout à la fois remettre en cause la société de consommation, mettre fin à la mondialisation et à la soi-disant "union européenne, se libérer de la tutelle américaine et combattre la modernité elle-même dans nombre de ses aspects… Voilà qui paraît bien illusoire.

    Certaines ruptures pourtant sont urgentes et vitales si nous voulons conjurer le danger immédiat qui nous menace dans notre existence même : l’invasion migratoire en cours qui, si elle se poursuit, va détruire l’Europe, ses peuples et sa civilisation. Cette invasion migratoire est voulue, suscitée et organisée par la classe dirigeante, qui entend par là à la fois accroître ses pouvoirs et ses profits et servir son idéologie mondialiste. Si nous voulons vivre il faut donc nous débarrasser de cette classe dirigeante qui nous trahit. Et au préalable congédier son idéologie, qui est à la source de la politique d’invasion migratoire qu’elle conduit.

    Répudier la conception républicaine de la nation

    La nation selon-nous ne peut être que "charnelle". Elle est un territoire, celui sur lequel ont vécu les ancêtres. Elle est une religion commune. Une culture commune. Des mœurs communes. Et elle est une même race. C’est ainsi que les peuples européens, avec leurs différences, appartiennent tous à la civilisation européenne, qui peut se caractériser ainsi : religion chrétienne, culture gréco-romaine, mœurs européennes, race blanche. Avec leurs spécificités, leur histoire particulière, leur territoire propre, les différentes nations européennes partagent ce tronc commun à forte dimension charnelle.

    Tenants de l’idéologie moderne, celle des Lumières, les républicains, au pouvoir depuis deux cents ans, promeuvent une autre vision de la nation, non plus "charnelle" mais "idéelle". Pour les républicains, la nation est la volonté de vivre ensemble autour de valeurs communes, celles de la république.

    La nation idéelle présente on le voit plusieurs différences fondamentales d’avec la nation charnelle. Dans le cadre de la nation idéelle, premièrement, il n’y a plus de lien charnel entre les membres de la nation mais une communauté d’idées et de valeurs. Tandis que la nation charnelle, deuxièmement, est un fait, qui préexiste aux individus, c’est volontairement que ceux-ci adhérent aux valeurs de la nation idéelle. Troisièmement, enfin, la nation idéelle n’a plus d’ancrage territorial : elle est hors-sol et désincarnée.

    Pour les modernes, la France est donc avant tout une idée –la république– le concept de république précédant et l’emportant sur la référence au territoire : c’est la "république française". Quant au passé de la France antérieur à l’avènement de la république, il est rejeté dans les poubelles de l’histoire.

    Cette conception idéelle de la nation nous paraît profondément fausse. C’est une utopie, désincarnée, arbitraire, artificielle, qui ne correspond en rien à ce qu’est la condition humaine. Mais au-delà de la controverse théorique il faut souligner, et c’est ce qui nous intéresse ici, que cette conception est à la base de la politique d’immigration massive.

    En effet c’est leur conception même de la nation comme communauté de valeurs qui incite puissamment les républicains à promouvoir l’immigration. En mixant des populations de toutes origines, l’immigration et le métissage érodent et détruisent le lien charnel et racial qui existait entre la nation, son territoire et sa population. Minant de l’intérieur la nation charnelle, l’immigration dégage le terrain, aux yeux des républicains, pour la construction d’une nation idéelle. C’est pourquoi les républicains sont favorables par principe à l’immigration, quitte affirment-ils à l’encadrer et à la réguler.

    Afin de manifester le fait que l’appartenance à la communauté nationale n’a rien à voir avec les liens de sang, les républicains promeuvent en outre une attribution massive de la nationalité à ceux qui sont établis sur le territoire ainsi qu’à ceux qui y naissent, en vertu de ce qu’ils nomment un "droit du sol".  L’attribution massive de la nationalité leur fournit ainsi un argument d’apparence puissante pour rendre l’immigration irréversible : "les immigrés ayant pour la plupart la nationalité française, ils appartiennent à part entière à la communauté nationale et leur présence définitive en France ne peut plus se discuter" affirment-ils.

    Il est intéressant de mettre en évidence la façon dont les républicains se sont débrouillés pour concilier leur théorie de la communauté de valeurs avec la réalité de l’immigration non européenne telle qu’elle a commencé à la fin des années cinquante. Dans un premier temps les républicains ont soutenu que les immigrés choisissaient la France parce qu’ils aspiraient à y partager les valeurs d’égalité et de liberté. L’immigration devenant massive, les républicains ont ensuite été forcés d’admettre que les motivations des immigrés n’avaient pas grand-chose à voir avec la volonté d’intégrer une communauté de valeurs : ils ont alors prétendu que, même lorsque l’immigration était motivée par des raisons économiques et sociales, "l’immense majorité des immigrés" n’en acceptaient pas moins les valeurs essentielles et choisissaient par exemple de pratiquer un islam "à la française", républicain et laïc. Mais la réalité des faits rendait de nouveau cette position intenable : les républicains ont dû reconnaître, dans un troisième temps, que de nombreux immigrés, loin de partager les valeurs en question, en rejetaient certaines violemment, à commencer par la laïcité ou l’égalité entre hommes et femmes. C’est alors que les républicains ont procédé à l’une de ces pirouettes conceptuelles et sémantiques dont ils ont le secret : ils se sont mis à affirmer que, si la nation est certes une communauté de valeurs, les valeurs en question ne sont pas pour autant figées ni immuables, mais qu’elles peuvent au contraire évoluer, se renouveler et s’enrichir, grâce notamment à l’apport des personnes originaires de l’immigration. Cette gymnastique conceptuelle osée n’a pourtant pas suffit et un quatrième temps s’est rapidement imposé aux républicains et à leurs illusions. Les faits démontrant chaque jour un peu plus qu’il ne pouvait y avoir ni assimilation, ni intégration, ni communauté de valeurs que celles-ci soient évolutives ou non, l’élite au pouvoir a décidé de prôner désormais le "vivre-ensemble", c’est à dire une simple coexistence, si possible pacifique, entre des communautés ne partageant rien d’autre que la présence sur un même territoire. Notons que ces glissements successifs et ces reculs en rase campagne n’empêchent nullement les républicains de continuer à pérorer sur la conception républicaine de la nation et la communauté que nous constituons "autour des valeurs républicaines qui nous réunissent", ainsi que l’avait fait par exemple l’inénarrable M. Schiappa face à E. Zemmour. [1] 

    Notons également que les républicains sont désormais débordés sur leur gauche : ils sont en effet en concurrence avec les islamo-gauchistes, qui ont pris fait et cause pour les immigrés et perçoivent les valeurs républicaines et l’objectif d’intégration comme des manifestations insupportables de la domination des blancs.

    Si nous voulons vivre, il faut nous débarrasser de la conception républicaine de la nation, qui est au service de la politique d’invasion. Contrairement à ce qu’affirment les républicains et autres utopistes issus des "Lumières", les nations d’Europe ne sont aucunement des communautés de valeurs abstraites, mais des territoires ancrés dans le passé et dans la vie concrète des générations qui se sont succédé. Ces nations et ces territoires appartiennent aux peuples européens autochtones, unis par les liens multiples de l’histoire, de la culture et du sang. Quant aux personnes originaires de l’immigration qui possèdent la nationalité du pays d’accueil, elle leur a été donnée par les républicains, dans une perspective idéologique de destruction des Européens d’Europe : elle ne leur octroie dès lors aucun droit de se maintenir sur nos territoires.

    Congédier l’universalisme des Lumières

    La république se veut universelle, de même qu’elle juge universelles les valeurs qu’elle promeut. C’est dans cet esprit qu’elle adopte dès 1789 la déclaration universelle des droits de l’homme. L’universalisme vient compléter et renforcer la conception idéelle de la nation : la nation est l’adhésion à des valeurs et ces valeurs sont universelles.

    Il en résulte que la nation française a dans l’esprit des républicains un rôle universel : ainsi que l’indique là encore le titre dont elle s’est parée, la "république française" se donne pour mission de répandre partout dans le monde l’idée républicaine et d’y faire partager ses conceptions.

    C’est pourquoi également les républicains se vivent comme des "citoyens du monde". Ils considèrent qu’un monde universel, gouverné par les mêmes valeurs universelles et débarrassé des frontières, se détachera par là-même des haines nationales et des affrontements entre peuples. Le nationalisme, au contraire, doit selon eux être condamné et rejeté parce qu’il porte en lui l’antagonisme, le racisme et la guerre.

    Ajoutons cette précision. La révolution française a engendré deux familles d’héritiers, les républicains d’une part, les communistes d’autre part, continuateurs de la révolution "communiste" de 1792-1794. Comme les républicains, les communistes sont eux-aussi universalistes : ils aspirent à l’union des prolétaires de tous pays.

    Comme l’est la conception de la nation idéelle, la vision d’une république à vocation universelle constitue également, selon-nous, une utopie abstraite, désincarnée et folle. A l’instar des autres valeurs républicaines, l’universalisme est une idée née en Europe et elle n’est partagée que par une partie des Européens et des Occidentaux. Toutes les autres régions du monde en sont à mille lieues. Aucune ne se voit partie prenante d’un monde de citoyens du monde. C’est pourquoi la "communauté internationale" auxquels les Européens se réfèrent en permanence n’a pas d’existence. Seules existent de grandes zones géopolitiques, souvent dominées par la nation la plus puissante de la région, et en concurrence entre elles. Si l’on souhaite raisonner en fonction du réel il faut donc rejeter l’idée universaliste. Chaque grande région du monde devrait pouvoir se gouverner de façon autonome, notamment sur le plan économique, et selon ses valeurs propres. Quant aux Etats, leur rôle et leur justification sont de s’occuper du sort du peuple dont ils sont l’émanation : ils ne sont aucunement comptables des intérêts d’une soi-disant "communauté internationale", qui n’a pas de réalité.

    L’idée universaliste ne constitue pas seulement une utopie, sans lien avec la réalité des sociétés humaines : elle doit être rejetée également parce qu’elle est, pour nous Européens, dangereuse et mortelle. C’est elle en effet qui est à l’origine des deux décisions les plus catastrophiques prises depuis cinquante ans en Europe. La mondialisation et la disparition des frontières économiques tout d’abord, qui comme nous le notions plus haut a bousculé les sociétés européennes, détruit une grande part des activités industrielles, ruiné les équilibres sociaux et déstabilisé la classe moyenne. Surtout l’universalisme et sa volonté d’abolir les frontières –No Border– est à la base de la politique d’immigration massive, qui est en train de déboucher sur l’invasion de l’Europe et la destruction des sociétés européennes.

    Si nous voulons vivre, il faut maintenant congédier l’universalisme, se débarrasser des concepts illusoires de valeurs universelles et de communauté internationale et rejeter d’urgence leurs fruits empoisonnés, la mondialisation et l’immigration.

    Rejeter le pacifisme

    L’universalisme et le mythe de la communauté internationale ont installé le pacifisme et le rejet absolu de la guerre au cœur des mentalités européennes. Le refus de la guerre, l’idéal de paix universelle, le rêve d’un monde pacifié par le doux commerce et le droit sont, là encore, des illusions caractéristiques de l’idéologie des Lumières. Si les Européens conservent cette façon de voir, ils sont condamnés d’avance. Les populations qui nous envahissent, en effet, ne sont nullement pacifistes, ont l’habitude de la violence et sont avides de conquête et de revanche.

    Disons les choses autrement. La guerre est partie intégrante de la destinée des sociétés humaines. La guerre destinée à se défendre est légitime. Une société qui refuse la guerre même pour se défendre est d’avance soumise et déjà détruite.

    Se délester du sentiment de culpabilité

    Depuis la fin de la guerre, et plus exactement depuis les années soixante, les pays européens sont les victimes d’une entreprise de culpabilisation visant à les déstabiliser, à les inhiber, à les désarmer, à les transformer en pays dominés, passifs et soumis. Cette entreprise est menée par les milieux de gauche, en Europe et aux Etats-Unis, et plus généralement par tous les tenants de l’idéologie moderne. Les Européens sont mis en cause pour les croisades. Ils sont dénoncés pour avoir organisé l’esclavage. Ils sont accusés d’avoir procédé à la Reconquista et détruit l’Espagne arabo-andalouse "modèle de tolérance et de haute culture". Ils sont montrés du doigt pour avoir mené la colonisation. Surtout les Européens sont accusés pour leur collaboration avec le nazisme et le génocide des juifs. La France est l’une des cibles principales de ces entreprises de culpabilisation.

    Cette propagande culpabilisatrice repose sur un grand nombre de contre-vérités. C’est ainsi que les Croisades ont été précédées et provoquées par la conquête arabe de la Méditerranée. Pour ce qui est de l’esclavage, pratiqué partout et de tout temps, ce sont les Européens qui les premiers l’ont aboli, tandis qu’il est toujours bien présent aujourd’hui encore dans la zone arabo-musulmane. La colonisation était sans doute contestable en son principe mais elle n’a pas eu que des aspects négatifs : elle a par exemple empêché les conflits tribaux en Afrique, lesquels ont repris de plus belle après les indépendances. Surtout elle n’explique en rien les difficultés auxquelles les Africains sont aux prises : racisme, guerre, absence de contrôle de la démographie… S’agissant de la France et de la période de la seconde guerre mondiale, le régime de l’Etat français a certes collaboré avec l’Allemagne mais il ne mérite pas pour autant l’opprobre absolu dont il est aujourd’hui accablé. D’abord parce qu’il était à la tête d’un pays vaincu, ce qui limitait par nature sa marge de manœuvre. L’armistice a permis à l’Etat français de rester souverain sur une partie importante du territoire pendant la moitié de la guerre. Enfin, si Vichy a dû livrer aux nazis les juifs de nationalité étrangère, il a en revanche conduit une politique de protection des juifs français.

    Bien que globalement mensongère, la propagande accusatrice a été efficace. La plupart des Français se sentent aujourd’hui tellement coupables qu’ils se refusent à réagir contre le processus d’invasion de leur pays qui est en cours. Ils consentent par avance à leur mise en minorité sur leur propre sol, se soumettent d’emblée à l’islam conquérant, supportent sans broncher la délinquance massive née de l’immigration, acceptant toutes ces évolutions mortifères comme des châtiments.

    Si nous voulons vivre, il faut en finir avec la culpabilité. Tous ces événements que l’on ressasse et dont on nous accable sont de toute façon anciens et ne sont imputables en rien aux générations de Français vivant aujourd’hui. Il faut aujourd’hui proclamer notre droit à l’existence. Notre droit à la préservation de notre identité. Notre droit d’être nous-mêmes, maîtres de notre destin et de notre territoire. Notre droit d’assurer notre propriété sur nos territoires et ce par tout moyen. Nous devons affirmer que l’Europe nous appartient à nous les Européens et que les personnes originaires d’autres continents devront pour la plupart regagner leurs patries.

    **

    Redisons-le pour conclure. La politique d’immigration a une motivation mercantile : la classe dirigeante occidentale veut abattre les frontières pour accroître encore ses profits et ses pouvoirs. Mais elle a également une dimension idéologique : l’immigration est un produit et une conséquence de l’idéologie universaliste républicaine.

    Si nous voulons vivre nous devrons nous débarrasser de nos dirigeants. Pour ce faire il nous faut d’abord révoquer leur idéologie. Pour nous empêcher de réagir, pour nous inhiber et pour nous soumettre, l’oligarchie nous enferme dans son propre cadre conceptuel : il nous faut désormais nous en défaire. Avant de pouvoir libérer notre territoire il faut nous libérer de cette idéologie.

     

    [1] Eric Zemmour face à Marlène Schiappa sur le Grand Remplacement et la discrimination ("Face à l'Info" - 11/02/2020)

     

     

     

    « (ne partagez pas cette info)Mon copain Manu.. »

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  • Commentaires

    1
    Le Page
    Samedi 6 Juin 2020 à 17:13

    Tout est parfait. Reste à mettre en œuvre le "Il faut que..."

     
    What do you want to do ?
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      • Dimanche 7 Juin 2020 à 14:44

        @ Le Page...

        J'ai considéré ce texte essentiellement comme une analyse pertinente des causes et conséquences des maux actuels de la société occidentale...

        La suite, ce n'est pas gagné d'avance...

        on peut y réfléchir à titre individuel : si je suis choqué par la décision du "Président de la République Française" célébrer le 14 juillet avec un service minimum (par peur des suites de l'épidémie du coronavirus, ou par peur des huées et des sifflets populaires ?) parce que c'est un affront à l'histoire de France, *en même temps* qu'une manœuvre pré-électorale. J'avoue que le choix d'une autre date de la Fête Nationale ne m'aurait pas choqué -on évoque parfois celle du baptême de Clovis- plutôt que celle-ci qui prélude à des années de Terreur "révolutionnaire", dont certains rêvent encore aujourd'hui.

         

    2
    Samedi 6 Juin 2020 à 19:25

    Hé bé mon colon!

      • Dimanche 7 Juin 2020 à 14:53

        @ Pangloss...?

        Comme vous dites !

        mais ne soyons pas plus royaliste que le Roi...

        (la bienséance m'interdit de....bad quel roi !)

         

    3
    Samedi 6 Juin 2020 à 20:32
    Carine
    Si un Blanc obligeait un Noir à s'agenouiller devant lui, on imagine les réactions.
    Là, les blancs dégénérés font allégeance aux Noirs.
    Les deux schémas sont insupportables.
    Tout cela est organisé sur fond de scandales scientifiques d'après covid et de crise économique fulgurante, qui mettra les hordes sauvages dans les rues, pour tuer et piller.
    L'avenir n'est pas tout rose.
      • Dimanche 7 Juin 2020 à 15:37

        @ Carine...!

        Pour rester dans notre "bonne vieille" France.

        Tant que nos gouvernants (là aussi, la bienveillance, etc...) laisseront des personnes comme Camelia Jordana, Mathieu Kassovitz, Virginie Despentes et combien d'autres affirmer leur haine de la société qui a fait ce qu'ils sont (ou croient être) et prendre la défense des racailles, elles auraient tort de se gêner et de ne pas en profiter.

        Tant que nos gouvernants (etc...) laisseront le leader de la "Ligue de Défense Noire" (revoir) déclarer, en public, à Paris, en pleine journée que "La France est un pays terroriste, colonialiste, esclavagiste", que "La France est négrophobe" et que "La France est assassin"... idem...

        Tant que nos gouvernants (etc...) iront chercher dans les poubelles de "StreetPress" (voir - pour la "gravité" des propos tenus...) les merdes que même "Médiapart" n'a pas osé déterrer pour que le Ministre de l'Intérieur lui-même saisisse la justice à propos de propos soi-disant "racistes, homophobes, sexistes, etc..." ( tels que "C'est noir de monde"... "une sombre histoire...")  tenus en privé et en dehors de heures de service par "ses" policiers... idem...

        L'avenir, en effet, est plutôt tout noir (si on peut encore utiliser cette expression sans risquer de poursuites)

         

    4
    Samedi 6 Juin 2020 à 20:35
    Carine
    Oui, debarrassons-nous de cette vieille p... e d'idéologie républicaine faisandée qui pue la mort.
      • Dimanche 7 Juin 2020 à 15:55

        @ Carine...!

        Et même là, les symboles de la République sont de plus en plus fréquemment et ouvertement ridiculisés, ringardisés, bafoués, dévoyés, méprisés :

        • Le drapeau tricolore.
        • La devise "Égalité, liberté, fraternité"
        • La Marseillaise
        • Marianne et son bonnet phrygien.
        • La fête nationale du 14 juillet.
        • Le coq "gaulois"

        (y compris, bien sûr, par ceux qui devraient en être les garants)

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    5
    Where is Brutus ?
    Dimanche 7 Juin 2020 à 16:50

    @bedeau : De fait, l'avenir est tout sauf blanc. Jusqu'à l'optimiste La Mite qui a tiré les leçons du comportement exemplaire de nos contemporains face à la tyrannie la plus odieuse : "Notre incapacité à tirer la moindre leçon de nos échecs me rend très pessimiste pour l’avenir au point que, fatigué de pisser dans un violon et craignant les problèmes de prostate, je m’interroge sérieusement sur l’intérêt d’investir une partie de l’énergie qui, à mon âge m’est comptée, dans la poursuite de ces vidéos."

    Diagnostics, analyses, tout cela a déjà été formulé depuis très longtemps. Les éventuels remèdes énergiques sont connus. Combien pour souhaiter les appliquer, quand c'est le nombre, et rien que lui, qui décide de tout ? "Règne de la quantité", disait fort justement certain illuminé. C'est assez dire que le camp des parasites, des primaires et des menteurs a déjà gagné.Tant pis pour les raisonnables qui avait vu et prévu : malgré eux, ils seront emportés comme tous les autres vers la Grande Nuit. Par une sombre ironie, l'héritage des prétendues "lumières" sera un âge de ténèbres.

     

      • Dimanche 7 Juin 2020 à 17:42

        @ Where is Brutus ? :

        Une bonne nouvelle avant l'apéro du soir, ou pourquoi je néglige sainte Greta :

        Hadama Traoré prépare l’élection présidentielle de 2022 

        Le militant associatif a réuni une trentaine de soutiens et envisage très sérieusement de se lancer en campagne.

                https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/

        Et pendant ce temps-là, aux "States", renouant avec les vraies valeurs et traditions chrétiennes, telle celle du lavage des pieds, prônées par monsieur François Lepape-Derôme :

        C'est vrai que, des fois, on pourrait se laisser aller à un certain découragement.

         

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