• Soyons moins nauséabonds (leçon 1)

     

    Le nouveau dictionnaire de la novlangue de Jean-Yves Le Gallou et Michel Geoffroy

    Soyez moins nauséabonds (leçon 1)"Ce dictionnaire est, bien sûr, à recommander aux étudiants soucieux de parler le beau langage politiquement correct. Les candidats aux concours administratifs peuvent aussi s’en imprégner, tout comme ceux qui se préparent à un entretien d’embauche auprès de la DRH (Direction des ressources humaines, sic) d’un grand groupe.

    "Quant aux élèves journalistes ou aux hommes et femmes de médias, il sera prudent pour eux de placer ce dictionnaire sur leur table de travail car leur métier n’est pas de décrire le vrai mais de recommander le bien. Et la fonction de la novlangue est double : empêcher de percevoir la réalité, rendre impossible toute pensée déviante.

    "Un bon journaliste doit donc utiliser les mots marqueurs pour souligner son allégeance au Système ; bannir de son vocabulaire les mots tabous qui pourraient exprimer une manière de penser qui n’a pas lieu d’être (patrie, peuple, décadence, ennemi, famille, frontières, guerre). Un bon journaliste doit user et abuser des mots sidérants tels que ringard, raciste, antisémite, xénophobe, homophobe, transphobe et, bien sûr, dénoncer les dérapages extrémistes des discours de haine. Le bon journaliste doit recourir sans modération aux mots trompeurs tels que République, valeurs républicaines, citoyen, quartier sensible, homoparentalité, incivilités, intégration. Le bon journaliste emploie avec ferveur les mots subliminaux comme humanitaire (pour préparer l’opinion à une opération politique ou une action de gendarmerie internationale), philanthrope (plus sympathique que milliardaire affairiste), pactiser (s’entendre avec des forces du mal), ou controversé et contesté (pour disqualifier des opinions malséantes). Enfin, le bon journaliste tentera de se hisser au niveau linguistique de la superclasse mondiale en reprenant les mots marqueurs des grandes compagnies d’affaires et des multinationales tels que partage, partenaire, gouvernance, pragmatisme, porteur de projet, principe de précaution, éco-responsable.

    "Et surtout respectons le Padamalgame et pratiquons le bien vivre ensemble !

    "Heureusement, les esprits libres peuvent aussi utiliser ce dictionnaire de manière subversive, comme un décodeur, un moyen de redécouvrir la réalité derrière l’enfumage linguistique. Ce Dictionnaire de novlangue est d’abord un moyen de cultiver la dissidence."

    source(s):  Délit d'im@ges et Polémia 

     

    La novlangue part de l’idée, lancée par les structuralistes français, que les mots véhiculent des valeurs et qu’en changeant le sens des mots on réussira à changer la réalité des choses. La novlangue a donc pour but d’empêcher de penser les choses telles qu’elle sont. Il s’agit d’une désinformation qui a pour finalité de jouer sur les perceptions du sujet qui utilise ces mots.

     

     

     

     

     

     

     

    Soyez moins nauséabonds (leçon 1)

    Ne dites pas enfant d’immigré mais enfant issu de parents d’éducation éloignée.

    Ne dites pas encourager l’islam en finançant les mosquées mais laïcité positive.

    Ne dites pas banlieue de l’immigration mais quartier populaire.

    Ne dites pas repas halal mais repas aménagé.

    Ne dites pas djihadiste mais individu déséquilibré ou loup solitaire autoradicalisé sur Internet.

    Ne dites pas immigré clandestin mais migrant.

    Ne dites pas profanation d’une église ou d’une tombe catholique, dites dégradation (le terme profanation est en revanche incontournable s’agissant de faits concernant des sites juifs ou musulmans).

     

     

     

    DÉCRYPTAGE

    ACCUEIL (DES MIGRANTS). Expression trompeuse pour dire « nous sommes incapables de protéger les frontières de l’Europe »

    ACTE ISLAMOPHOBE. Grand classique de la propagande consistant à faire croire que dans les pays européens et notamment en France les musulmans seraient victimes d’un nombre considérable d’actes violents et « racistes ». Curieusement le fait d’égorger un prêtre célébrant la Messe n’est pas considéré comme un acte « christianophobe »

    ACTIVEMENT RECHERCHÉ. Expression stéréotypée utilisée à chaque fois qu’un attentat a été commis. Ses auteurs sont toujours « activement recherchés », pour suggérer une grande efficacité de la police… qui n’a pourtant pas pu prévenir l’attentat alors que dans la majorité des cas les terroristes étaient « bien connus des services de police » car ils avaient commencé dans le banditisme.

    AFFLUX. Mot trompeur pour ne pas dire Invasion (ex. : « A la frontière serbo-hongroise, nouvel afflux de migrants »

    ANTÉCÉDENTS PSYCHIATRIQUES. Expression rituellement utilisée à chaque fois qu’un islamiste commet un délit, un crime ou un attentat, pour tenter d’expliquer son geste par d’autres motivations que l’islamisme.

    ANTIFAS: Groupuscules d’extrême gauche bénéficiant de la bienveillance médiatique et institutionnelle, dans la mesure où ils s’attaquent prioritairement aux mouvements identitaires et patriotes en Europe.

    ANTIRACISME. Mot trompeur signifiant que l’on est très favorable au racisme antifrançais et antieuropéen.

    APAISER (LES TENSIONS). Expression signifiant que l’on capitule devant le communautarisme et l’islamisme, donc très prisée par les pouvoirs publics.

    APPRENDRE (A VIVRE AVEC LE TERRORISME). Expression destinée à cacher l’impuissance et la complaisance de l’oligarchie vis-à-vis du terrorisme islamiste : selon elle ce terrorisme serait une sorte de fatalité à laquelle il conviendrait de se soumettre

    BABTOU. Initialement « toubab», dont « babtou » est le verlan, est un terme utilisé en Afrique de l’Ouest pour désigner quelqu’un à la peau blanche. L’apostrophe babtou est reprise par les jeunes des banlieues, souvent de façon péjorative, pour désigner les Français de souche. Son emploi n’est évidemment pas raciste pour les bien-pensants.

    BARBARE/BARBARIE. Euphémisme utilisé pour éviter de désigner l’identité des auteurs d’attentat islamiste commis en France

    BOUGIE. Arme magique recommandée par l’oligarchie pour lutter contre le djihadisme.

    CAMION (FOU). Expression trompeuse utilisée lorsqu’un djihadiste utilise un camion pour foncer dans la foule : le coupable n’est pas le djihadiste mais… le camion, comme s’il s’agissait d’une sorte d’accident de la circulation.

    CAS ISOLÉ. Expression lénifiante destinée à faire croire que les auteurs d’attentat islamiste constituent une minorité non représentative de la population musulmane ou des immigrants et auprès desquels ils ne recevraient aucun soutien (ex. « Nous ne devons pas porter de soupçon généralisé contre les réfugiés, même s’il y a des procédures qui sont engagées dans des cas isolés ...»

    CELLULE (D’ASSISTANCE PSYCHOLOGIQUE ). Action de l’État lorsqu’il se montre incapable de prévenir le crime : réconforter les victimes et les proches des victimes, à défaut de savoir les protéger.

    CELLULE (DE DÉRADICALISATION). Dispositif bisounours censé réinsérer dans la société les jeunes islamistes, notamment ceux qui reviennent de Syrie. Ces cellules contribuent en fait à laisser en liberté des individus dangereux.

    COMBATTANT. Mot respectueux employé par les dhimmis européens pour désigner un djihadiste.

    COMMUNAUTÉ. Terme utilisé pour désigner des personnes qui n’entendent pas se définir comme français, mais sur des critères identitaires religieux ou ethniques (ex. « la communauté maghrébine », « la communauté antillaise », « la communauté juive »). Le fait de réduire la France à un agrégat de communautés traduit le projet cosmopolite de suppression des nations. Il exprime aussi la réalité du Grand Remplacement.

    CONNU (DES SERVICES DE POLICE). Euphémisme désignant un délinquant récidiviste.

    DÉCAPITATION. Terme lénifiant, à prétention technique, désignant les horribles assassinats rituels par égorgement des victimes perpétrés par les islamistes, notamment ceux se réclamant de Daesh.

    DIALOGUE (DES CULTURES). Expression trompeuse servant de prétexte à l’abandon de notre identité et au développement du relativisme culture

    DRAPEAU (TRICOLORE). Objet magique censé protéger contre le djihadisme quand il est accroché à une fenêtre par un bisounours européen ; bien qu’on accroche toujours des drapeaux après qu’un attentat eut été commis, ce qui ne plaide pas pour l’efficacité de cette mesure.

    DYNAMIQUE (DE PEUPLEMENT). Expression trompeuse pour dire Grand Remplacement.

    EXOTISME. Mot sidérant utilisé largement dans la publicité pour valoriser ce qui ne correspond pas à la culture et à l’identité européennes.

    FORCENÉ. Mot trompeur pour désigner un terroriste islamiste.

    FOU FURIEUX. Euphémisme utilisé pour éviter de désigner l’identité islamiste du terroriste ayant foncé dans la foule à Nice le soir du 14 juillet 2016.

    FRANÇAIS DE SOUCHE. Expression politiquement incorrecte ne recouvrant en outre « aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique », selon le Tribunal correctionnel de Paris le 19 mars 2015, jugement confirmé en appel en décembre 2015.

    FRANÇAIS (TERRORISTE). Expression trompeuse dans la mesure où ces terroristes n’ont rien de français car ils haïssent la France. La référence au caractère français du terroriste sert à masquer son identité musulmane.

    IMAGE (CHOQUANTE). Image censurée par les médias quand elle va à l’encontre de l’idéologie dominante ou quand elle risquerait de réveiller l’opinion européenne (ex. les images des victimes de l’islamisme en France sont toujours considérées comme choquantes). Par contre, la photo du petit Aylan mort sur une plage n’était pas choquante, car elle a servi à sidérer l’opinion occidentale afin de lui faire accepter les quotas de migrants voulus par le gouvernement allemand.)

    INTERPELLATION(S). Mot trompeur destiné à faire croire que des auteurs de délits seront traduits en justice, alors que dans la majorité des cas ils sont ensuite relâchés.

    ISLAM (DE FRANCE). Expression trompeuse pour dire islamisation de la France, avec le concours des pouvoirs publics.

    ISLAMISME RADICAL: Expression destinée à établir une nuance lénifiante entre les islamistes et les terroristes qui se seraient, eux, « radicalisés » (ex. : « l’attaquant de Hambourg a agi par islamisme radical »).

    ISLAMOPHOBIE. Mot sidérant destiné à diaboliser et à censurer toute critique de l’islam ou de l’islamisation de l’Europe. La référence à la phobie sert à faire croire que ceux qui refusent ou s’inquiètent de l’islamisation seraient de dangereux malades

    KOUFFAR (PAYS DE). Définition de la France pour le rappeur Black M. Kouffar, pluriel de kafir, est le terme arabe méprisant pour dire mécréants. Mais ce n’est bien sûr pas une affirmation raciste ni europhobe, ni christianophobe

    MINEUR ISOLÉ. Expression compassionnelle désignant de jeunes immigrants illégaux bénéficiant de l’impunité judiciaire au motif de leur minorité. Mais curieusement certains de ces « mineurs » semblent très matures dans leur comportement, notamment sexuel.

    MUSULMAN. Mot sidérant désignant l’adepte d’une religion de paix et d’amour hautement respectable en Europe ; le musulman enrichit notre culture bien qu’il soit victime d’injustes discriminations de la part des Européens de souche. Nota : il est bien-pensant de dire que « les musulmans sont les principales victimes du terrorisme » et on ne doit jamais utiliser le mot « musulman » pour évoquer l’identité des terroristes islamistes. Le mot « musulman » ne doit être utilisé que dans un sens positif, sauf à se rendre coupable d’islamophobie.

    NEO-NAZIS: Nom donné par les médias aux identitaires ainsi qu’à ceux qui contestent la politique migratoire ou l’islamisation en Europe. Ce terme tend à prendre la place de celui d’extrême droite, qui perd de sa valeur sidérante à mesure de la progression des votes en faveur de la droite nationale et identitaire en Europe.

    NIQUE (LA FRANCE). Expression ordurière très en vogue chez certains rappeurs mais absolument dénuée de tout contenu raciste pour la justice et les ligues de vertu « antiracistes »

    PATRIOTE. Mot tabou s’il concerne un Français ; en novlangue on utilise plutôt les termes « nationaliste », « xénophobe » et surtout « d’extrême droite » afin de disqualifier le patriotisme.

    PÉTER (LES PLOMBS). Expression lénifiante utilisée quand un individu de religion musulmane se met à commettre un acte violent, ce qui est, bien sûr, extrêmement rare et ne peut donc qu’être accidentel ou maladif.

    PLAIE (AU COU). Euphémisme utilisé pour ne pas dire que la victime du terroriste a été égorgée.

    PROPOS INCOHÉRENTS: Façon de s’exprimer des terroristes selon les médias de propagande qui cherchent ainsi à masquer leur caractère islamiste.

    RACINE(S). Mot tabou pour les Européens, qui n’ont pas le droit de se réclamer notamment des « racines chrétiennes » de l’Europe. Par contre, le mot est tout à fait politiquement correct s’il est prononcé par un Africain ou un musulman.

    RADICALISÉ. Se dit d’un gentil musulman devenu mystérieusement un méchant djihadiste ; curieusement les bouddhistes ou les catholiques ne semblent pas sujets à ce mal étrange. Voir aussi « djihadiste ».

    RADICALISATION RAPIDE. Expression trompeuse consistant à faire croire que l’auteur d’un attentat à caractère islamiste serait passé à l’acte très rapidement et donc sans préméditation.

    RECUEILLEMENT. Mot sidérant destiné à empêcher toute réaction de révolte contre les attentats islamistes et l’impunité dont bénéficient les djihadistes. Après chaque attentat on est ainsi prié de se « recueillir », ce qui revient à se soumettre et à se taire.

    REVENDIQUER. Verbe utilisé dans une tournure de phrase impersonnelle afin d’éviter d’affirmer le caractère islamiste d’un attentat (ex. « Daesh revendique l’attaque à la machette » pour ne pas écrire que l’agression à la machette était islamiste)

    SULFUREUX. Qualificatif employé pour disqualifier des propos politiquement incorrects ; la référence au soufre vise à suggérer le caractère diabolique des propos visés : des thèses sulfureuses.

    TENSIONS INTERCOMMUNAUTAIRES. Expression floue destinée à cacher qui est vraiment à l’origine de ces tensions, et qui sert à placer sur le même plan agresseurs et agressés..

    TROUBLES DU COMPORTEMENT. Expression trompeuse utilisée lorsqu’un individu commet un attentat ou une agression pour tenter de masquer le caractère islamiste de son acte (ex « Un homme qui tirait de la fenêtre de son appartement a été interpellé mardi matin, dans le centre-ville de Cambrai. L’individu encagoulé criait “Allah akbar !” Selon les informations du journal, l’homme souffre de troubles du comportement ».)

    WELCOME (Bienvenue en anglais). Expression favorite des dhimmis européens, incapables d’empêcher l’installation violente d’étrangers sur leur territoire (« Refugees Welcome » – bienvenue aux réfugiés – est une expression sidérante et anglophone par laquelle des Européens témoignent de leur soumission à l’invasion migratoire).

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