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reprimare humanitarum est
Éric Dupond-Moretti répond aux questions d’Apolline de Malherbe
Envoi :
extra bonus
"Eric Dupont-Moretti est un grand fan de l’œuvre de sa compagne Isabelle Boulay. L’un des titres de la chanteuse québécoise le touche particulièrement." (lu dans Gala)
L’actuel ministre de la Justice est un grand fan de "Si tu me payes un verre", un titre de Serge Reggiani repris par sa compagne Isabelle Boulay, comme une quinzaine d'autres chansons.
Dans l'un des passages, on peut entendre cette phrase bien particulière : "Ne jamais juger le bon ni la canaille". Un seul passage aurait suffi pour comprendre ce que la chanson déclenche dans le corps d’Éric, dans le corps de l’homme et de l’avocat Dupond-Moretti, dans le corps de celui qu’ont tour à tour mutilé, réparé, enfiévré, enivré, restauré, tuméfié, exalté, démembré, tant de luttes et tant de plaidoiries
Éric sait qu'il est lui-même bon et canaille, il sait que tout individu est à la fois bon et canaille
Tags : France, politique, actualité, délinquance, terrorisme, sécurité, justice
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Commentaires
Réinsertion à tout va, on va manquer de vaseline.
@ Pangloss...!
On s'en passera. Au propre comme au figuré.