-
Mercy pour ce moment !!!
EUROVISION: pendant les préparatifs, la propagande continue.
Fini les "transgenres" ou autres femmes à barbe, fini la "diversité" imprécise et indéfinissable, place aux migrants:
Mercy: une bouleversante histoire derrière la chanson de la France à l'Eurovision
Mercy est un bébé nigérian né à bord de L'Aquarius, un bateau humanitaire qui vient en aide aux migrants naufragés en Méditerranée...
...et, comme l'a prophétisé France-Inter: "La France a enfin les moyens de gagner, à condition que tout le monde vote pour Mercy"
"Une chanson qui n'est pas moralisatrice, pas politique, mais met un visage sur ceux qu’on appelle les migrants" (selon les propos des auteurs-compositeurs-interprètes). En effet, parler des migrants devant quelques millions de téléspectateurs conditionnés par la presse correcte n'a rien de politique, rien de moralisateur !... tout ce que raconte monsieur François Lepape (Rome-Italie), n'est ni moralisateur, ni politique, tout ce que préconise la G.G.T. d’accueillir tous les migrants n'a rien de moralisateur, rien de politique... ni les affirmations de la Croix-Rouge, ni de France Terre d'Asile, ni de Emmaüs France, ni de Association Salam, ni de Médecins sans Frontière, ni du Secours Catholique, ni du Secours Populaire, ni de la Cimade... et quelques dizaines d'autres C'était juste pour faire une chanson et émouvoir le bon peuple qui va courir acheter le disque et les produits dérivés: baigneur poupon en bakélite noire, modèle réduit de l'Aquarius à monter soi même, bouées de plage en forme de bateau de sauvetage, etc...
"Quand on a écrit, on ne pensait pas à l'Eurovision. Mais on s'est dit que ce serait un acte magnifique de porter ce titre le plus loin possible, dans plusieurs pays d'Europe"La preuve: "Le règlement de l’Eurovision stipule que les paroles des chansons, ainsi que leur présentation, ne peuvent porter atteinte, ni au concours, ni à l’UER. Il est interdit d’inclure tout mot ou tout geste de nature politique ou assimilable.", alors, hein ? Même simplement aborder ce thème, qui préoccupe toute l’Europe peut être considéré comme un tout petit peu politique sur l'un des bords ( même si le groupe dit "non, non, non...")
Et le fait que "Madame Monsieur" vont donner un concert caritatif en faveur de S.O.S. Méditerranée n'a rien de moralisateur, rien de politique... juste une heureuse coïncidence... Mais Delphine et sa France-Télévision sont peut-être un peu derrière ce choix tant attendu...?
Après Lisbonne, retrouve les aventures de Monsieur-Madame à Calais... Et comme, en même temps™, l'histoire du petit Aylan était un peu oubliée avec tout ce qu'on a vu et entendu depuis plus de deux ans et que, en même temps™, madame Taubira (vous vous souvenez ?) avait déjà écrit un début de paroles pour une charmante béguine-mazurka: "Son prénom avait des ailes, son petit cœur a dû battre si fort que les étoiles de mer l'ont emporté sur les rivages de nos consciences...tchipo, tchipa, tchitchi..."
Revenons à nos moutons (de Panurge):
Les yeux écarquillés, les mains sur la bouche et la mine stupéfaite. Émilie Satt et Jean-Karl Lucas, un duo réuni sous le nom de Madame Monsieur ont mis plusieurs secondes à réaliser.
lu dans les pages "culture" de l'Express
"Mercy", paroles et musique Madame-Monsieur (ou l'inverse) Je m’appelle Mercy
Au milieu de la mer
Entre deux pays, MercyC’était un long chemin et Maman l’a pris
Elle m’avait dans la peau, huit mois et demi
Oh oui, huit mois et demiOn a quitté la maison, c’était la guerre
Sûr qu’elle avait raison, y’avait rien à perdre
Oh non, excepté la vieJe suis née ce matin
Je m’appelle Mercy
On m’a tendu la main
Et je suis en vie
Je suis tous ces enfants
Que la mer a pris
Je vivrai cent mille ans
Je m’appelle MercySi il est urgent de naître,
Comprenez aussi
Qu’il est urgent de renaître,
Quand tout est détruit
Mercy ...Et là devant nos yeux y’avait l’ennemi
Une immensité bleue peut-être infinie
Mais oui, on en connaissait le prixSurgissant d’une vague, un navire ami
A redonné sa chance à notre survie
C’est là, que j’ai poussé mon premier criJe suis née ce matin
Je m’appelle Mercy
On m’a tendu la main
Et je suis en vie
Je suis tous ces enfants
Que la mer a pris
Je vivrai cent mille ans
Je m’appelle MercyDerrière les sémaphores
Serait-ce le bon port ?
Que sera demain ?
Face à face ou main dans la main
Que sera demain ?Je suis née ce matin
Je m’appelle MercyMerci, merci, je vais bien merci
Merci, merci, je vais bien merci
Merci, merci, je vais bien merci
Merci, merci, je vais bien merciMoi, je sais pas, mais à défaut d'un Grand Prix de l'Eurovision, je verrai bien un Prix Nobel de Littérature
En marge de tout ça, deux petites nouvelles qui ont peut-être un lointain rapport avec notre sujet:
Italie : les musulmans jettent les chrétiens à la mer ! Ajoutée le 8 janv. 2018
Et, paradoxalement, on montre du doigt les "sous-humains": les nouveaux "Untermensch", nouveaux "sous-hommes", éternels "souchiens"
Migrants à Langourla (22).
Réunion publique tendue : les opposants qualifiés de "sous-humains"
Plusieurs centaines d’habitants, mais aussi de militants politiques ou de citoyens d’autres communes, se sont donc rendus à cette réunion. Elle était animée par les maires du Mené et de Langourla… mais aussi par un "arsenal associatif" très favorable au projet .
Après les discours des deux maires deux militantes du collectif "Les gens heureux d’accueillir des réfugiés à Trégastel et à Trébeurden" ont été sollicitées pour animer la réunion. Venues avec des "migrants" de leur secteur, elles ont fait la morale aux opposants
Étaient également à la table des élus deux militants d’extrême gauche : un membre de l’ASTI (Association de Solidarité avec Tous les Immigrés) et un médecin. Ce dernier a choqué l’assistance en qualifiant de "sous-humains" ceux qui s’opposeraient à l’immigration
Après une heure d’intervention de la part des élus et des associatifs pour vanter le "vivre ensemble", le "devoir d’accueil", la "France terre d’immigration depuis des siècles" et autres poncifs , le public était invité à se présenter et à prendre la parole.
[cc] Breizh-info.com du 28/01/2018,
Tags : musique, diversité, presse, France
-
Commentaires
Une chanson digne de représenter la France à l'Eurovision: à chier.
Effectivement, on en est là...