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Les enfants du pire et du Pirée
En marge de l'actualité et de ce qu'il faut bien appeler une nouvelle guerre de conquête menée par le monde musulman contre la civilisation occidentale : "1 million de migrants iront bientôt en Europe. Les gouvernements européens tomberont, leurs économies seront déstabilisées, leurs bourses vont s'effondrer et ils ne pourront rien y faire.." (ministre turc de l'intérieur 5 mars 2020)... des blindés turcs tentent d'arracher grillages et barbelés à la frontière avec la Grèce pour y faciliter le passage des "migrants"... la marine de Erdogan poursuit et agresse les garde-côtes grecs jusque dans leurs eaux territoriales... les "demandeurs d'asile" et les "réfugiés" venus en grande partie de tout le Maghreb attaquent la frontière à grands renforts cocktail Molotov... les églises et les chapelles de l'île de Lesbos sont saccagées et profanées... etc...
...j'ai découvert cette info, il y a quelques jours, sur un blog dont je n'ai pas retenu le nom.
Au 15e siècle, lorsque les Turcs envahissent la Grèce, le Parthénon est transformé en mosquée.
On a beau s'attendre à tout... Pour moi ce fut quand-même assez surprenant. Pour vous je ne sais pas...
Et ce n'est pas une intox nauséabonde et islamophobe. La preuve le très sarrasin "Dômes et Minarets" s'en était fait l'écho enthousiaste.(Vous savez, ce site qui s'interrogeait sur Le christianisme, religion de Jésus ? et sur L’Islam, religion d’Europe ? )
texte intégral :
Quand le Parthénon d’Athènes était une mosquée
Tags : sécurité, résistance, patrie, Europe, islam, mosquée, djihad, taqiya, dhimmis
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Commentaires
2Souris doncVendredi 13 Mars 2020 à 09:36Les Omeyyades ont colonisé jusqu'à Constantinople tandis que l'on y discutait du sexe des anges, (rien de nouveau sous le soleil, les mégères néo-féministes actuelles en font autant) Comme dit le jeune maestro gréco-russe Teodor Currentzis dans Diapason : La mascarade commence avec les "Droits de l'Homme". Dès que vous entendez ces mots, il y a tout à parier que ceux qui les prononcent sont en train de fourbir leurs armes.
L'hymne national d'Andorre garde les traces des Omeyyades. Le co-prince d'Andorre, Emmanuel Macron, se doit de le chanter.
ça commence par : Le grand Charlemagne, mon père, nous délivra des Arabes.
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Vendredi 13 Mars 2020 à 11:30
@ Souris donc...
Macron, chanter la gloire de la Reconquista ...? Il renâcle déjà déjà à chanter "la Marseillaise" ? (mais ce serait parce que certains événements, certaines commémorations "inspirent le silence, le recueillement et qu'il y a des moments à partager")
A propos d'"al Andalus", la revue "Courrier International" avait publié un long article dithyrambique (source)
Pour les Espagnols, les huit siècles de présence musulmane dans la péninsule Ibérique [711-1492] semblent ne pas avoir existé. Pour les Arabes, c’est un âge d’or, une période mythique qui suscite chez eux une profonde nostalgie.
Est-ce parce que la douleur du présent avive la flamme de la nostalgie ? En tout cas, pour nous, les Arabes, toute époque passée vaut mieux que l’actuelle. L’année 1492 [fin de la présence musulmane en Espagne] est comme une malédiction qui n’en finit pas. Nous sommes sortis d’Al Andalus, mais Al Andalus n’est pas sorti de nous. Depuis, les ombres de l’horizon appellent en nous le souvenir de Boabdil, dernier roi de Grenade, dont les larmes coulent à jamais sur les joues de tous les musulmans. Grenade… Où est la Grenade nasride ? La Grenade omeyyade ? Et l’Ishbiliya [Séville] des rois poètes ? Et Averroès, Avicenne, Avenzoar… Ah, pourvu que ne se répète pas en Palestine ce qui s’est produit à Al Andalus !”
Dans les moments comme celui-ci, peut-être parce que la douleur du présent avive la nostalgie, ce sont les mots d’un mystique andalusi qui reviennent à la mémoire. “Dieu est un, ses noms multiples. Choisissez le nom qui vous plaît et adorez-le de la façon qui vous semble la plus appropriée.” Nostalgie pour la sagesse du Prophète lorsqu’il proclamait aux quatre vents : “L’encre des sages est plus précieuse que le sang des martyrs.” A côté d’un vase de larmes plein à ras bord - personne n’a autant pleuré que les enfants d’Al Andalus -, les Arabes conservent encore la clé de la maison de Grenade où vécurent leurs ancêtres.
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Cette version n'est pas mal non plus -- dans un registre légèrement survolté :
https://www.youtube.com/watch?v=P2_uYBhcG00
On peut préférer Julie London :
https://www.youtube.com/watch?v=Zrql10R6tuU
Le mahométan, comme le protestant, déteste tout ce qui peut donner un peu de joie dans l'existence. Une chance pour cet Omar Khayyam qui célébrait dans ses quatrains le vin et les femmes : il est entré dans l'échiquier du néant, et ne peut donc plus être réduit au silence par une délicate et chirurgicale "frappe au cou".
@ KISS principle !!!!!
... Il y a aussi cette version de Trini Lopez ...
https://youtu.be/KP7i1Fs3ezg
j'en avais écouté quelques-unes avant de fixer mon choix, mais je n'avais pas vu celle que vous indiquiez en premier (https://youtu.be/P2_uYBhcG00) et qui surpasse de très loin tout ce que j'avais pu voir d'"islamiquement incorrect" dans celle que j'ai mise en ligne (je ne peux pas en dire plus sur un blog public)
pour les visiteurs pressés, quelques citations de Omar Khayyam (à lire avec modération pour ne pas se réconcilier avec l'islam : attention aux amalgames !)
@bedeau : J'préfère Julie London. ;-)
A le lire, O. K. n'était pas très mahométan. Il prêche plutôt l'Evangile du Rien. En attendant le néant, il célèbre le vin et les femmes, tout en restant à bonne et souriante distance de ses contemporains ordinaires, sans se bercer d'illusions :
Pour parler clairement et sans paraboles,
Nous sommes les pièces du jeu que joue le Ciel,
On s'amuse avec nous sur l'échiquier de l'être,
Et puis nous retournons, un par un, dans la boite du néant
Sur Omar Khayyam, existe un honnête et mineur roman d'Amin Maalouf intitulé *Samarcande*, qui met en scène le savant poète sans trop se soucier d'exactitude historique -- ça se lit sans passion, ça se lit sans déplaisir, mais ça se lit.
O saki, ceux qui sont partis avant nous
Se sont endormis dans la poussière de leur vanité.
Va ! bois du vin et apprends de mes lèvres la vérité :
Tout ce qu'ils ont dit, ô saki, c'est du vent.
@ Nihil...?
Curieusement (ou pas) la plupart des sites communautaristes tels que "Oumma.com" ("un site web à vocations culturelle et informative destiné à la communauté musulmane francophone") évoquent très peu le poète Omar Khayyam.
A ma connaissance, seul le site "Sarrazins.fr" (animé par le seul Renaud Klingler, français converti) que j'avais déjà présenté (ici et là) il y a quelques temps y fait une brève allusion, mais seulement en tant que grand savant, astronome et mathématicien, apparemment en avance de plusieurs siècles sur le reste du monde.
Mais, tout étant inscrit et expliqué dans l'universalité et l'infaillibilité du Coran, rédigé par Allah soi-même, dit-on, je me demande quelle gloire peut être reconnue à un homme, même savant, qui voudrait interpréter et améliorer la Divine Pensée ? Autant demander à un artiste de peindre une fresque représentant Mahomet et Aïcha au plafond de la Grande Mosquée de la Mecque ou sur l'une des faces de la Kaaba...