• l'abus d'alcool est néfaste, etc...

    Banlieues : ce que contient le plan de Jean-Louis Borloo

    l'abus d'alcool est néfaste, etc...

    Je ne suis, ni spécialiste de la politique, ni de la ville, ni des banlieues, ni des petits plans, ni du Gros-Plant, ni du Bordeaux, ni du bordel, ni des grands crus, ni des grosses cuites, mais c'est pas une raison...

    Et j'ai quand-même un peu l'impression que les djeunes des banlieues sont plus dorlotés que les vieux des cambrousses?

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    L’ancien ministre de la Ville, mandaté par Emmanuel Macron, a remis ce jeudi son rapport sur les banlieues françaises au Premier ministre Édouard Philippe.

    Une académie "des leaders"

    Le rapport souhaite la création d’une "nouvelle grande école", pour arrêter de passer à côté des "talents de notre jeunesse et notamment des quartiers populaires".

    Un milliard pour le RER

    Pour améliorer la mobilité et atténuer l’enclavement des habitants des quartiers, l’ancien ministre préconise d’organiser "rapidement" les états généraux des transports en région Ile-de-France

    "Les voyages forment la jeunesse"

    Dans sa partie intitulée à la "Rencontre de l’Autre", le rapport suggère que "chaque enfant et adolescent scolarisé en QPV (quartier prioritaire de la ville,) aura la possibilité de partir quatre fois dans sa scolarité à la rencontre de l’Autre, dans des conditions financières abordables pour leurs parents, jusqu’à la quasi gratuité".

    Des "Maisons Marianne" pour les femmes qui s’impliquent

    "Elèves ou étudiantes, mères ou grands-mères, salariées ou sans emploi […] les femmes tiennent une place primordiale dans la vie sociale des quartiers populaire […] Ce sont les nouveaux visages de Marianne !"

    Encourager la "co-production" de sécurité

    Le constat est clair : "Certaines bandes se servent en effet de certains quartiers comme base arrière. Les marchands de sommeil, prospèrent. Une petite délinquance par intimidation se développe parfois." En plus d’un renfort de la police, notamment de proximité, le rapport suggère le déploiement de 500 "correspondants de nuit" supplémentaires sur des postes d’adultes-relais, pour contribuer en lien avec la police municipale à une politique de "tranquillité publique" ou pour venir structurer les initiatives associatives.

    Des "coachs d’insertion"

    Le sport est selon le rapport une des clefs de l’apprentissage de la motivation, du dépassement de soi, de la confiance et du respect des règles en banlieue, d’autant plus si l’on joue sur l’ "image positive de grands sportifs issus des quartiers". Il suggère de former et recruter 5 000 "coachs d’insertion" par le sport

    200 campus numériques

    Le numérique "doit s’enraciner dans les quartiers avides de réussite", selon le rapport, qui préconise la création de 200 campus numériques. Ils proposeront des cours en libre accès, des formations professionnelles liées au codage ou encore des aides pour passer le permis.

    Des "clubs petit déj"

    Pour répondre "au défi éducatif des quartiers", le rapport propose de créer des "cités éducatives". Le but, intégrer des dimensions sociales et culturelles au système éducatif et scolaire. Pour être attentif à "la santé et aux bonnes conditions des enfants", le rapport propose d’organiser "club petit dej" gratuit dans les écoles et collèges des REP et REP +, le matin et rendre gratuite la cantine le midi.

    Un fonds de 5 milliards d’euros

    Enfin, "L’État se doit de redonner confiance en garantissant ses engagements, en mettant à l’abri de tout aléa budgétaire, une partie des financements. Il faut donc constituer un fonds à la Caisse des Dépôts et Consignations", préconise le rapport en conclusion.

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    À la recherche d'"chef d'état-major" pour piloter le programme

    Les programmes "peuvent démarrer tout de suite", et sont "parfaitement réalisables, très rapidement", assure le rapport, à condition que chacun "soit piloté en tant que tel et par une ou deux personnalités reconnues". À condition, encore, que "chacune des institutions soit réellement et publiquement en responsabilité avec un chef de file", mais aussi que soit mis en place "un chef d'état-major avec "l'autorité suffisante donnée par le président de la République."

     

    Éléments de réflexion:

    Zemmour sur Borloo : "Ce type, sur une page entière d’interview, arrive à parler de la banlieue sans prononcer les mots immigration et islam, c’est très fort, je lui tire mon chapeau"

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    Malek Boutih, ancien député PS de l’Essonne, ex-président de SOS-Racisme et récent auteur lui-même d’un rapport sur la radicalisation de la jeunesse des banlieues n’est pas connvaicu par le rapport Borloo sur les banlieues.: "il y a 'une erreur de diagnostic : dans ces territoires, c’est la République qui est en train de s’effondrer"...

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    Mohamed Mechmache, Pour le porte-parole d' "AC le Feu" et président d’honneur de la coordination nationale "Pas sans nous", le rapport de Jean-Louis Borloo qui propose la création d’un fonds de cinq milliards d’euros est une bonne nouvelle pour éviter d'aller droit dans le mur"

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    Ivan Rioufol : "Cette étude n’aborde pas les sujets tels que l’immigration de masse et la salafisation des quartiers..."

     

     

     

     

     

     

     

    « Mon Ami, Mon Maître En may, fleurit le hêtre, chante le geai »

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  • Commentaires

    1
    Souris donc
    Samedi 28 Avril 2018 à 07:32

    Il a zappé quelque chose, Borloo. Il était où quand on a déversé des milliards sur les cités, en Politiques de la Ville, plus vaines les unes que les autres ?

    Mais pas perdues pour tout le monde. Exemple, la famille de Théo, victime de la matraque sodomite qui a eu l'honneur de la visite de Hollande qui n'en loupait jamais une (Théo, Léonarda...), la famille de Théo a saisi l'opportunité pour former une association bidon et détourner 700 000 €. Ils ont bien raison puisqu'on est con. (Tribuable)

      • Samedi 28 Avril 2018 à 11:50

        Quand la "politique de la ville" est une excroissance de ce qui s'appelle "Ministère de la Cohésion des Territoires", c'est à dire quand on reconnait implicitement que:

        -les "territoires" (de l'hexagone) se limitent à la ville (et à sa banlieue et à ses"quartiers" "défavorisés")

        -que la cohésion de ceux-ci qui semblait aller de soi a besoin d'un ministre spécial pour être reconnue,

        ...sous couvert de bonnes intentions déclarées on doit s'attendre à ce qui ressemble à une ségrégation de fait:

         

         

        La politique de la ville est une politique de cohésion urbaine et de solidarité envers les quartiers les plus défavorisés. Elle vise à restaurer l’égalité républicaine et à améliorer les conditions de vie des habitants.

         

        1. Lutter contre les inégalités de tous ordres, les concentrations de pauvreté et les fractures économiques, sociales, numériques et territoriales.

        2.Garantir aux habitants des quartiers défavorisés l’égalité réelle d’accès aux droits, à l’éducation, à la culture, aux services et aux équipements publics.

        3. Agir pour le développement économique, la création d’entreprises et l’accès à l’emploi par les politiques de formation et d’insertion professionnelles.

         

        4. Agir pour l’amélioration de l’habitat.

        5.Développer la prévention, promouvoir l’éducation à la santé et favoriser l’accès aux soins.

        6. Garantir la tranquillité des habitants par les politiques de sécurité et de prévention de la délinquance.

         

        7. Favoriser la pleine intégration des quartiers dans leur unité urbaine, en accentuant notamment leur accessibilité en transports en commun, leur mixité fonctionnelle et urbaine et la mixité de leur composition sociale ; elle veille à ce titre à la revitalisation et la diversification de l’offre commerciale dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville.

         

        8. Promouvoir le développement équilibré des territoires, la ville durable, le droit à un environnement sain et de qualité et la lutte contre la précarité énergétique.

         

        9. Reconnaître et à valoriser l’histoire, le patrimoine et la mémoire des quartiers.

         

        10. Concourir à l’égalité entre les femmes et les hommes, à la politique d’intégration et à la lutte contre les discriminations dont sont victimes les habitants des quartiers défavorisés, notamment celles liées au lieu de résidence et à l’origine réelle ou supposée.

         

        Quant à Jean-Lois Bordoo...!

         

         

         

    2
    Souris donc
    Samedi 28 Avril 2018 à 08:29

    Ajouter : afin de donner des gages de bienveillance aux cités, voilà que Macron va transformer le magnifique Musée de la Marine, donnant sur la Place de la Concorde au débouché de la rue Royale, un des fleurons du Patrimoine, en ...Musée de l'Esclavage. A la tête duquel on casera Jean-Marc Ayrault. On a déjà un musée de ce genre à la Porte Dorée où il n'y a jamais aucun visiteur, ça fait pitié quand on voit la queue pour la porte d'à côte, l'Aquarium.

      • Samedi 28 Avril 2018 à 10:22

        Une "bien belle" cry  initiative, placée sous le patronage du grand poète nègre (= "de la négritude"), Aimé Kelque-Choze, devant un Macron au bord de l'extase:

        Non, nous n’avons jamais été amazones du roi du Dahomey, ni princes de Ghana avec huit cent chameaux ni docteurs à Tombouctou Askia le Grand étant roi, ni architectes de Djenné, ni Mahdis, ni guerriers. Nous ne sentons pas sous l’aisselle la démangeaison de ceux qui tinrent jadis la lance. Et puisque j’ai juré de ne rien celer de notre histoire (moi qui n’admire rien tant que le mouton broutant son ombre d’après-midi), je veux avouer que nous fûmes de tout temps d’assez piètres laveurs de vaisselle, des cireurs de chaussures sans envergure, mettons les choses au mieux, d’assez consciencieux sorciers et le seul indiscutable record que nous ayons battu est celui d’endurance à la chicotte...
        Et ce pays cria pendant des siècles que nous sommes des bêtes brutes ; que les pulsations de l’humanité s’arrêtent aux portes de la nègrerie ; que nous sommes un fumier ambulant hideusement prometteur de cannes tendres et de coton soyeux et l’on nous marquait au fer rouge et nous dormions dans nos excréments et l’on nous vendait sur les places et l’aune de drap anglais et la viande salée d’Irlande coûtaient moins cher que nous, et ce pays était calme, tranquille, disant que l’esprit de Dieu était dans ses actes.

        Nous vomissure de négrier
        Nous vénerie des Calebars
        quoi ? Se boucher les oreilles ?
        Nous, soûlés à crever de roulis, de risées, de brume humée !
        Pardon tourbillon partenaire !

        J’entends de la cale monter les malédictions enchaînées, les hoquettements des mourants, le bruit d’un qu’on jette à la mer... les abois d’une femme en gésine... des raclement d’ongles cherchant des gorges... des ricanements de fouet... des farfouillis de vermine parmi des lassitudes...

        ...un Macron qui, par ailleurs ose dire. "Ce vieux continent de petits-bourgeois se sentant à l'abri dans le confort matériel entre dans une nouvelle aventure où le tragique s'invite"

         

    3
    Samedi 28 Avril 2018 à 13:44

    Le fameux traitement social ou comment pisser encore une fois dans un violon à prix d'or.

      • Samedi 28 Avril 2018 à 15:02

        A un degré moindre mais autant significatif...

        L 'Académie des banlieues lance son sixième concours (national et international) d'affiches; le thème retenu est...

        Il y a 50 ans, les murs de France se sont couverts d’affiches ; c’est par milliers qu’elles ont ainsi été imprimées avec les moyens du bord, faisant appel prioritairement à la sérigraphie et à la lithographie comme techniques d’impression et d’expression.

        Cette nécessité d’expression est partie en mai d’un « Atelier populaire » de l’école des Beaux Arts de Paris en grève avant d’embraser l’ensemble du pays.

        Bien plus que les pavés, les affiches ont constitué des armes acérées et pertinentes pour porter les revendications des étudiants, des ouvriers et des employés et exprimer leur colère immédiate. L’objet du concours 2018 de l’Académie des banlieues et des villes populaires est d’inviter chaque participant à exprimer en 2018 sa colère, sa révolte face aux sujets d’actualité ou sur une thématique qui lui est personnelle afin, 50 ans plus tard, de créer des images les plus percutantes possibles.

        L’Académie des banlieues est une association composée de collectivités territoriales décidées à changer les idées reçues sur la banlieue et à travailler avec des acteurs de la vie de banlieue mobilisés à titre individuel, professionnel ou associatif.

        Cette association anime des groupes de travail, organise des colloques, publie contributions et études, délivre des bourses d’études pour encourager la recherche sur la banlieue.

        Plus largement, l’Académie des banlieues apporte son soutien et offre son label à toutes les initiatives ayant comme ambition de faire reculer le mépris et les idées reçues sur la banlieue. La banlieue est le symbole d’une aspiration, celle de ses populations, de sa jeunesse qui exigent la solidarité républicaine, le Respect et l’Égalité.

        En contrepoint du discours dominant, l’Académie des banlieues valorise les richesses de ces territoires en identifiant des lieux, des actions, des habitants, des acteurs économiques qui font et qui sont la banlieue.

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    4
    Samedi 28 Avril 2018 à 15:30

    Pas de burqa ?

      • Samedi 28 Avril 2018 à 16:13

        Ça vient, ça vient, durement et surement... je découvre ça, tranquillement, cet après-midi:

        sur la page web de "L’incorrect", Un nouveau magazine créé par Jacques de Guillebon, en sept. 2017 entre droite et extrême droite, selon "La Croix"

        L’école souffre de la transformation en cours du paysage sociétal français, autrement dit de la politique multiculturelle érigée en dogme, politique qui conduit à ce que des classes entières, dans certains « quartiers », ne comptent plus du tout d’élèves d’origine européenne ou dont la langue maternelle est le Français, ou bien sont composées d’une majorité d’élèves de culture et de religion musulmane. Ne pas poser la question de l’impact sur l’école de la transformation en cours de la société française revient à ne pas pouvoir réfléchir à des solutions adaptées.

        Le témoignage: Serge, 37 ans, père d’une fille de 6 ans et d’un garçon de 9 ans qui habite dans une petite ville de province, préfecture de département

        Dans la classe de mon fils, au moment des anniversaires, la maîtresse est obligée de vérifier sur les paquets de bonbons s’ils sont halal, vu que la majorité des élèves de la classe lui disent qu’ils ne peuvent pas en manger.

        Au début de l’année… on a eu un papier de l’école proposant des cours optionnels de langue étrangère, pour ceux qui le souhaitent. Les langues proposées ? Arabe (tunisien), arabe (algérien) et arabe (turc)…Pas anglais, pas latin, pas grec.

        Quand l’école emmène ma fille à la médiathèque, outre l’enseignante, le groupe est accompagné par une maman voilée. Quand c’est mon fils qui y va, le groupe est accompagné par un jeune homme barbu, la barbe des salafistes, qui garde les petits musulmans près de lui. Les petits musulmans viennent lui demander s’ils peuvent emprunter tel ou tel livre… C’est ce type qui décide.

        Pareil, le poisson c’est terminé le vendredi. Ok. Par contre, il y a des menus au choix, pour le porc. Sans déconner, mes enfants sont dans l’école du centre-ville… Les mamans musulmanes voilées qui viennent chercher leurs gamins, elles ne leur parlent qu’en arabe. Je me souviens, moi, à l’école on me disait que la langue de la république c’est le Français… Ah ouais ? Je passe dans la rue le matin, personne ne parle français… La rue parle arabe. Sans compter qu’il y a trois cafés où pas une femme ne peut rentrer ici, pas un européen non plus d’ailleurs. Voilà, c’est comme ça, la vie ici

         

         

    5
    Samedi 28 Avril 2018 à 16:45

    Pour les banlieusards, dans la presse internationale:

     

     

     

     

     

     

    6
    Dimanche 29 Avril 2018 à 10:28
    Pangloss

    Chaque fois qu'on veut occuper un vieil ex-ministre, on lui commande un rapport sur les banlieues. Et chaque fois, il propose les mêmes coûteuses conneries. C'est lassant.

      • Dimanche 29 Avril 2018 à 10:59

        Les vieux ex-présidents ont de droit une place au Conseil Constitutionnel (le fameux "con-con"), les vieux ex-ministres ont leur con-con-con: le Conservatoire des Consultants Consternants...

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