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Par bedeau le 20 Mai 2017 à 11:31
Nous voulons rester Français
- Le chant principal de l’Œuvre française (voui...!!),
composé par Pierre Sidos sur l’air des Dragons de Noailles. -
Nous voulons rester Français
Nous voulons rester Français
Du nord à la Méditerranée
Et de l'Océan aux Pyrénées
Nous voulons rester Français
Vers l'avenir
Fidèle au passé
L'œuvre des Français doit se continuer
Vers l'avenir
Fidèle au passé
Créatrice de succès
Le soleil est notre emblème
L'azur, le pourpre s'alliant
Avec croix et cercle d'argent
Le soleil est notre emblème
Vers l'avenir
Fidèle au passé
L'œuvre des Français doit se continuer
Vers l'avenir
Fidèle au passé
Créatrice de succès
Dans la paix et l'amitié
Venu de tous les horizons
La patrie est notre raison
Dans la paix et l'amitiéA écouter aussi:
2 commentaires
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Par bedeau le 11 Mai 2017 à 12:46
Chanson de 1969...
c'en est presque comique, on dirait du deuxième degré !
EmdV
La Révolution...
Le père Legrand dit à son p’tit gars
Mais enfin bon sang qu’est-ce qu’y a
Qu’est-ce que tu vas faire dans la rue fiston ?
J’vais aller faire la révolution
Mais sapristi bon sang d’ bon sang
J’te donne pourtant ben assez d’argent
Contre la société d’ consommation
J’veux aller faire la révolution
La Révolution ! La Révolution !
Mais enfin j’t’a payé l’école
C’est pourtant pas des fariboles
On n’nous apprend qu’des insanités
Et on nous empêche de contester
Ah si tu travailles comme ça j’ai peur
Qu’tu passes pas dans la classe supérieure
Les différences de classe nous les supprimerons
C’est pour ça qu’on fait la révolution
La Révolution ! La Révolution !
Enfin tu vas pas sortir maintenant
Regarde dehors c’est plein d’agents !
Non papa c’est des CRS
Et j m’en vas leur botter les fesses
Mais voyons fiston n’vois-tu pas
Que c’est les Rouges qui sont derrière tout ça
Oh papa j’t’en prie, tu déconnes
Laisse la peur du rouge aux bêtes à cornes
C’est la Révolution ! La Révolution !
Mais enfin explique-moi mon p’tit
Qu’est-ce qu’y raconte ce Cohn-Bendit
Y m’a fait comprendre que t’étais con
Et moi j’veux faire la révolution
La Révolution ! La Révolution
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Par bedeau le 7 Mai 2017 à 10:50
Le vieux soldat
Dans ses yeux, il y a de la souffrance,
ça ne se voit pas.
Dans son coeur, il y a de la vaillance,
ça ne s'entend pas.
Ses bras ont perdu leur puissance,
mais il est toujours là,
prêt à se lever pour la France,
le vieux soldat.
Derrière lui, il y a une existence,
que je n'te raconte pas.
ça commence dans la Résistance,
c'est loin déjà.
Il sortait à peine de l'enfance,
en ce temps là,
quand les nazis crevaient la France,
et c'est pour ça
REFRAIN
Ca lui fait mal, toutes ces insultes,
cracher sur la France que l'on traite de pute.
Ca lui fait mal, le drapeau brûlé, le drapeau souillé
la mémoire tachée.
Ca lui fait mal, il l'a mauvaise,
lorsque l'on siffle la Marseillaise
Ca lui fait mal, voir son pays livré au mépris,
il en est meurtri.
Le respect, il veut du respect,
juste du respect, le respect.
Les symboles ont de l'importance,
pour cet homme là.
La vision de toutes les offenses,
Fait du dégât.
Il faut dire que ça n'arrive qu'en France,
Toutes ces souffrances, là.
Il vient défier l'irrévérence,
le vieux soldat.
Au refrain1 commentaire
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Par bedeau le 7 Mai 2017 à 10:50
Marie la France
Marianne aux yeux couleur du temps
Marie la France
T'en as vu passer des amants
Marie la France
Depuis qu'un beau jour de juillet
T'as eu l'idée de t'éclater
A la Bastille
Tu leur ouvrais ton cœur, tes bras
Marie la France
Et ton lit tout grand chaque fois
Marie la France
Ils te faisaient un brin de cour
Toi, tu t' couchais pour faire l'amour
Comme une fille
Marie la France
Tu t'es déjà mariée cinq fois
T'as été cocue chaque fois
Ca n' t'a jamais servi d' leçon
Maintenant encore, il s'rait question
Qu' tu t' remaries
Tu veux qu' j' te dise, t'as trop bon cœur
Marie la France
Et comme tu n' peux pas vivre seule
Marie la France
Deux sous d' lilas, un p'tit vin blanc
Tu t' fais avoir aux sentiments
T'es trop bonne fille
Marianne aux yeux couleur du temps
Marie la France
T'en as connu des sales moments
Marie la France
Tu t'en es toujours bien tirée
Tu ne vas pas t' laisser aller
J' te fais confiance
Même si les temps sont difficiles
Marie la France
Pas question qu' tu fasses l'imbécile
Marie la France
Qu' tu t' mettes à crier "Sauve qui peut !"
Parce que ça n' va pas comme tu l' veux
Faut pas qu' tu flanches
Marie la France
Tu le sais bien, quand ça va mal
Quand tu n'as plus du tout l' moral
Il y a toujours sur ton chemin
La foule des bons samaritains
Pour ta défense
Leurs mouchoirs pour te consoler
Marie la France
Et puis leurs bras pour t'appuyer
Marie la France
Ils sont tous là pour t' protéger
Mais comme on l'entend du côté
D' Pigalle et Blanche
Marianne aux yeux couleur du temps
Marie la France
Tu sais c' qui m' f'rait plaisir vraiment
Marie la France
C'est qu'avant d' leur laisser la peau
Tu dises à tous ces gigolos
D'aller s' faire pendre
Tu étais riche, tu n'as plus rien
Marie la France
Et pour tes enfants morts pour rien
Marie la France
Si tu faisais l' tour des cimetières
C'est bientôt le tour de la Terre
Qu'il faudrait faire
Marie la Francevotre commentaire
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Par bedeau le 6 Mai 2017 à 14:41
mot de l'auteur: "Écrit en souvenir de ce soir terrible où Place du Capitole à Toulouse - le 18 novembre 2009 - le drapeau français fut arraché et brûlé. Les autorités interdirent à la police d’intervenir pour ne pas créer de désordre… heurtant alors l'esprit et le cœur de très nombreux français."
Les larmes du drapeau
J’ai longuement flotté sur les champs de bataille,
Résistant bravement aux coups de la mitraille ;
Maintes fois ma voilure épongea dans le vent
Le sang des soldats morts, les pleurs des survivants.
Au sommet du pays je dressais mes couleurs,
Témoignage vibrant de la Foi, de l’Honneur.
Les anciens devant moi soulevaient leur chapeau,
Qu’y a-t-il de plus beau que l’amour d’un drapeau ?
Mais la honte survint par un soir gris d’hiver :
Ma hampe fut brisée par des mains étrangères.
Lacérés, mes beaux plis sanglotaient en silence
En voyant que ces doigts s’attaquaient à la France.
Devant la foule haineuse, on me jeta à terre.
Un instant je pensais : « nous sommes donc en guerre ! »
Mais en guerre un étendard a ses défenseurs,
Ici nul n’accourut pour calmer ma douleur !
Les uniformes bleus trépignaient de colère,
Mais leur chef, tout là-haut, préservant sa carrière,
Me laissa sans mot dire aux mains de mes bourreaux :
Je mourus sans qu’une arme quitte son fourreau.
Ce soir je regrettais de porter ces couleurs,
Car une part de la France est morte dans mes pleurs.
Quand mon pays me laisse ainsi succomber, seul,
Je ne suis plus drapeau, mais je deviens linceul.
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