•  Les grands titres de la presse s'en font l'écho, sur tous les tons, 

    Macron ne cédera rien parce qu’il n’est pas là pour gouverner. Il n’est même pas là pour être réélu et encore moins pour faire une carrière politique. Il se fout de tout ça, et donc il se fout de ce qu’on pense ou dit de lui, de sa cote de popularité, de son avenir politique, il se fout de tout ça.

    Macron est un condottiere mandaté par des commanditaires pour détricoter et privatiser tout ce qui est collectif et solidaire en France. Et sa récompense ne sera pas d’être réélu ou de prendre place dans le paysage politique français, sa récompense sera d’aller siéger dans tous les conseils d’administration des sociétés qu’il aura privatisées pour ses commanditaires.

    Ce n’est rien d’autre qu’un homme de main qui obéit à des ordres et qui a agi en deux temps : en pourrissant l’État français de l’intérieur sous un Hollande complètement manipulé, et en prenant ensuite prétexte de ce pourrissement pour mener à bien son pillage en règle de l’état.

    Voilà pourquoi il se moque de tous ces scandales à répétition le concernant et concernant son gouvernement.

    Voilà pourquoi nous avons un gouvernement "de crise" composé sans vergogne à moitié de millionnaires, voilà pourquoi il garde un Président de l’Assemblée mis en examen, pourquoi sa ministre de la justice peut dire en rigolant qu’elle a juste oublié de déclarer trois appartements au fisc.

    Voilà pourquoi il met sans honte un voyou à la tête de la police et autorise à cette police des comportements de voyous. Voilà surtout pourquoi il ne cède et ne cédera devant aucune grève. Parce qu’il s’en fout. Il se fout de vous, il se fout du pays, il se fout de la misère et de la pauvreté, il se fout des éborgnés et des amputés par sa police. Il s’en fout.

    Il détricotera tout jusqu’au bout sans écouter personne, sans état d’âme, et ne pense qu’à la fortune personnelle que chaque action contre le bien public lui garantit.

    Et il partira en laissant un pays épuisé et exsangue, trop sonné pour se défendre contre le plus violent des systèmes de finance ultralibérale qu’on puisse imaginer. Il laissera tomber tout le monde. Le pays comme ceux qu’il aura manipulés pour en faire ses pires factotums et qui, seuls, devront affronter la vengeance populaire.

     

    EMMANUEL MACRON : ILLÉGALITÉ, ILLÉGITIMITÉ ET IMPOSTURE. (1E PARTIE)

    EMMANUEL MACRON : ILLÉGALITÉ, ILLÉGITIMITÉ ET IMPOSTURE. (1E PARTIE)

    L’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir est illégitime

    La République française à un gros problème avec celui qui lui sert de président. Celui-ci est désormais perçu massivement par le peuple comme complètement illégitime à en occuper ce poste à diriger le pays.

    Comment Emmanuel Macron est-il arrivé au pouvoir ?

    L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron au poste principal de la Ve République est le fruit d’une assez extraordinaire manipulation. Qui a bénéficié de circonstances et d’un alignement des astres qui ne sont pas près de se reproduire

    Une élection illégale ?

     

    EMMANUEL MACRON : ILLÉGALITÉ, ILLÉGITIMITÉ ET IMPOSTURE. (2E PARTIE)

    EMMANUEL MACRON : ILLÉGALITÉ, ILLÉGITIMITÉ ET IMPOSTURE. (2E PARTIE)

    La disparition de la séparation des pouvoirs.

    Une constitution en lambeaux

    Le "pouvoir législatif" incarné par un parlement croupion enrégimenté par le pouvoir exécutif

    Le ralliement à l’exécutif du pouvoir judiciaire

     

     


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  •  (avec mes excuses pour l'emprunt du titre à qui se reconnaîtra) "GCYA"

     

    Les maux de la peur et la peur des mots.

    Faire peur, pour un chef d'état soucieux de se présenter comme un ultime recours contre un probable chaos, et même sans ça, c'est bien...

    Rassurer, pour le même chef d'état, c'est montrer à ses sujets que, pour l'instant et grâce à sa présence à reconduire dès que possible, la situation est sous contrôle...

    Le président de la République se plait à nous faire peur en parlant d'"amalgames" et de "stigmatisation" qui vont nous mener à une guerre civile quasi inévitable.

    Le président de la République ne veut pas pour autant nous inquiéter outre mesure en ne parlant pas de guerre de religions.

    Et pourtant...

    Pourtant, les termes de "dérives communautaristes", de "radicalisation" et d'"intégrisme", de "laïcité" et de "loi de 1905", de "dialogue avec l'islam" et de "liberté de croire", ou encore d'"hydre islamiste" et surtout de "voile islamique/islamiste" sont les mots clés qui reviennent dans tous ses tout derniers discours les plus opportunistes, et dans toutes les (pseudos)analyses et tous les (pseudos)débats, sur fond d'attentats et de retour de djihadistes "français" et de d'arrivées sauvages et incontrôlables -ou incontrôlées- de migrants de toutes sortes.

    Les plus lucides, ou les plus courageux, ou les plus suicidaires parlent de "guerre de civilisations".

    C'est vrai que ça la foutrait mal au Pays des Lumières et des sectes maçonniques... et que, surtout, même nos curés semblent passés à l'ennemi, sans arme et sans bagage, à la suite et suivant l'exemple de toute la hiérarchie épiscopale apostolique et romaine. 

    Guerre civile et knackis de volaille

     

    Et pourtant...

    En France, en Ardèche, à Saint-Pierre-de-Colombier, des "associations citoyennes" s'opposent à la construction d'une église devant accueillir les pèlerins de Notre-Dame-des-Neiges sur un terrain appartenant à la congrégation porteuse du projet et dont le permis de construire a été accordé et validé malgré les requêtes des opposants auprès du Tribunal Administratif, projet qui a le soutien bienveillant du maire de la commune et des élus de la région, etc... mais à qui manque encore l’autorisation "formelle" de "monseigneur" Balsa, évêque du coin, tout occupé à ses organisations de camps de jeunesse à Vintimille pour l'accueil des migrants et qui confesse: "Je ne rêve pas d’une Église qui n’existe plus."

    En France, rien qu'en 2018, plus de 300 projets de construction de "grandes" mosquées ont été déposés, dont certains engagent un budget de plus de 10 millions d'euros ; le plus souvent avec des conditions d'attribution de terrains très avantageuses de la part des maires des communes concernées et des sources de financements internationales pas toujours très catholiques...  Et Reims, la cité du sacre des Rois de France s'enorgueillit de posséder la plus grande mosquée du pays... et Saint-Denis, ville de la basilique des tombeaux des Rois de France, et Poitiers haut lieu de la lutte contre l'islam "conquérant" ne sont pas en reste. Toutes mosquées inaugurées avec, et grâce à, la présence bienveillante de tout ce que compte la communauté catholique locale, de l’évêque au curé de la paroisse et une foule de fidèles extasiés.

    Et "on" parle de guerre "civile" ?

    Guerre civile et knackis de volaille

     

    Et pourtant...

    On n'évoquera pas la déclaration la porte-parole épatée du gouvernement selon laquelle le kebab est devenu le plat national préféré des français "halalisés" contre leur gré...

    On n'évoquera pas le fait que l'humoriste franco-marocain et, en même temps, "conseiller présidentiel", et accessoirement mis en examen pour menaces de mort, Yassine Belattar quitte les ors de la République en conseillant au président de "légaliser les musulmans avant la marijuana" et termine sa fatwa par un triomphant "Vive la République et vive la France. Notre France."... (imagine t-on un discours de Marion Maréchal (Le Pen...?) se terminant par un  "...vive la France. Notre France?" ?

    On n'évoquera pas le fait que quand Eric Zemmour semble avouer préférer le prénom Corinne à celui d'Hapsatou, toute la bien-pensance médiatique le lapide immédiatement (au sens figuré -(pour le moment ?)), mais quand un certain Karim Zerbi conseille à la députée, élue de la République, Nadine Morano en désaccord avec lui sur le port du voile islamiste en France de "changer de pays" et de choisir l'exil, ce doit être au nom de sa liberté d'expression... (ni Rokhya Diallo et son "La France, c'est-aussi une France de bronzés, de chevelures frisées et de noms difficiles à prononcer. Qui ne l'aime pas peut dès lors s'appliquer à lui-même une fameuse injonction : la quitter."... ni Houria Bouteldja: "Aussi douloureux que cela puisse être ressenti par les écorchés du drapeau et les thuriféraires d’une France éternelle et gauloise, nous transformons la France [...] La France ne sera plus jamais comme dans les films de Fernandel. Notre simple existence, doublée d’un poids démographique  africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Église, jadis blanche et immaculée..." toutes déclarations qui semblent moins critiquables pour la doxa à pensée-unique que l'évocation d'un "Grand Remplacement", imposé par la "division de la population des nations-Unies" [lien], théorisé par Renaud Camus [lien], crédibilisé par Jean-Paul Gourévitch [lien], validé par le général Christian Piquemal [lien], explicité par le général Christophe Gomart (ex. "renseignements militaires") [lien], raillé par les blogueurs de Libé et du "Bondy-Blog" [lien], et repris, défendu et popularisé par Eric Zemmour [lien]...).

    Guerre civile et knackis de volaille

     

    Et pourtant...

    On n'évoquera pas le fait que chaque semaine, ou presque, des lieux de culte ou des sanctuaires chrétiens sont profanés ou vandalisés dans une indifférence ricanante, tandis que la moindre tranche de jambon aux abords d'une mosquée provoque une envolée scandalisée d'envoyés spéciaux issus de toutes les chaines d'information...

    Ni que, par exemple, il y a quelques années, l'église catholique de Gironde a vendu à vil prix un terrain appartenant à son patrimoine religieux pour qu'il y soit construit une mosquée...

    Ni que "monseigneur" Barbarin, évêque de Lyon, a affirmé qu'un catholique pouvait très bien prononcer la "chahâda" (ou profession de foi musulmane: "Il n’est pas d’autre dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète") et que lui-même la récite aux chevet des musulmans mourants...

    Ni que le pape a autorisé, en 2014, dans les propres jardins du Vatican une prière publique en arabe reprenant le verset 286 de la sourate "al bakarah" qui se termine par "[Allah...] Tu es notre Maître, accorde-nous la victoire sur les peuples infidèles"

    Ni que les marchés de Noël sont devenus indésirables et les Crèches hors-la-loi. Mais ça, c'est "acté", comme on dit...

    Etc... Etc...

    Et "on" parle de guerre "civile" ?

    Et pourtant :

    petit rappel de certains faits: 

    liste des attentats islamistes commis en France depuis 2012, et nombre de victimes

     

    Mars 2012, Toulouse et Montauban / 7 morts

    Janvier 2015, Charlie Hebdo, Montrouge et l'hyper Cacher à Paris / 17 morts

    19 avril 2015, Vilejuif (Val-de-Marne) / 1 mort

    26 juin 2015, Saint-Quentin Fallavier (Isère) / 1 mort

    13 novembre 2015, Paris et Saint-Denis / 130 morts

    13 juin 2016, Magnanville (Yvelines) / 2 morts

    14 juillet 2016, Nice (Alpes-Maritimes) / 86 morts

    26 juillet 2016, Saint-Etienne du Rouvray (Seine-Maritime) / 1 mort

    20 avril 2017, Champs-Élysées à Paris / 1 mort

    1er octobre 2017, gare Saint-Charles à Marseille (Bouches-du-Rhône) / 2 morts

    23 mars 2018, Trèbes et Carcassonne (Aude) / 4 morts

    12 mai 2018, Paris / 1 mort

    11 décembre 2018, Strasbourg (Bas-Rhin) - Marché de Noël / 5 morts

    24 mai 2019, Lyon (Rhône) - attentat raté

    3 octobre 2019, Paris, préfecture de Police / 4 morts

       liste disponible sur internet jusqu'en 2018, mise à jour par mes soins
    annonce personnelle: recherche "liste des attentats islamophobes commis en France depuis 2012 + nombre de victimes"


    Et, pendant les préparatifs à la guerre "civile", les provocations communautaristes religieuses les plus flagrantes et les plus outrancières continuent de plus belle, perpétrées "innocemment" par des musulman(e)s "modéré(e)s", rapidement "stigmatisé(e)s" par la police, la presse d’extrême-droite, les partis néo-nazis, l'opinion publique zemmourisée,... etc..., permettant d'évoquer une "islamophobie" présentée comme de plus en plus ouverte et violente, et qui servira d'alibi victimaire aux nouvelles provocations à venir, dépôts de plainte et harcèlements médiatiques à l'appui, grâce à la complicité d'associations et de "collectifs" droit-de-l'hommistes "laïques", de cabinet d'avocats islamistes et de toute la bien-pensance boboïde, etc... etc... etc...

     

    Etc... Etc...

    Etc...

     

     

     


    11 commentaires
  • Amis(e)s parisien(ne)s, vous nous aviez caché ça...

    C'est pas sympa de ne pas partager...

    Mais, bon, je ne suis pas trop envieux de vos activités et loisirs dominicaux...!

    A l'année prochaine, peut-être, ou pas, si Anne Hidalgo et Dieu le veulent :

     

    ...samedi 5 octobre, la mairie de Paris organisait la 18me édition de sa Nuit Blanche...

    Un p'tit vélo dans la tête...

    sous le signe du mouvement, du vélo et de la trottinette...

    (les descriptions des réjouissances sont celles données par la mairie de Paris)

     

    - Pour vivre cette Nuit Blanche tout en mouvement, près d’une quinzaine de plateformes artistiques, entièrement conçues par des artistes contemporains, ont circulé de la place de la Concorde à la Bastille. L’occasion donnée au public de voir passer une exposition mobile, un défilé d’œuvres monumentales, délirantes ou fantastiques, poétiques ou exubérantes.

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    - Des artistes promeneurs circulaient dans Paris pour entraîner avec eux le public afin de vivre une performance participative.

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    - Le public était invité à traverser la ville en courant afin d'explorer les plus prestigieuses institutions culturelles comme les musées, les opéras et les théâtres. Une expérience au croisement de la culture et du sport dans la perspective des Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024.

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    - Durant cette nuit, une portion du périphérique, de la porte de Pantin à la porte de la Villette, était fermée aux voitures et transformée en un vélodrome citoyen lumineux.

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    - Pour que la Nuit soit mobile, des stations plus immobiles ont été imaginées dans Paris et la Métropole. Points d’arrivée des plateformes de la Parade, ces stations éphémères brillaient aux quatre points cardinaux.

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

    - Pendant ce temps-là, un karaoke avait lieu à l'Opéra-Comique, dans le 2e arrondissement. "Avec l’Opéraoké, vous pourrez vous essayer au chant lyrique, guidés par un chef de chœur, sur des airs bien connus du répertoire."

    Un p'tit vélo dans la tête...

     

     

    Finalement, réflexion faite, je n'y serais certainement pas allé : j'ai pas de vélo et j'aime pas la barbe-à-papa, ni les plates-formes déambulatoires artistiques contemporaines, ni les performances participatives, ni les odeurs de kebabs, ni les reportages de France-2.

    Sans rancune...

     

     

     


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  • Sur le cul, je me contente de copier/coller intégralement et bêtement cet article paru il y a peu dans "Valeurs Actuelles":

     

    A Sciences-Po, un nouveau cours baptisé… “Macron”

    Au programme, un séminaire “hautement interactif”, dispensé en anglais, qui s’intéressera au parcours du président de la République. 

    Grande première à l’Institut d’études politiques de Paris. Dès la rentrée prochaine, un nouveau cours bien particulier va voir le jour à l’école de la rue Saint-Guillaume, rapporte Le Point. Intitulé "Macron", il aura comme sujet le président de la République lui-même.

    Les jeunes années, les défis, les chances de réélection…

    Ce séminaire "hautement interactif" et sélectif s’intéressera plus précisément à l’essor personnel et politique du chef d’Etat, un phénomène "intriguant" et encore "insuffisamment exploré", selon la présentation publiée sur le site de Sciences Po Paris. Le cours se penchera donc sur ses jeunes années, mais également sur ses premiers pas en tant que président, les défis auxquels il doit faire face, la trace qu’il est amené à laisser dans l’histoire et ses chances de réélection en 2020. La bibliographie est notamment composée du dernier livre du journaliste Brice Couturier, Macron, un président philosophe, mais aussi de Macron par Macron, des entretiens avec le président, réalisés par Eric Fottorino, une compilation de discours du locataire de l’Elysée, ou encore Révolution, le livre de celui qui n’était alors qu’un candidat à l’élection présidentielle.

    Prévu pour le printemps 2020, ce séminaire aura une durée totale de 24 heures et sera donné… en anglais ! Les étudiants devront néanmoins être capables de lire couramment le français. Reste à connaître l’identité de celui (ceux ?) qui viendra enseigner cette matière bien particulière aux élèves. Verra-t-on le principal intéressé revenir dans l’école qu’il a quitté il y a maintenant 18 ans ? 

    The présentation of the séminaire on the site of Sciences-Po

     

    Bien entendu, le "phénomène intriguant" (ou "intrigant" ?) et "insuffisamment exploré" à fond a appris cette innovation par la presse et est à la fois heureux et confus de tant d'honneurs, pourtant largement mérités, pour une carrière qui devrait servir d'exemple à tous les potards appelés à devenir, comme Lui, Maîtres du Monde Nouveau

    Mais... si on tient compte de la discrimination pluri-positive actuellement en vogue et du niveau scolaire et universitaire...

    La phrase "Les étudiants devront néanmoins être capables de lire couramment le français. Reste à connaître l’identité de celui (ceux ?) qui viendra enseigner cette matière bien particulière aux élèves." me fait penser irrésistiblement à cette autre information publiée récemment dans l'Obs:

    Brigitte Macron va enseigner le français à des adultes sans diplôme.

    Des ateliers leur permettront de formuler un projet professionnel, ou d’apprendre à se présenter lors d’un entretien...

     

    Rassurez-moi...

     

     

     


    4 commentaires
  •  

    Grand débat :

    et si on changeait les paroles de "La Marseillaise" ?

     

    marseillaise

     

    Outre le "sang impur" dont le sens a été expliqué par de nombreux historiens, on voit assez bien les paroles qui dérangent les néo-mondialistes xénophiles pacifistes...  

    Quoi ! des cohortes étrangères,
    Feraient la loi dans nos foyers !

    Dieu de clémence et de justice
    Vois nos tyrans, juge nos cœurs
    Que ta bonté nous soit propice
    Défends-nous de ces oppresseurs

    ...hymne qui se termine pourtant par ces mots "rassurants":

    Soyons unis ! Tout est possible ;
    Nos vils ennemis tomberont,
    Alors les Français cesseront
    De chanter ce refrain terrible.

    La seule modification raisonnable que je suggérerait serait de remplacer:

    Ils viennent jusque dans vos bras,
    Égorger vos fils, vos compagnes ! par 

    "Blesser à la gorge, fils et compagnes"

     

    Un fameux protest-singer néo-zélandais des années 1960/1970 à qui on n'avait rien demandé en a fait une version courte mais bonne si on en croit les réactions de ses fans (dont je faisais un peu partie, à cette époque bénie...)

    "Pour tous les enfants de la terre 

    "Chantons amour et liberté. 

    "Contre toutes les haines et les guerres 

    "L'étendard d'espoir est levé 

    "L'étendard de justice et de paix..."

    Ça fait débat...

     

    BONUS. dossier (presque) complet: "Le concept de 'sang impur' est à bannir" : " Nous sommes les enfants de France Pays de la fraternité "- inclus:

    "La Marseillaise" dans une réadaptation de et par Djamel DJENIDI

    "La Marseillaise de la Paix" - interprétée par Chanson Plus Bifluorée

    "En finir avec "La Marseillaise" - sur https://france.attac.org/

    "(...)Faut-il pour autant se rassembler autour d’un hymne belliqueux et souvent sanguinaire ? La question a été bien des fois posée par le passé, elle devient cruciale aujourd’hui, quand, dans l’imaginaire populaire, dans les conversations et parfois même dans les discours politiques, le terrorisme se retrouve assimilé à l’islam, voire à l’ensemble des peuples arabes, y compris les Français issus de l’immigration maghrébine. Et il n’y a qu’un pas à franchir pour que le 'sang impur' du refrain devienne le leur."

    "Changeons les paroles de La Marseillaise" - sur http://alternatives-non-violentes.org/

    "...Que faire quand l’hymne national est en dissonance avec les valeurs de la Constitution ? Est-il possible de construire une nation apaisée sur un chant de guerre ? Ce dossier s’intéresse aux débats et enjeux liés à la réécriture des paroles. Il ouvre des pistes pour y parvenir, pour cheminer collectivement vers une culture de paix."

     

    A défaut d'en changer les paroles, on peut (re)voir et (re)écouter comment les jeunes "français" de 2016 en imaginaient l'interprétation musicale sur  "Allons, enfants... etc."

     

    Ça fait débat

    Chaque jour, dans le cadre du grand débat national, Le "PETIT" Parisien passe l’une de vos propositions au crible. Ce vendredi, l’idée de remplacer l’hymne national.

    En marge du grand débat national organisé par le gouvernement en réponse au mouvement des Gilets jaunes, Le Parisien invite ses lecteurs à lui envoyer les propositions de lois citoyennes qu’ils souhaiteraient voir émerger. Chaque jour, une partie d’entre elles sont passées au banc d’essai par la rédaction. (...)

    La Marseillaise reste consensuelle dans la classe politique. Le 13 janvier 2015, tous les députés et ministres présents au sein de l’Assemblée nationale ont entonné l’hymne national au terme d’une minute de silence pour les victimes des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher. (...)

    Modifier les paroles de "La Marseillaise", ou remplacer cette dernière par un nouvel hymne, n’a rien d’impossible. Une forte adhésion populaire reste toutefois nécessaire puisque cette réforme devrait probablement passer par un référendum.

    Les + de cette réforme…

    • Plutôt facile à mettre en place
    • La modernisation d’un chant parfois jugé belliqueux, chauvin voire raciste

    … et les - :

    • Un référendum reste coûteux
    • L’hymne français est lié à l’histoire du pays

     

     

     


    6 commentaires
  • Black & yellow-blocs of Junker...

    un titre volontairement provocateur, et pourtant

    Les Gilets Jaunes sont de toute évidence et sans conteste possible, à l'origine, des gens raisonnables et profondément sympathiques, et leurs revendications essentielles étaient d'un tel bon sens et d'une telle évidence qu'on se demande pourquoi on n'y a pas pensé plus tôt, avec la même volonté d'aboutir...

    Mais... Il serait bon, parfois de faire le point ... Mobilisant (comme par hasard) toutes les ressources médiatiques déjà passablement partisanes de notre pauvre hexagone macronien, ils laissent les mains plus libres que jamais à un pouvoir qu'ils souhaitent affaiblir ou déstabiliser. La présidence, le gouvernement et l'assemblée présumée nationale ont les coudées plus franches qu'ils ne le l'espéraient pour prendre les mesures qu'ils souhaitent, sans provoquer de réaction, et le président lui même verrait sa côte de popularité attendre des sommets jamais égalés, grâce à sa volonté de fermeté politico-économico-libérale et, en même temps©®, à sa hâte nouvelle, tardive et un peu forcée d'être à à l'écoute du bon petit peuple.

    Parmi les cadeaux offerts sur un plateau au premier de cordée hexagonien des progressistes européanistes

    - renforcement de la politique sécuritaire de l'Etat avec des lois "d'exceptions" franchement liberticides, "justifiées" par les violences et les exactions commises -souvent impunément- dans leur sillage...

    - manipulations de l'opinion publique en voulant faire passer tous les g.j. pour des voyous, des casseurs ou des pillards, alors qu'ils sont soigneusement fouillés et contrôlés au début de chaque manif. et que black-blocs et  autres "antifas" semblent surgir du néant à la fin, casqués et armés...

    - justification d'une main-mise inédite et accrue du gouvernement sur la presse (toute la presse...) et sur les réseaux sociaux et de répressions contre certains militants qualifiés d'ultra-droite 

    - faillites annoncées d'artisans locaux et de petits commerces indépendants et de proximité, au bénéfice des grandes enseignes et des lobbies (et laissant présager par voie de conséquence, une recrudescence, en centre-villes, de guichets bancaires et d'assurances inutiles, et d'épiceries 7/7 24/24 ou de kebabs pour le plaisir de nos chances pour la France)

    - réformes budgétaires de la politique de Santé Publique, supprimant certains "petits" hôpitaux de proximité et les médecins libéraux bientôt obligés de se mutualiser au sein de "Communautés Professionnelles Territoriales de Santé", astreints à un nombre de consultations quotidiennes souhaité.

    - réformes de l'Education Nationale qui, à l'abri derrière des alibis fallacieux de drapeau tricolore et d'hymne national prépare une baisse sensible de moyens financiers et n'envisage que timidement de restaurer l'autorité des maîtres face aux dérives... communautaristes

    - silence radio (et télé) sur les problèmes liés aux flux migratoires, à l'accueil des clandestins, au "regroupement familial", au coût exorbitant des différentes aides sociales et médicales dont les "souchiens" sont souvent exclus.

    - silence (cf. ci-dessus) sur les problèmes liés à l'islamisation galopante de certains territoires depuis longtemps perdus de la République, sur l'antisémitisme, la christianophobie et le racisme anti-blanc

    - discrétion maximum sur les conditions de "rapatriement" des 150 djihadistes dits "français" et sur leurs conditions d'accueil, de détention (provisoire), de jugement, d'incarcération, etc... (et de "réinsertion" éventuelle !)

    et, accessoirement...

    - désinformation criminelle, visant à faire passer les Gilets Jaunes, dans leur ensemble, pour des factieux d'extrême-droite, présentés comme racistes et, forcément, antisémites, alors que de notoriété publique, les rares actes anti-sémites de ces dernières semaines ont eu lieu, soit en dehors des dates et des lieux de rassemblement des Gilets Jaunes et que le seul qui pourrait y être rattaché est le fait d'un musulman salafiste radicalisé, excusé par avance par l’extrême-gauche officielle islampohile (mais pratiquement aucune image concernant les nombreux actes christianophobes sur la même période)

    - génération spontanée d'une horde de candidats aux élections à venir (et plus si affinités)... candidats potentiels et inattendus parmi les Idoles des Jaunes, auto-désignés ou portés par des médias... et susceptibles de disperser les voix de l'anti-macronnerie ou, tout au moins, de donner une image caricaturale du parlementarisme qu'ils rejettent pourtant majoritairement !

    - législations quasi clandestines, concernant de nouvelles taxes et amendes et, surtout, la théorie du genre dans certains documents officiels, la reconnaissance programmée de la PMA et, à terme, de la GPA

     

    En guise de conclusion:

    Les Gilets Jaunes d'aujourd'hui, trois mois jour pour jour après le début du mouvement, n'ont pour la plupart d'entre-eux absolument rien... rien à voir avec les Gilets jaunes qui manifestaient d'une façon originale et pertinente sur les ronds-points contre l'excès de taxes et d'impôts et contre la chèreté de la vie, ceux qui restent sont désespérément et paradoxalement coincés entre deux dérives opposées mais aussi mortifères l'une que l'autre:

    - ils traînent derrière eux une horde furieuse d'antifas, de black-blocs, d'ultra-gauchistes, de casseurs, de pillards et de racailles en tout genre (y compris on vient de le voir des islamistes) ce qui permet de faire un amalgame bienvenu et certainement pas innocent...

    - ils sont à la remorque d'une petite poignée de porte-parole auto-désignés et/ou consacrés par les médias et dont certaines interventions, entre mégalomanie et paranoïa, finissent par faire du mouvement originel une farce caricaturale...

    Une permanence des occupations de certains lieux emblématique, avec ouverture de (vrais) débats -et de "contre-Grand-Débat"- aurait certainement donné de meilleurs résultats, plutôt que de s'enliser dans des défilés qui ne peuvent que tourner au cycle provocation/répression bien connu et souhaité par certain, et dans des interviews qui ne peuvent que devenir, entre deux faits-divers et la météo, des remakes en direct-live des émissions de télé-réalité pour le grand public qui, croit-on, n'en demande pas tant.


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    Houellebecq n'aime pas la ville de Niort

    Plus exactement:

    «Florent-Claude, "le héros" du dernier roman de Houellebecq n'aime pas la ville de Niort»... mais si Houellebecq avait été moins con et avait fait transiter son personnage principal par Gien, il aurait eu mille-et-une raisons de l'affirmer, preuves indiscutables à l'appui, et aurait pu faire de "Sérotonine" une suite à "Soumission" (dans cette éventualité, ne pas oublier de doubler la dose quotidienne utile et recommandée de Captorix)

     Houellebecq est un con

     

    Prologue (La carte et le territoire)

    Certains termes peuvent être mal interprétés...

    Jeudi, la presse a été invitée à assister à une réunion du CISPD (Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance) de Gien dont les travaux sont d'ordinaire réservés aux membres.

    Les journalistes auraient-ils dû se trouver là ? On peut légitimement se poser la question. Certes, quelques jours plus tôt, deux voitures avaient été brûlées au sein même de l'école René-Cassin, incident faisant tristement écho à l'incendie de la salle de boxe.

    Au cours de cette réunion, il a été question de montée du communautarisme aux Champs-de-la-Ville, de recul flagrant de la République, de la laïcité, de la trop grande influence des deux mosquées, de comportements incontrôlables, racistes… 

    Christian Bouleau, président du CISPD et de la communauté des communes giennoises, à l'initiative de l'invitation, juge qu'il ne faut rien cacher : "Je n'ai pas d'état d'âme. Je travaille pour l'intérêt des Giennois et j'estime qu'il y a des vérités qui doivent être dites."

    Le maire de Gien, Patrick Chierico, se disait hier surpris qu'un dispositif de veille ait été mis en place : "Il y a effectivement une petite dégradation, mais je pense que c'est le fait de quelques gamins. On ne peut pas dire que ce soit catastrophique. Pour ma part, j'entretiens des rapports cordiaux avec les représentants des communautés, que je vois souvent en mairie."

    Des initiatives devraient être prises très vite. Pour aider, sans stigmatiser.

    https://www.larep.fr/gien/2013/02/19/certains-termes-peuvent-etre-mal-interpretes

     

    Chapitre 1 (Les particules élémentaires)

    Une deuxième mosquée ouvre ses portes à Gien

    La Communauté musulmane du Loiret avait mis les petits plats dans les grands samedis. Pour l'inauguration de sa mosquée, l'association semblait avoir tout préparé dans les moindres détails. Auvent pour abriter les invités lors des discours, une dizaine de guides reconnaissables à leur badge sur la poitrine, un petit journal édité spécialement à l'occasion et destiné aux visiteurs, les fidèles ont tout fait pour mettre à l'aise leurs invités.

    "L'islam souffre d'un traitement médiatique douloureux", écrit le président de l'association Farid Amachiak dans le petit journal distribué samedi. "Afin de faire tomber les préjugés et idées reçues nous sommes heureux et fiers de vous accueillir dans ce lieu socio-culturel et cultuel pour vous faire découvrir les coulisses de cet édifice majestueux.", souligne-t-il.

    "Que ce lieu de culte, soit un lieu de sagesse, qu'il aide à combattre ce qu'il y a de pire : l'intolérance, la haine", a déclaré le consul du Maroc à Orléans, en évoquant les fondamentalistes "dont le discours n'a rien à voir avec l'Islam". L'inauguration a eu lieu dans le cadre les journées du patrimoine afin de revendiquer la place de cette mosquée au sein du patrimoine Giennois.

    La mosquée accueillait deux expositions prêtées par l'Institut du monde arabe, à Paris : une sur l'Islam en général et une autre sur l'Orient merveilleux.

    https://www.larep.fr/gien/2014/09/22/une-deuxieme-mosquee-ouvre-ses-portes-a-gien

     

    Chapitre 2 (Extension du domaine de la lutte)

    Musulmans et chrétiens… ensemble

    Le 5 mars dernier, pendant le carême, l'hebdomadaire chrétien La Vie publiait un appel interreligieux au jeûne, à la prière et au partage, signé du père Patrice Gourier, de Mohammed Chirani, du rabbin Avraham Weill et de Matthieu Ricard.

    Ce texte invitait notamment à organiser des rencontres interconfessionnelles, "une manière de lutter contre la violence et la division"

    À Gien, dans le quartier des Montoires, cet appel a été lu et entendu par un groupe de chrétiens pratiquants, qui ont décidé de se rapprocher des représentants de la communauté musulmane pour lui proposer un temps de prière ensemble. "Chacun amène ses textes. Une fois, nous en avions choisi un sur Abraham, commun à tous, puisque nous descendons tous de lui. Parler permet de se rendre compte de tous les points communs qui existent entre nos religions, de problématiques qui sont les mêmes, constate Monique. Nous ressentions tous ce besoin de s'exprimer, de s'expliquer, de parler… Certains pensent que les musulmans sont renfermés sur eux-mêmes. C'est loin d'être le cas. Eux aussi ont envie de partager leur foi. Ces rencontres nous ont permis, aux uns et aux autres, de beaucoup nous enrichir."

    Vendredi, à 18 h 30, dans l'une des salles de la mosquée de la rue Jean-Moulin, des laïcs catholiques, musulmans et protestants se retrouveront pour un temps de prière ensemble, suivi d'une rencontre qui marquera la rupture du jeûne du carême.

    https://www.larep.fr/gien/2015/03/25/musulmans-et-chretiens-ensemble

     

    Chapitre 3 (Soumission)

    A l’occasion de Noël, les chrétiens ont invité les musulmans à un temps de prière

    Ce mardi soir, dans la petite salle paroissiale des Montoires, l'heure est au recueillement et à la sérénité. Une trentaine de chrétiens et musulmans giennois sont rassemblés pour un temps de prière à quelques jours de Noël.

    Pour Monique Gleyze, représentante de la paroisse, "...il est important de montrer que les deux communautés peuvent se retrouver. Au-delà de la religion, il existe un lien fraternel et amical entre nous, d'autant plus que certains habitent le même quartier."

    Mardi soir, la rencontre a débuté par des lectures de textes en rapport avec Noël. Ont suivi des textes du Coran sur la Vierge Marie car, même si Noël n'est pas une fête pour les musulmans, "On trouve des points communs dans les deux religions "

    "Je suis très content de ces réunions, s'enthousiasme Hubert, un chrétien. J'aimerais que l'on puisse toujours bien vivre ensemble. J'apprécie les musulmans pour leur cœur de paix et leur rigueur dans la vie."

    Un des chrétiens présents prend également la parole : "Plus on s'ignore, plus on dit des choses fausses sur l'autre religion. Finalement, nous sommes les mêmes. Nous pouvons nous unir à vos prières et votre présence ne gâche pas les nôtres.". Lahbib Laghmiri répond : "Dans le Coran, il est dit que même s'il y a différentes croyances, il ne doit pas y avoir de divisions."

    https://www.larep.fr/gien/2015/12/24/a-gien-a-loccasion-de-noel-les-chretiens-ont-invite-les-musulmans

     

    Chapitre 4 (Le sens du combat)

    Portes ouvertes à la mosquée de Gien pour une journée d'échanges

    Le thème de la journée sera l’esprit de Cordoue et le rapprochement entre les différentes civilisations. Conférences et exposition sont aussi prévues.

    Cette journée, à laquelle l'association est très attachée, lui permet d'aller à la rencontre des autres, d'échanger et de leur faire découvrir cet héritage culturel. "Cette année, nous souhaitons dédier cette journée à l'Andalousie", explique le président, Farid Amachiak. "Et plus particulièrement à l'esprit de Cordoue au Xe siècle. À cette époque, le rapprochement entre les différentes civilisations, leur facilité à vivre ensemble et l'harmonie qui en découlait ont permis à cette région de s'enrichir à plusieurs niveaux : les sciences, l'architecture, les arts, l'agriculture…"

    Durant cette journée d'accueil du grand public, les fidèles serviront le "thé de la fraternité", présenteront le Coran et les rites de leur religion.

    https://www.larep.fr/gien/2016/09/17/portes-ouvertes-a-la-mosquee-pour-une-journee-d-echanges

     

    Chapitre 5 (Configuration du dernier rivage)

    Rencontre interreligieuse à Gien : "Ce qui crée la méfiance est l'ignorance"

    Deux fois dans l'année, les chrétiens et les musulmans giennois échangent autour de leurs religions dans un souci de tolérance et d'ouverture à l'autre.

    Échanger autour de leur foi en Dieu et de leurs cultures. C’est l’objectif des chrétiens et musulmans giennois, qui se sont retrouvés récemment à la mosquée de la rue Jean-Moulin. 

    C’est la septième fois qu’ont lieu, à Gien, de telles retrouvailles interreligieuses. "Nous nous retrouvons deux fois par an", explique Monique Gleyze, membre de la communauté catholique. "Pendant le Ramadan, nous lisons des versets du Coran et des textes de la Bible sur un même thème, puis nous rompons le jeûne, avec quelques spécialités orientales et occidentales, au coucher du soleil. Une autre rencontre a lieu à Noël, dans une salle paroissiale ou municipale. Nous comparons nos lectures religieuses et nous cherchons des points communs."

    "Le Vatican nous a adressé un courrier pour nous encourager" souligne Oifa Chaumeron, secrétaire de la section giennoise de la Communauté musulmane du Loiret. "C’est un honneur de voir que la ville de Gien est mise en valeur." Avant de préciser : "La mosquée, qui fait partie du patrimoine giennois, est ouverte à tous, croyants et non croyants."

    https://www.larep.fr/gien/religion-spiritualite/2018/06/02/rencontre-interreligieuse-a-gien

     

    épilogue (Rester vivant -suivi de- La Poursuite du bonheur)

    La mosquée de Gien devrait bientôt s'agrandir

    Pour pallier une hausse de fidèles, la communauté musulmane du Loiret projette de bâtir un nouvel édifice, à côté de la mosquée de Gien, qui se voudra également un lieu culturel.

    Un lieu cultuel, mais aussi culturel, ouvert à tous, qu’importe sa croyance et son origine. Voilà à quoi ressemble la mosquée de Gien, située rue Jean-Moulin, dans le quartier des Champs-de-la-Ville. Sa place dans le patrimoine giennois devrait être prochainement renforcée, puisque la Communauté musulmane du Loiret (CML) projette de l’agrandir.

    L’édifice a été inauguré en 2014. Il comporte trois niveaux. Au rez-de-chaussée, une grande salle de prière pour les hommes ; au premier étage, celle pour les femmes et des salles de classe, puisque l’association propose divers enseignements autour du Coran, de la religion musulmane et du monde arabe. Au sous-sol, des salles provisoires et une cuisine..

    Comme l’explique Lahbib Laghmiri, président de la CML, aujourd’hui, les fidèles commencent à se trouver à l’étroit.

    Une hausse de fréquentation qui pourrait être palliée, dans les années à venir, par l’extension du site. Hamoud Djemaï, du cabinet Alpha Architecture, basé à Conflans-sur-Loing, planche sur la construction d’un bâtiment de 1.000 m², composé de deux niveaux, qui serait relié par une passerelle à celui existant déjà.

    Au rez-de-chaussée, se trouveraient un hall, une cuisine, une cafétéria avec des livres et une salle de prière, qui se transformerait en lieu d’accueil de conférences et d’expositions. Au premier étage, prendraient place six classes, un bureau pour les réunions ou les réceptions et une grande bibliothèque.

    Les membres de la communauté musulmane insistent sur le partage que permet un tel endroit. Ils aimeraient casser les idées reçues. Eux qui ont accueilli, l’an dernier, trois classes du lycée Saint-François-de-Sales souhaiteraient d’ailleurs nouer un partenariat avec l’Éducation nationale.

    "Nous sommes prêts à mettre à disposition notre imam, qui s’adapte à son auditoire", ajoute Lahbib Laghmiri. "Aujourd’hui, les relations ont perdu leur dimension humaine . Nous échangeons de moins en moins alors que nous avons tous besoin de ça."

    https://www.larep.fr/gien/religion-spiritualite/2019/01/20/la-mosquee-de-gien-devrait-bientot-s-agrandir

     

    Remerciements (Ennemis publics)

    Merci (tardif) à madame Maria-Dolores Martinez-Pommier, sous-préfète de Montargis de son état, qui a déclaré lors de l'inauguration de la première mosquée de Gien le 29 mai 2008, que "en tant que représentante de l'État elle se devait de favoriser la pratique du culte, valeur fondamentale de la République" 

     Houellebecq est un con

    Merci aux journaliste de "La République" (même si elle est "du centre") sans qui je n'aurai pas écris cet article, pour avoir réussi, en cinq articles à affirmer par trois fois que les mosquées de Gien ont toutes leur place dans le patrimoine de la ville de Gien 

    Merci au Professeur Ahmed Miktar pour ses nombreuses conférences à la mosquée de Gien auxquelles je dois ma compréhension du rôle des mosquées (patrimoniales !) dans la vie quotidienne de la ville.

     

    "La mosquée, quelle fonction occupe-t-elle ?" - Pr. Ahmed Miktar - mosquée de Gien - 2016

     

    Merci à Michel H. pour ses aphorismes incontestables

    L'islam ne pouvait naitre que dans un désert stupide, au milieu des bédouins crasseux qui n'avaient rien d'autre à faire -pardonnez-moi- que d'enculer leurs chameaux (Plateforme - 2001)

    Comment est-ce que vous voudriez rencontrer quelqu'un qui travaille pour Marianne ou Le Parisien sans être pris d'une envie de dégueuler immédiate ? La presse est quand même d'une stupidité et d'un conformisme insupportables, vous ne trouvez pas ? (La Carte et le Territoire - 2010)

    Il viendrait certainement un jour où le monde serait délivré de l'islam; mais pour moi, il serait trop tard (Plateforme - 2001)

     

     

    Visiteur: Pourquoi Gien ? 

    bedeauPourquoi Niort !

    Visiteur: Pourquoi pas Le Touquet ?

    bedeau: J'ai pas osé...

    Visiteur: Alors, osons, Lourdes, ou Lisieux,et leurs belles mosquées...

    bedeau: Et c'est pas de l'infox... et à Poitiers, aussi.

    Visiteur: Finalement, à Niort, y'a pas de problèmes ?

    bedeau: Je crois pas...moins qu'à Gien, en tous cas.

     


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