• 2+2=5

     

     

    1984 d'après Georges Orwell 

    de Paul Nickell - 1953

     avec Eddie Albert, Lorne Greene, Norma Crane

     

     

     
    « IL FAUT LES ARRÊTER !...Quid ? »

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  • Commentaires

    2
    1984, 2020...
    Vendredi 4 Décembre 2020 à 23:12

    Pour accompagner les deux films que vous suggérez, M'sieur ioutube m'a suggéré un documentaire consacré à Huxley et à Orwell, que j'avais déjà vu : perte de temps, comme presque tout ce qui est sélectionné par Arte -- ils n'ont pu s'empêcher d'y glisser de fines allusions aux propagandes de Trump et Poutine, oubliant comme par hasard celles de Foutriquet 2.0 et de l'u.e. Ne pas mentionner le "Nous autres" de Zamiatine confirme l'amateurisme.

     

      • Samedi 5 Décembre 2020 à 09:48

        @ 1984, 2017 !

         

        Je vois que vous faites allusion à une émission de la célèbre chaîne de télé culturelle franco-allemande que j'avais découvert aussi et survolé en recherchant 1984 - vidéo :

        "Le film raconte l'histoire croisée de George Orwell et d'Aldous Huxley, les auteurs des deux grands romans d'anticipation : "1984" et "Le meilleur des mondes". Ecrits il y a plus de 70 ans, ces deux romans trouvent un écho extraordinaire dans nos sociétés d'aujourd'hui : faits alternatifs, fake news, ultra-surveillance... Orwell et Huxley semblent avoir imaginé toutes les dérives de nos sociétés."

        Je lui trouve, moi, un très grand intérêt pédagogique : tout en analysant les manipulations des individus et des foules évoquées dans ces deux livres, il en fait (en même temps) une brillante démonstration. De jolis travaux pratiques et une démonstration convaincante, en quelque sorte...

         

        Sinon :  https://comptoir.org/2016/06/15/trois-visions-totalitaires-lecture-croisee-dorwell-huxley-et-zamiatine/

        Trois visions totalitaires : lecture croisée d’Orwell, Huxley et Zamiatine 

        L’essor éditorial fulgurant qu’ont connu les contre-utopies durant le XXe siècle provient du fait qu’elles ont confronté leur discours littéraire à la notion de totalitarisme à laquelle elles font écho. D’où l’intérêt de s’attarder sur les concordances entre les caractéristiques du totalitarisme et le récit fictif minutieusement détaillé des contre-utopies et, particulièrement, trois œuvres emblématiques de ce genre littéraire : "Nous autres" de Evguéni Zamiatine, "Le Meilleur des mondes" d’Aldous Huxley et "1984" de George Orwell.

        Je voulais, depuis quelques temps, partager cet article, mais la réalité dépassant la fiction à une vitesse sans cesse de plus en plus grande...

         


        PS. Je suis désolé si j'ai écorché votre nom en le recopiant...... cry !

         

    3
    1984 2017 2020
    Samedi 5 Décembre 2020 à 09:57

    -- Quel documentaire pédagogique serait à visionner pour découvrir Orwell et Huxley ?

    -- Aucun. Suffit de lire l'un et l'autre.

    (d'après Guitry, en moins bref) ;-)

      • Samedi 5 Décembre 2020 à 13:53

        @ 1984 2017 2020...!

        ...sans vouloir être télé-artophobe, je crois que si Guitry avait connu ARTE et ses documentaires (ou BFM-tv et ses publi-reportages, ou... [liste ouverte]), il aurait peut-être estimé qu'il s'agissait là de bien belles applications pratiques et concrètes des théories de l'un et/ou de l'autre bad  ... (du peu que j'en ai vu ou entendu causer...)

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    4
    Pangloss
    Samedi 5 Décembre 2020 à 11:29

    On s'y croirait. Déprime garantie.

      • Samedi 5 Décembre 2020 à 13:55

        @ Pangloss...

        ...certains pensent qu'on y est déjà pour de vrai.

        Cependant, il semble que Orwell n'ait pas écrit "En dehors du travail, tout sera interdit... marcher dans la rue, se distraire, chanter, danser...", mais il parait qu'il aurait réellement écrit "Il n'était pas facile en outre de voyager seul sans attirer l'attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètres, il n'était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rodaient du côté des gares".

        Mais, comme le signale le journaliste à qui on doit ces précisions : "...beaucoup de cauchemars de 1984 ne se sont pas produits..."

        Ce qui laisse la porte ouverte à tous les désespoirs.

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